Tôt dans la matinée du 27 décembre, en déambulant sur le boulevard Curé-Labelle, un passant a senti de la fumée et remarqué qu’une porte de l’ancienne Récréathèque était ouverte. Il était 5h16 quand ce citoyen a contacté le 911.
Arrivés sur place 6 minutes plus tard, 20 pompiers sont intervenus en entrant dans le bâtiment inoccupé après l’abandon d’un projet résidentiel qui devait suivre l’acquisition de l’immeuble il y a près d’une décennie.
«Nous avons repéré un petit incendie au sol qui commençait à se propager au revêtement d’un mur intérieur, de raconter Patrick Ferland, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Laval. Nous avons vite maîtrisé l’affaire, dès 6h. Personne ne s’est blessé. On pense que ce sont des squatters ayant tenté de se réchauffer du froid en faisant un feu.»
Les dommages ne sont évalués qu’à 200 $ pour le bâtiment. Comme toujours en pareil cas, le dossier a été transféré à la Police de Laval.
Troisième visite
Le 25 décembre, à 21h54, un appel a été fait au 911 alors qu’une main criminelle venait de fracasser la fenêtre d’un sous-sol en lançant une bouteille de plastique remplie d’essence pour mettre le feu à une résidence de l’avenue des Terrasses.
C’est un ami et voisin qui a vu la scène et s’est précipité pour éteindre les flammes avec de la neige jetée par la vitre, s’infligeant ainsi une sérieuse coupure à la main. L’objet incendiaire avait été projeté près d’un calorifère.
Quand les 3 unités du Service de sécurité incendie se sont présentées sur les lieux, soit 14 pompiers, les résidents avaient évacué leur demeure, laissant les portes d’entrée principale et du garage ouvertes.
«C’est une tentative manquée d’incendie criminel, de préciser Louis Boucher, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Laval. Il y avait une odeur d’essence perceptible et des traces de combustion sur la fenêtre. Nous avons remis vite la scène aux policiers.»
Il s’agit d’un troisième événement d’incendie criminel visant cette famille cette année. Cette fois, sa résidence recevait une seconde visite de gens malintentionnés à leur endroit, après le feu mis dans leur salon de coiffure.
Tôt dans la matinée du 27 décembre, en déambulant sur le boulevard Curé-Labelle, un passant a senti de la fumée et remarqué qu’une porte de l’ancienne Récréathèque était ouverte. Il était 5h16 quand ce citoyen a contacté le 911.
Arrivés sur place 6 minutes plus tard, 20 pompiers sont intervenus en entrant dans le bâtiment inoccupé après l’abandon d’un projet résidentiel qui devait suivre l’acquisition de l’immeuble il y a près d’une décennie.
«Nous avons repéré un petit incendie au sol qui commençait à se propager au revêtement d’un mur intérieur, de raconter Patrick Ferland, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Laval. Nous avons vite maîtrisé l’affaire, dès 6h. Personne ne s’est blessé. On pense que ce sont des squatters ayant tenté de se réchauffer du froid en faisant un feu.»
Les dommages ne sont évalués qu’à 200 $ pour le bâtiment. Comme toujours en pareil cas, le dossier a été transféré à la Police de Laval.
Troisième visite
Le 25 décembre, à 21h54, un appel a été fait au 911 alors qu’une main criminelle venait de fracasser la fenêtre d’un sous-sol en lançant une bouteille de plastique remplie d’essence pour mettre le feu à une résidence de l’avenue des Terrasses.
C’est un ami et voisin qui a vu la scène et s’est précipité pour éteindre les flammes avec de la neige jetée par la vitre, s’infligeant ainsi une sérieuse coupure à la main. L’objet incendiaire avait été projeté près d’un calorifère.
Quand les 3 unités du Service de sécurité incendie se sont présentées sur les lieux, soit 14 pompiers, les résidents avaient évacué leur demeure, laissant les portes d’entrée principale et du garage ouvertes.
«C’est une tentative manquée d’incendie criminel, de préciser Louis Boucher, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Laval. Il y avait une odeur d’essence perceptible et des traces de combustion sur la fenêtre. Nous avons remis vite la scène aux policiers.»
Il s’agit d’un troisième événement d’incendie criminel visant cette famille cette année. Cette fois, sa résidence recevait une seconde visite de gens malintentionnés à leur endroit, après le feu mis dans leur salon de coiffure.