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    Accueil»Actualités»Philip Chiang rêve d’expansion ailleurs au Canada

    Philip Chiang rêve d’expansion ailleurs au Canada

    Benoit LeBlancPar Benoit LeBlanc17 août 2017
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    Ayant découvert la cuisine chinoise traditionnelle dans le restaurant de sa mère, à San Francisco, Philip Chiang a rapidement voulu imposer sa propre vision de la gastronomie de type asiatique, ce qu'il sert désormais dans plus de 300 franchises à travers le monde.
    Ayant découvert la cuisine chinoise traditionnelle dans le restaurant de sa mère, à San Francisco, Philip Chiang a rapidement voulu imposer sa propre vision de la gastronomie de type asiatique, ce qu'il sert désormais dans plus de 300 franchises à travers le monde. ©Photo - Photo TC Media - Mario Beauregard
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    «Nous avons lancé cette gamme de menus pour la maison il y a cinq ans, mentionne le restaurateur aussi artiste et homme d’affaires assis dans sa franchise du Carrefour Laval, l’une des 300 qu’il possède à travers le monde. Nous en sommes rendus à 30 éléments.»

    Cependant, pas question que ces produits entrent dans ses cuisines où tout est fait maison à la seconde, selon la commande du client et, surtout, selon la tradition héritée de sa mère. Celle-ci a été l’une des premières à introduire la cuisine chinoise autre que cantonaise, soit la gastronomie de Beijing, Shanghai et du Széchuan, en Californie, d’abord à San Francisco, puis Los Angeles.

    «Pour moi, cuisiner a toujours été laborieux, alors j’aime ce qui est simple et frais, précise Philip Chiang. Nous servons les mêmes recettes, peu importe où sur la planète. Nous nous sommes éloignés de la cuisine chinoise trop salée ou trop pleine de sauce avec parfois des ingrédients inutiles.»

    Ainsi, le roulé de laitue au poulet, les crevettes géantes sel et poivre ainsi que le bœuf de Mongolie font partie de ses préférés, alors que d’autres favoriseront les dumplings faits à la main, le poulet kung pao ou le filet de morue de Norvège au thé oolong.

    Débuts familiaux

    Philip Chiang est né à Shanghai et a grandi à Tokyo, au Japon. Adolescent, il rêvait de toiles, sculptures et photographies exposées dans les plus grandes galeries d’art des cinq continents.

    Aujourd’hui, près de 200 de ses restaurants sont éparpillés à travers les États-Unis et depuis 8 ans, le réseau s’étend outre-frontières, principalement en Amérique du Sud et au Moyen-Orient.

    «Nous avons débuté avec Mexico et la Corée et souhaitons maintenant nous développer en Espagne, Italie et Scandinavie, en plus de vouloir ajouter d’autres franchises ici, au Canada, après celles de Laval et Montréal», indique celui qui avait accepté à contrecœur de s’occuper du restaurant que sa mère venait d’ouvrir à Los Angeles où il étudiait l’art visuel, en 1979.

    Réalisant qu’un généreux chèque de paye hebdomadaire était une bonne chose, d’autant plus pour un jeune marié, le cuisinier artiste plongera dans la cuisine et les affaires en fondant son premier restaurant, The Mandarette, à Hollywood, désirant s’éloigner du chic adopté par sa mère.

    «Je voulais un endroit plus bohème et intime, convivial, avec des artistes à qui on servirait de petits plats sophistiqués, ce qui n’était pas encore la mode», se souvient-il.

    Progression fulgurante

    En 1992, le jeune restaurateur rencontrera un client régulier, lui-même impliqué dans la restauration, Paul Fleming. Ce dernier vient de déménager à Phoenix, en Arizona, et désespère de trouver cette gastronomie asiatique qu’il aime tellement. Le premier PF Chang’s verra alors le jour.

    «Je lui ai dit de se charger des affaires, ce que je déteste, et que j’allais m’occuper de la nourriture, confie Philip Chiang. Dès lors, ça n’a jamais cessé d’être occupé et de grossir rapidement, avec 10 à 12 nouveaux restaurants chaque année.»

    L’entrée en Bourse, en 1998, donnera le dernier coup de pouce à une expansion demeurant encore spectaculaire.

    «Nous avons lancé cette gamme de menus pour la maison il y a cinq ans, mentionne le restaurateur aussi artiste et homme d’affaires assis dans sa franchise du Carrefour Laval, l’une des 300 qu’il possède à travers le monde. Nous en sommes rendus à 30 éléments.»

    Cependant, pas question que ces produits entrent dans ses cuisines où tout est fait maison à la seconde, selon la commande du client et, surtout, selon la tradition héritée de sa mère. Celle-ci a été l’une des premières à introduire la cuisine chinoise autre que cantonaise, soit la gastronomie de Beijing, Shanghai et du Széchuan, en Californie, d’abord à San Francisco, puis Los Angeles.

    «Pour moi, cuisiner a toujours été laborieux, alors j’aime ce qui est simple et frais, précise Philip Chiang. Nous servons les mêmes recettes, peu importe où sur la planète. Nous nous sommes éloignés de la cuisine chinoise trop salée ou trop pleine de sauce avec parfois des ingrédients inutiles.»

    Ainsi, le roulé de laitue au poulet, les crevettes géantes sel et poivre ainsi que le bœuf de Mongolie font partie de ses préférés, alors que d’autres favoriseront les dumplings faits à la main, le poulet kung pao ou le filet de morue de Norvège au thé oolong.

    Débuts familiaux

    Philip Chiang est né à Shanghai et a grandi à Tokyo, au Japon. Adolescent, il rêvait de toiles, sculptures et photographies exposées dans les plus grandes galeries d’art des cinq continents.

    Aujourd’hui, près de 200 de ses restaurants sont éparpillés à travers les États-Unis et depuis 8 ans, le réseau s’étend outre-frontières, principalement en Amérique du Sud et au Moyen-Orient.

    «Nous avons débuté avec Mexico et la Corée et souhaitons maintenant nous développer en Espagne, Italie et Scandinavie, en plus de vouloir ajouter d’autres franchises ici, au Canada, après celles de Laval et Montréal», indique celui qui avait accepté à contrecœur de s’occuper du restaurant que sa mère venait d’ouvrir à Los Angeles où il étudiait l’art visuel, en 1979.

    Réalisant qu’un généreux chèque de paye hebdomadaire était une bonne chose, d’autant plus pour un jeune marié, le cuisinier artiste plongera dans la cuisine et les affaires en fondant son premier restaurant, The Mandarette, à Hollywood, désirant s’éloigner du chic adopté par sa mère.

    «Je voulais un endroit plus bohème et intime, convivial, avec des artistes à qui on servirait de petits plats sophistiqués, ce qui n’était pas encore la mode», se souvient-il.

    Progression fulgurante

    En 1992, le jeune restaurateur rencontrera un client régulier, lui-même impliqué dans la restauration, Paul Fleming. Ce dernier vient de déménager à Phoenix, en Arizona, et désespère de trouver cette gastronomie asiatique qu’il aime tellement. Le premier PF Chang’s verra alors le jour.

    «Je lui ai dit de se charger des affaires, ce que je déteste, et que j’allais m’occuper de la nourriture, confie Philip Chiang. Dès lors, ça n’a jamais cessé d’être occupé et de grossir rapidement, avec 10 à 12 nouveaux restaurants chaque année.»

    L’entrée en Bourse, en 1998, donnera le dernier coup de pouce à une expansion demeurant encore spectaculaire.

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    Benoit LeBlanc

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