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Auteur : Nathalie Villeneuve
Il faisait paraître des petites annonces dans un quotidien de Montréal, en taisant son identité de commerçant, pour le compte d’une entreprise lavalloise qui avait déjà plaidé coupable pour le même manège. Alex Vourtzoumis a été condamné à payer des amendes totalisant 610$, par la Cour du Québec.Cette façon de faire va à l’encontre de la Loi sur la protection du consommateur, qui stipule qu’un commerçant doit s’afficher comme tel, dans un message publicitaire. En ne transigeant pas à visage découvert avec ses clients, M. Vourtzoumis se soustrayait à son obligation de fournir des garanties pour les voitures vendues. La…
Incubateurs à moustique, foyers d’incendie en puissance, les vieux pneus font encore partie du paysage lavallois. À Saint-François, il en coûtera 25 000 $ pour vider un site datant d’avant 2002.
Les cinq sites d’élimination de la neige sur le territoire lavallois ne suffisent plus. Afin de dégager le réseau routier, Laval dépasse la capacité normale de ses lieux d’élimination, sous l’œil conciliant du ministère de l’Environnement, vu les circonstances.
Vincent Zuccaro et Jean-Luc Perras, résidents de la 9e avenue, à Fabreville, ont plus qu’une vue sur la rivière, depuis quelques semaines. Les épisodes de crues à l’allure printanière se succèdent depuis l’automne, à la faveur du temps doux qui perdure, et qui fait ressortir la problématique des habitations qui flirtent avec les flots.
Nombre record de nouveaux étudiants et première rentrée pour le métro, situé en face du cégep, sur le boulevard de l’Avenir. Entre les deux, le stationnement du collège est plus que jamais l’objet de convoitise. Afin de réserver l’accès au personnel et aux étudiants de l’institution, de nouvelles mesures sont en place.
«Remorquage à vos frais.» Le message a beau être répété sur une série de panneaux, des dizaines de personnes se font prendre chaque jour, dans le stationnement face au centre de liquidation Brault et Martineau, sur le boulevard des Laurentides.
Les demandes pressantes du public pour un accès plus flexible au stationnement du métro Montmorency ont porté fruit. Mardi, il sera possible de garer sa voiture dans le stationnement souterrain chauffé de la station pour 6 $, et les acheteurs du permis mensuel n’auront plus à se procurer la TRAM 3 à 103 $.
Le pont de l’île Bigras devra subir une cure de rajeunissement, d’ici trois à cinq ans. D’ici là, les véhicules lourds ne passeront plus sur la structure.
Doit-on fertiliser les champs qui produisent fruits et légumes destinés à nos tables avec les résidus de nos égouts? À l’usine d’épuration de La Pinière, à Laval, on produit des granules réputés pour leur qualité, à haut niveau de désinfection, à partir de ces résidus. Malgré cela, les agriculteurs de l’île Jésus disent: «Non!»
Francine Couvrette, résidente du quartier jouxtant le Cosmodôme, avait coutume de prendre la 903 au terminus le Carrefour, pour se rendre à son travail, à Saint-Eustache, les jours de tempête. Cette option n’est plus possible, depuis le 1er janvier.