Le 8 mars dernier, c’était la Journée internationale des femmes. L’origine de cette journée s’ancre dans les luttes ouvrières et les nombreuses manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures conditions de travail et l’égalité entre les hommes et les femmes, qui agitèrent l’Europe et le monde occidental au début du XXe siècle.
Mais, parlons des femmes qui se sont fait une place dans le monde funéraire. Alors que ce secteur a longtemps été la chasse gardée des hommes, il s’est largement féminisé au cours des quinze dernières années. Aujourd’hui, les femmes ont su s’imposer à tous les niveaux hiérarchiques des salons funéraires.
Cela peut en surprendre plusieurs, mais les femmes peuvent être jolies, élégantes et travailler dans le secteur funéraire. Toutes les fonctions de notre coopérative ont une forte représentativité de femmes : à la direction, aux opérations, à la comptabilité, au conseil famille, à l’accueil et au soutien pour le deuil. Nous avons la parité au sein de notre conseil d’administration. Et aussi, il faut savoir qu’il y a même davantage de diplômés de sexe féminin en techniques de thanatologie que de sexe masculin.
Un accompagnement plus humain?
Plusieurs expliquent la forte représentativité des femmes dans le domaine funéraire par les qualités essentielles pour exercer ce métier. Les femmes seraient plus sensibles, plus attentionnées, plus humaines, plus à l’écoute, plus délicates et peut-être plus empathiques que leurs compères masculins. La présence des femmes dans le funéraire doit donc être perçue comme un atout.
Dans tous les cas, sans entrer dans une guerre des sexes, car notre personnel masculin de la Coopérative funéraire du Grand Montréal possède toutes ces belles qualités, il faut retenir une chose essentielle : que l’on soit un homme ou une femme, il y a des valeurs humaines indispensables à avoir pour œuvrer dans le métier de la mort. Il faut apporter en toutes circonstances aux familles des services essentiels dans le contexte d’un deuil, mais aussi, et surtout, jouer un rôle d’accompagnement et de soutien auprès des familles, souvent désarmées lorsqu’elles doivent faire face à la perte d’un être cher.
J’ai une profonde reconnaissance envers tous mes collègues féminins et masculins qui partagent les valeurs coopératives. Ils exercent un métier complexe et délicat, un métier fort en relations humaines, en psychologie et qui ne peut se pratiquer, contrairement à ce que beaucoup pensent, qu’avec altruisme, goût de rendre service et passion. C’est une véritable vocation.
Voici les personnes qui sont à votre service dans l’un ou l’autre des points de services de la Coopérative funéraire du Grand Montréal :
https://www.cfgrandmontreal.com/votre-cooperative/notre-equipe/