Spécialiste en préparation mentale et conférencier éminent, Jean-François Ménard travaille depuis des mois avec Mikaël Kingsbury (ski acrobatique), Maxence Parrot (snowboard), Chris Robanske (snowboard cross), Julianne Séguin et Charlie Bilodeau (patinage artistique) ainsi que Tessa Virtue et Scott Moir (patinage artistique) pour le plus important rendez-vous sportif de la planète des quatre dernières années.
Jeux de Rio
Le préparateur mental aimerait bien que ces athlètes connaissent autant de succès qu’aux Jeux de Rio, en 2016.
Au Brésil, il avait entouré cinq athlètes: Dorothy Eats (lutte), Catherine Beauchemin-Pinard (judo), Antoine Valois-Fortier (judo), Damian Warner (décathlon) et Derek Drouin (athlétisme). «Ce ne fut pas si mal, car nous avons gagné deux médailles», lance-t-il avec fierté.
Damian a d’ailleurs raflé la médaille de bronze au décathlon, tandis que Derek a remporté la médaille d’or au saut en hauteur. «Derek a démontré qu’il avait des nerfs d’acier. Malgré une double fracture de stress au dos avant les Jeux, il a réussi à gagner l’or. Il y a eu un travail remarquable de fait de la part de son équipe médicale.»
WIN
Et si Jean-François Ménard avait un seul conseil à donner, ce serait le suivant: «Il faut vivre le moment présent.» Il utilise souvent l’acronyme WIN: What’s important now. Par exemple, il a pris le cas du skieur acrobatique Mikaël Kingsbury. «S’il connaît un mauvais départ après son premier saut après neuf secondes, Mikaël doit immédiatement oublier et penser au moment présent. Sa course dure 22 secondes.»
Obsédé par la victoire
Ménard adore gagner et déteste perdre. «Quand je joue à quelque chose, je veux gagner, insiste-t-il. Par exemple, si nous jouons aux cartes, je vais tout faire pour l’emporter.» Il considère que son obsession pour la victoire est un atout pour aider les athlètes à atteindre l’excellence. «Nous voulons tous la même chose: gagner», poursuit-il.
Cirque du Soleil tatoué
M. Ménard a été embauché par le Cirque du Soleil en 2008, alors qu’il amorçait un doctorat en psychologie sportive à l’Université d’Ottawa. Durant 5 ans, il a préparé les meilleurs artistes au monde à livrer des performances exceptionnelles, près de 500 fois par année.
«J’ai le Cirque du Soleil tatoué sur le cœur, avoue-t-il. J’ai encore quelques contrats avec eux. Je suis fier d’avoir participé à ce succès international d’une compagnie québécoise.»
En 2013, il a démarré son entreprise Kambio Performance. Il devient rapidement un des préparateurs mentaux sportifs le plus convoités au Québec.
Outre les olympiens, il a également conseillé des athlètes, hockeyeurs professionnels, musiciens, chirurgiens et hommes d’affaires. Au fil des ans, il a 300 conférences à son actif et voyagé sur la planète pour partager son expertise auprès d’organisations de réputation mondiale comme le FBI, Roche, Trane, Western Union, Cisco, la GRC, Desjardins et le Comité Olympique Canadien.
Il s’est également démarqué en amenant des athlètes à monter sur le podium aux trois plus grands jeux sportifs mondiaux: Olympiques, Panaméricains et du Commonwealth. Parions qu’il voudra faire de même en Corée du Sud.
Spécialiste en préparation mentale et conférencier éminent, Jean-François Ménard travaille depuis des mois avec Mikaël Kingsbury (ski acrobatique), Maxence Parrot (snowboard), Chris Robanske (snowboard cross), Julianne Séguin et Charlie Bilodeau (patinage artistique) ainsi que Tessa Virtue et Scott Moir (patinage artistique) pour le plus important rendez-vous sportif de la planète des quatre dernières années.
Jeux de Rio
Le préparateur mental aimerait bien que ces athlètes connaissent autant de succès qu’aux Jeux de Rio, en 2016.
Au Brésil, il avait entouré cinq athlètes: Dorothy Eats (lutte), Catherine Beauchemin-Pinard (judo), Antoine Valois-Fortier (judo), Damian Warner (décathlon) et Derek Drouin (athlétisme). «Ce ne fut pas si mal, car nous avons gagné deux médailles», lance-t-il avec fierté.
Damian a d’ailleurs raflé la médaille de bronze au décathlon, tandis que Derek a remporté la médaille d’or au saut en hauteur. «Derek a démontré qu’il avait des nerfs d’acier. Malgré une double fracture de stress au dos avant les Jeux, il a réussi à gagner l’or. Il y a eu un travail remarquable de fait de la part de son équipe médicale.»
WIN
Et si Jean-François Ménard avait un seul conseil à donner, ce serait le suivant: «Il faut vivre le moment présent.» Il utilise souvent l’acronyme WIN: What’s important now. Par exemple, il a pris le cas du skieur acrobatique Mikaël Kingsbury. «S’il connaît un mauvais départ après son premier saut après neuf secondes, Mikaël doit immédiatement oublier et penser au moment présent. Sa course dure 22 secondes.»
Obsédé par la victoire
Ménard adore gagner et déteste perdre. «Quand je joue à quelque chose, je veux gagner, insiste-t-il. Par exemple, si nous jouons aux cartes, je vais tout faire pour l’emporter.» Il considère que son obsession pour la victoire est un atout pour aider les athlètes à atteindre l’excellence. «Nous voulons tous la même chose: gagner», poursuit-il.
Cirque du Soleil tatoué
M. Ménard a été embauché par le Cirque du Soleil en 2008, alors qu’il amorçait un doctorat en psychologie sportive à l’Université d’Ottawa. Durant 5 ans, il a préparé les meilleurs artistes au monde à livrer des performances exceptionnelles, près de 500 fois par année.
«J’ai le Cirque du Soleil tatoué sur le cœur, avoue-t-il. J’ai encore quelques contrats avec eux. Je suis fier d’avoir participé à ce succès international d’une compagnie québécoise.»
En 2013, il a démarré son entreprise Kambio Performance. Il devient rapidement un des préparateurs mentaux sportifs le plus convoités au Québec.
Outre les olympiens, il a également conseillé des athlètes, hockeyeurs professionnels, musiciens, chirurgiens et hommes d’affaires. Au fil des ans, il a 300 conférences à son actif et voyagé sur la planète pour partager son expertise auprès d’organisations de réputation mondiale comme le FBI, Roche, Trane, Western Union, Cisco, la GRC, Desjardins et le Comité Olympique Canadien.
Il s’est également démarqué en amenant des athlètes à monter sur le podium aux trois plus grands jeux sportifs mondiaux: Olympiques, Panaméricains et du Commonwealth. Parions qu’il voudra faire de même en Corée du Sud.