Concrètement, cela signifie pour l’organisme lavallois une bonification de 105 500 $ de l’octroi annuel provenant du ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques.
C’est plus du double de ce que le CRE de Laval touchait annuellement, son budget passant de 94 500 $ à 200 000 $ pour le nouvel exercice financier qui débutera officiellement le 1er avril. Et non, ce n’est pas un poisson d’avril!
Devant la question où entend-il investir cette manne tombée du ciel, le directeur général Guy Garand demeure prudent avant de s’avancer sur ses projets et études en veilleuse qu’il souhaiterait réactiver. «Faut que j’en parle à mon CA [conseil d’administration] avant!», dit-il en précisant que cette annonce de Québec est de loin la plus significative depuis la reconnaissance des CRE au milieu des années 1990.
Par voie de communiqué, la vice-présidente du CRE de Laval, Anaïs Boutin, soulignait la pertinence de l’organisation régionale, de son travail effectué sur le terrain et de sa capacité à mobiliser et à rassembler les acteurs régionaux autour des grands enjeux liés à la protection de l’environnement.
La conservation des milieux naturels, la gestion de l’eau, la mobilité durable, la transition énergétique de même que la lutte aux changements climatiques et aux îlots de chaleur sont au cœur des préoccupations du CRE, ne manque-t-elle pas de rappeler.
«En raison de la rigueur, la compétence et l’indépendance de son travail, de plus en plus d’intervenants et de décideurs régionaux et municipaux font appel à l’expertise du CRE de Laval», affirme Anaïs Boutin.
À cet égard, l’administrateur Jean Lavoie fait valoir que «c’est avec une énergie renouvelée que nous allons poursuivre nos actions auprès de nos partenaires et acteurs de changement».
Concrètement, cela signifie pour l’organisme lavallois une bonification de 105 500 $ de l’octroi annuel provenant du ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques.
C’est plus du double de ce que le CRE de Laval touchait annuellement, son budget passant de 94 500 $ à 200 000 $ pour le nouvel exercice financier qui débutera officiellement le 1er avril. Et non, ce n’est pas un poisson d’avril!
Devant la question où entend-il investir cette manne tombée du ciel, le directeur général Guy Garand demeure prudent avant de s’avancer sur ses projets et études en veilleuse qu’il souhaiterait réactiver. «Faut que j’en parle à mon CA [conseil d’administration] avant!», dit-il en précisant que cette annonce de Québec est de loin la plus significative depuis la reconnaissance des CRE au milieu des années 1990.
Par voie de communiqué, la vice-présidente du CRE de Laval, Anaïs Boutin, soulignait la pertinence de l’organisation régionale, de son travail effectué sur le terrain et de sa capacité à mobiliser et à rassembler les acteurs régionaux autour des grands enjeux liés à la protection de l’environnement.
La conservation des milieux naturels, la gestion de l’eau, la mobilité durable, la transition énergétique de même que la lutte aux changements climatiques et aux îlots de chaleur sont au cœur des préoccupations du CRE, ne manque-t-elle pas de rappeler.
«En raison de la rigueur, la compétence et l’indépendance de son travail, de plus en plus d’intervenants et de décideurs régionaux et municipaux font appel à l’expertise du CRE de Laval», affirme Anaïs Boutin.
À cet égard, l’administrateur Jean Lavoie fait valoir que «c’est avec une énergie renouvelée que nous allons poursuivre nos actions auprès de nos partenaires et acteurs de changement».