Les rencontres précédentes avaient eu lieu les 29 novembre 2016 et 8 juin 2017.
«Nous tenons à ce que les gens voient les premières étapes franchies dans le projet afin d’amorcer les différents changements dans le secteur, que ce soit la densification de la population et les hauteurs maximums de bâtiments, les rues qu’on change ou non», d’affirmer Stéphane Boyer, conseiller de Duvernay-Pont-Viau, flanqué de Daniel Hébert, conseiller de Marigot.
La vision urbanistique dévoilée s’étalera sur une période de 20 ans, comprenant des projets à court, moyen et long terme, afin de transformer le visage de Pont-Viau et Laval-des-Rapides.
Promenade et cour municipale
D’entrée de jeu, Nathalie Lavoie et Daniel Cyr, tous deux conseillers en aménagement urbain au Bureau des grands projets de la Ville de Laval, ont annoncé qu’un aménagement temporaire appelé la promenade du Pont-Viau sera implanté en bordure de la rivière des Prairies à partir du 27 mai.
Situé directement au pied du pont, ce nouvel espace sera accessible tous les jours en période estivale, accueillant parfois des ateliers participatifs et activités organisées par les organismes du secteur.
«Dans l’attente d’un vrai parc riverain et d’une entrée de ville digne de ce nom, les citoyens pourront échanger aussi sur leur expérience via un groupe Facebook, de mentionner Mme Lavoie. Ce plan se déploie avant qu’on lance un concours d’architecture, en 2019, pour dresser un bâtiment signature sur le site de la cour municipale dont la valeur architecturale est actuellement sous étude, autant pour l’ancien hôtel de ville que la caserne de pompiers.»
Pour atteindre son objectif d’espace vert à l’ombre du pont Viau, la Ville de Laval poursuit ses démarches pour l’acquisition d’un bâtiment commercial abritant actuellement un sauna érotique.
«Tant que nous n’aurons pas un projet concret à mettre en place, nous tenons à minimiser les impacts sur les propriétaires, de souligner Stéphane Boyer. Il ne sert à rien de bousculer personne si nous ne sommes encore pas prêts à procéder immédiatement.»
Quant au repositionnement des équipements publics, on espère que l’arrivée d’une nouvelle cour municipale et d’ensembles immobiliers s’élevant de 4 à 8 étages, exceptionnellement jusqu’à 10, le long d’un boulevard des Laurentides rénové aura des impacts positifs sur la vitalité économique en créant de nombreux emplois.
Une concentration de commerces de proximité (cliniques médicales, boulangerie, cafés, etc.), un besoin souvent exprimé par de nombreux citoyens, est espérée pour un tronçon du boulevard Cartier.
Sur le plan de la connectivité et mobilité, le prolongement de la rue Labelle semble bien déterminé, ainsi que le verdissement des grands boulevards et une stratégie de réduction de vitesse via l’utilisation de la rue Saint-Hubert, ancien axe naturel à la sortie du pont.
«Nous voulons un réseau de rues reconfiguré et simplifié visant des déplacements piétonniers agréables pour tous, sans oublier des pistes cyclables invitantes, sécuritaires, et des lieux d’intérêt facilement accessibles», de spécifier Daniel Cyr.
Un stationnement étagé disponible pour tous demeure une des options analysées pour répondre aux exigences futures en cette matière.
Places publiques et espaces verts
En ce qui concerne le parc vert de ce secteur, on tient à bonifier les 20 hectares déjà acquis.
«Dans l’étude menée sur les besoins des gens, il est clair qu’on veut plus de places publiques, espaces verts, petits cafés et moins de commerces érotiques, de continuer Daniel Cyr. En priorité, la Ville a une volonté de réaménager le parc Dufresne, rue Lahaie, dont l’usage récréatif a été abandonné au profit de l’automobile. On compte vite remplacer les piscines désuètes par du gazon. Également, l’entrée du parc Rosaire-Gauthier qui sert de grand stationnement sera révisée, tout comme la halte des libellules bordant l’édicule est de la station Cartier qui prendra de l’ampleur.»
Le parc Dufresne pourrait bien être l’endroit héritant des jardins communautaires souhaités par une partie de la population, pendant que sur les rives de la rivière des Prairies, on travaille à renforcer l’identité d’insulaires et que la rue Videl cède sa place à un espace vert.
«Dans votre ville de demain, nous devons anticiper le futur, dont le déclin du pétrole, en arrivant à être capables de tout faire dans notre quartier: travailler et se divertir», de conclure Daniel Cyr, pendant que les citoyens étaient invités à exprimer leurs coups de cœur ainsi que les éléments à améliorer dans le projet leur étant présenté.
Les rencontres précédentes avaient eu lieu les 29 novembre 2016 et 8 juin 2017.
«Nous tenons à ce que les gens voient les premières étapes franchies dans le projet afin d’amorcer les différents changements dans le secteur, que ce soit la densification de la population et les hauteurs maximums de bâtiments, les rues qu’on change ou non», d’affirmer Stéphane Boyer, conseiller de Duvernay-Pont-Viau, flanqué de Daniel Hébert, conseiller de Marigot.
La vision urbanistique dévoilée s’étalera sur une période de 20 ans, comprenant des projets à court, moyen et long terme, afin de transformer le visage de Pont-Viau et Laval-des-Rapides.
Promenade et cour municipale
D’entrée de jeu, Nathalie Lavoie et Daniel Cyr, tous deux conseillers en aménagement urbain au Bureau des grands projets de la Ville de Laval, ont annoncé qu’un aménagement temporaire appelé la promenade du Pont-Viau sera implanté en bordure de la rivière des Prairies à partir du 27 mai.
Situé directement au pied du pont, ce nouvel espace sera accessible tous les jours en période estivale, accueillant parfois des ateliers participatifs et activités organisées par les organismes du secteur.
«Dans l’attente d’un vrai parc riverain et d’une entrée de ville digne de ce nom, les citoyens pourront échanger aussi sur leur expérience via un groupe Facebook, de mentionner Mme Lavoie. Ce plan se déploie avant qu’on lance un concours d’architecture, en 2019, pour dresser un bâtiment signature sur le site de la cour municipale dont la valeur architecturale est actuellement sous étude, autant pour l’ancien hôtel de ville que la caserne de pompiers.»
Pour atteindre son objectif d’espace vert à l’ombre du pont Viau, la Ville de Laval poursuit ses démarches pour l’acquisition d’un bâtiment commercial abritant actuellement un sauna érotique.
«Tant que nous n’aurons pas un projet concret à mettre en place, nous tenons à minimiser les impacts sur les propriétaires, de souligner Stéphane Boyer. Il ne sert à rien de bousculer personne si nous ne sommes encore pas prêts à procéder immédiatement.»
Quant au repositionnement des équipements publics, on espère que l’arrivée d’une nouvelle cour municipale et d’ensembles immobiliers s’élevant de 4 à 8 étages, exceptionnellement jusqu’à 10, le long d’un boulevard des Laurentides rénové aura des impacts positifs sur la vitalité économique en créant de nombreux emplois.
Une concentration de commerces de proximité (cliniques médicales, boulangerie, cafés, etc.), un besoin souvent exprimé par de nombreux citoyens, est espérée pour un tronçon du boulevard Cartier.
Sur le plan de la connectivité et mobilité, le prolongement de la rue Labelle semble bien déterminé, ainsi que le verdissement des grands boulevards et une stratégie de réduction de vitesse via l’utilisation de la rue Saint-Hubert, ancien axe naturel à la sortie du pont.
«Nous voulons un réseau de rues reconfiguré et simplifié visant des déplacements piétonniers agréables pour tous, sans oublier des pistes cyclables invitantes, sécuritaires, et des lieux d’intérêt facilement accessibles», de spécifier Daniel Cyr.
Un stationnement étagé disponible pour tous demeure une des options analysées pour répondre aux exigences futures en cette matière.
Places publiques et espaces verts
En ce qui concerne le parc vert de ce secteur, on tient à bonifier les 20 hectares déjà acquis.
«Dans l’étude menée sur les besoins des gens, il est clair qu’on veut plus de places publiques, espaces verts, petits cafés et moins de commerces érotiques, de continuer Daniel Cyr. En priorité, la Ville a une volonté de réaménager le parc Dufresne, rue Lahaie, dont l’usage récréatif a été abandonné au profit de l’automobile. On compte vite remplacer les piscines désuètes par du gazon. Également, l’entrée du parc Rosaire-Gauthier qui sert de grand stationnement sera révisée, tout comme la halte des libellules bordant l’édicule est de la station Cartier qui prendra de l’ampleur.»
Le parc Dufresne pourrait bien être l’endroit héritant des jardins communautaires souhaités par une partie de la population, pendant que sur les rives de la rivière des Prairies, on travaille à renforcer l’identité d’insulaires et que la rue Videl cède sa place à un espace vert.
«Dans votre ville de demain, nous devons anticiper le futur, dont le déclin du pétrole, en arrivant à être capables de tout faire dans notre quartier: travailler et se divertir», de conclure Daniel Cyr, pendant que les citoyens étaient invités à exprimer leurs coups de cœur ainsi que les éléments à améliorer dans le projet leur étant présenté.