Recevoir notre infolettre
Recevez des informations sur l'actualité, événement et concours
Auteur : Camille Robillard
Les résultats du Projet intercollégial d’étude sur le consentement, l’égalité et la sexualité (PIECES), dévoilée le 22 octobre, ont fourni au Centre de prévention et d’intervention du Collège Montmorency des données probantes, afin d’orienter ses actions des prochains mois, voire prochaines années. L’enquête PIECES est le fruit d’un partenariat entre l’organisme Boscoville, la Chaire de recherche sur les violences sexistes et sexuelles en milieu d’enseignement supérieur de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et cinq cégeps de la province, dont le Collège Montmorency. Sur les 6006 personnes ayant répondu au questionnaire de l’enquête, plus du tier des répondants, étudiant ou…
Avec la campagne de sensibilisation aux violences sexuelles Parlons-nous sans tabou, quatre organismes lavallois souhaitent promouvoir des relations positives et égalitaires chez les 16-34 ans et diminuer les tabous en matière de sexualité. Selon le ministère de la Santé Publique du Québec, le deux tiers des victimes d’abus sexuel sont âgées de moins de 18 ans. C’est une des nombreuses statistiques qui a incité la Table de concertation en violence conjugale et agressions à caractère sexuel de Laval (TCVCASL), le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC) de Laval, Centre d’intervention en délinquance sexuelle (CIDS) et Centre de prévention et…
Le 2 novembre, le comité exécutif de la Ville de Laval a mandaté le Conseil des Lavalloises de produire un avis et des recommandations, afin d’orienter la rédaction d’une politique sur l’égalité entre les genres. «On veut lancer un signal très fort, déclare Sandra El-Helou, conseillère municipale de Souvenir-Labelle et responsable de la condition féminine au comité exécutif. Ce n’est pas un sujet à débat, c’est une obligation.» Pour rédiger leur avis, les 13 citoyennes constituant le Conseil des Lavalloises devront analyser les politiques d’égalité entre les femmes et les hommes des autres municipalités québécoises. «C’est une continuité, une façon…
Dix-huit nouveaux cas de COVID-19 déclarés au cours de la fin de semaine à l’école Marcel-Vaillancourt obligent l’établissement de Laval-des-Rapides à fermer ses portes. Dans une lettre envoyée aux parents des étudiants le dimanche 8 novembre, le Centre de services scolaire de Laval (CSL) explique que cette mesure préventive permettra de procéder à une analyse approfondie en collaboration avec la Direction de la santé publique du Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval. «À la suite de cette analyse et des résultats de l’enquête épidémiologique, nous serons en mesure de confirmer les mesures qui seront déployées à…
Le nombre d’appels de détresse a augmenté de 20% au Centre d’écoute de Laval depuis le début de la pandémie. Avec les journées qui s’écourtent et le froid qui s’installe au Québec, alors que la COVID-19 et les mesures sanitaires continuent de sévir, le service d’aide gratuit, anonyme et confidentiel sera d’autant plus essentiel. La ligne d’écoute lavalloise joignable en tout temps existe depuis maintenant 32 ans. «Avant, c’était perçu comme un filet de sécurité social, partage Gilles Brien, météorologue, chroniqueur et porte-parole du Centre d’écoute de Laval. Avec la pandémie, on a réalisé que c’était plutôt un service complémentaire…
La Direction de santé publique de Laval soutient tout faire en son pouvoir pour réduire les conséquences de la pandémie sur la santé mentale, notamment dans l’accessibilité aux ressources en prévention du suicide, un de ses chevaux de bataille. En 2020, 31 suicides ont nécessité une intervention du Service de police de Laval (SPL) jusqu’ici. «Nous remarquons une légère diminution de mort par suicide pour les années complètes entre 2018 et 2019 (5 cas) et une augmentation de 7 cas entre l’année complète de 2019 et la période du 1er janvier 2020 au 2 novembre 2020», affirme Erika Landry, porte-parole…
Dans un rapport dévoilé le 7 octobre, la Table de concertation de Laval en condition féminine (TCLCF) dénonce que 69 000 Lavalloises gagnent encore moins de 20 000 $ par année, soit une proportion de 40 % des femmes de la région. Ceci s’expliquerait notamment par un déséquilibre entre les hommes et les femmes dans la prise en charge du travail domestique et de la discrimination qu’elles vivent à l’embauche. Ces constats sont mis de l’avant dans le rapport Laval mobilisée pour les femmes en situation de vulnérabilité en parcours vers l’emploi démontrant que plusieurs obstacles maintiennent les femmes en situation de…