Close Menu
Courrier LavalCourrier Laval

    Recevoir notre infolettre

    Recevez des informations sur l'actualité, événement et concours

    À la une

    Homme blessé en sautant du balcon lors d’un feu de cuisine

    12 mai 2025

    Les Produits du Québec: la campagne de promotion prolongée

    12 mai 2025

    Nouveau roman pour Richard Cloutier

    12 mai 2025
    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube LinkedIn
    • Nous joindre
    • Service aux annonceurs
    • Courrier Laval EN
    • Faire un don
    La météo à Laval
    Lundi 12 mai
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Courrier LavalCourrier Laval
    • Actualités
      1. Économie
      2. Politique
      3. Politique municipale
      4. Société
      5. Voir tout

      Les Produits du Québec: la campagne de promotion prolongée

      12 mai 2025

      Travailleurs étrangers temporaires : modernisation urgente demandée

      12 mai 2025

      Stéphane Boyer fait valoir la résilience économique de Laval

      11 mai 2025

      Guerre commerciale: l’attrait de la maison bleue avec la fleur de lys

      11 mai 2025

      Nouvelle Politique de consultation publique pour la Ville de Laval

      8 mai 2025

      Entente de principe négociée entre la Ville de Laval et ses policiers

      6 mai 2025

      Élection fédérale | Plus haut taux de participation depuis 1993

      30 avril 2025

      Ascension marquée des conservateurs à Laval

      29 avril 2025

      Nouvelle Politique de consultation publique pour la Ville de Laval

      8 mai 2025

      Entente de principe négociée entre la Ville de Laval et ses policiers

      6 mai 2025

      Pour réduire de 20 M$ ses dépenses annuelles, Laval s’associe à l’ENAP

      9 avril 2025

      Budget Girard: rien pour la région dénonce Action Laval

      28 mars 2025

      Pas à Pattes et Cie: milieu de vie enrichissant au cœur de Chomedey

      10 mai 2025

      Fête des Mères: conseils judicieux pour célébrer maman

      8 mai 2025

      28 corps, 28 histoires au Centre des femmes de Laval

      5 mai 2025

      Le Tour du Silence de retour le 21 mai à Laval

      5 mai 2025

      Homme blessé en sautant du balcon lors d’un feu de cuisine

      12 mai 2025

      Les Produits du Québec: la campagne de promotion prolongée

      12 mai 2025

      Nouveau roman pour Richard Cloutier

      12 mai 2025

      Travailleurs étrangers temporaires : modernisation urgente demandée

      12 mai 2025
    • Faits divers
    • Culture
    • Sports

      Farès Arfa se bute au champion et termine 35e à Séoul

      11 mai 2025

      Changement de carrière compétitif pour une massothérapeute lavalloise

      11 mai 2025

      Le FC Laval éliminé du Championnat canadien de soccer

      10 mai 2025

      Portes ouvertes gratuites au Club d’aviron de Laval

      9 mai 2025

      La Victoire s’incline à son premier match des séries

      8 mai 2025
    • Édition virtuelle
      • Édition de la semaine
      • Archives
    • Inspiration
    • MAG Laval
    • Plus +
      • Concours
      • Emploi
      • Points de dépôt
      • Zone Aubaines
    Courrier LavalCourrier Laval
    Accueil»Actualités»Philip Chiang rêve d’expansion ailleurs au Canada

    Philip Chiang rêve d’expansion ailleurs au Canada

    Benoit LeBlancPar Benoit LeBlanc17 août 2017
    Facebook Twitter LinkedIn
    Ayant découvert la cuisine chinoise traditionnelle dans le restaurant de sa mère, à San Francisco, Philip Chiang a rapidement voulu imposer sa propre vision de la gastronomie de type asiatique, ce qu'il sert désormais dans plus de 300 franchises à travers le monde.
    Ayant découvert la cuisine chinoise traditionnelle dans le restaurant de sa mère, à San Francisco, Philip Chiang a rapidement voulu imposer sa propre vision de la gastronomie de type asiatique, ce qu'il sert désormais dans plus de 300 franchises à travers le monde. ©Photo - Photo TC Media - Mario Beauregard
    Partager
    Facebook Twitter LinkedIn

    «Nous avons lancé cette gamme de menus pour la maison il y a cinq ans, mentionne le restaurateur aussi artiste et homme d’affaires assis dans sa franchise du Carrefour Laval, l’une des 300 qu’il possède à travers le monde. Nous en sommes rendus à 30 éléments.»

    Cependant, pas question que ces produits entrent dans ses cuisines où tout est fait maison à la seconde, selon la commande du client et, surtout, selon la tradition héritée de sa mère. Celle-ci a été l’une des premières à introduire la cuisine chinoise autre que cantonaise, soit la gastronomie de Beijing, Shanghai et du Széchuan, en Californie, d’abord à San Francisco, puis Los Angeles.

    «Pour moi, cuisiner a toujours été laborieux, alors j’aime ce qui est simple et frais, précise Philip Chiang. Nous servons les mêmes recettes, peu importe où sur la planète. Nous nous sommes éloignés de la cuisine chinoise trop salée ou trop pleine de sauce avec parfois des ingrédients inutiles.»

    Ainsi, le roulé de laitue au poulet, les crevettes géantes sel et poivre ainsi que le bœuf de Mongolie font partie de ses préférés, alors que d’autres favoriseront les dumplings faits à la main, le poulet kung pao ou le filet de morue de Norvège au thé oolong.

    Débuts familiaux

    Philip Chiang est né à Shanghai et a grandi à Tokyo, au Japon. Adolescent, il rêvait de toiles, sculptures et photographies exposées dans les plus grandes galeries d’art des cinq continents.

    Aujourd’hui, près de 200 de ses restaurants sont éparpillés à travers les États-Unis et depuis 8 ans, le réseau s’étend outre-frontières, principalement en Amérique du Sud et au Moyen-Orient.

    «Nous avons débuté avec Mexico et la Corée et souhaitons maintenant nous développer en Espagne, Italie et Scandinavie, en plus de vouloir ajouter d’autres franchises ici, au Canada, après celles de Laval et Montréal», indique celui qui avait accepté à contrecœur de s’occuper du restaurant que sa mère venait d’ouvrir à Los Angeles où il étudiait l’art visuel, en 1979.

    Réalisant qu’un généreux chèque de paye hebdomadaire était une bonne chose, d’autant plus pour un jeune marié, le cuisinier artiste plongera dans la cuisine et les affaires en fondant son premier restaurant, The Mandarette, à Hollywood, désirant s’éloigner du chic adopté par sa mère.

    «Je voulais un endroit plus bohème et intime, convivial, avec des artistes à qui on servirait de petits plats sophistiqués, ce qui n’était pas encore la mode», se souvient-il.

    Progression fulgurante

    En 1992, le jeune restaurateur rencontrera un client régulier, lui-même impliqué dans la restauration, Paul Fleming. Ce dernier vient de déménager à Phoenix, en Arizona, et désespère de trouver cette gastronomie asiatique qu’il aime tellement. Le premier PF Chang’s verra alors le jour.

    «Je lui ai dit de se charger des affaires, ce que je déteste, et que j’allais m’occuper de la nourriture, confie Philip Chiang. Dès lors, ça n’a jamais cessé d’être occupé et de grossir rapidement, avec 10 à 12 nouveaux restaurants chaque année.»

    L’entrée en Bourse, en 1998, donnera le dernier coup de pouce à une expansion demeurant encore spectaculaire.

    «Nous avons lancé cette gamme de menus pour la maison il y a cinq ans, mentionne le restaurateur aussi artiste et homme d’affaires assis dans sa franchise du Carrefour Laval, l’une des 300 qu’il possède à travers le monde. Nous en sommes rendus à 30 éléments.»

    Cependant, pas question que ces produits entrent dans ses cuisines où tout est fait maison à la seconde, selon la commande du client et, surtout, selon la tradition héritée de sa mère. Celle-ci a été l’une des premières à introduire la cuisine chinoise autre que cantonaise, soit la gastronomie de Beijing, Shanghai et du Széchuan, en Californie, d’abord à San Francisco, puis Los Angeles.

    «Pour moi, cuisiner a toujours été laborieux, alors j’aime ce qui est simple et frais, précise Philip Chiang. Nous servons les mêmes recettes, peu importe où sur la planète. Nous nous sommes éloignés de la cuisine chinoise trop salée ou trop pleine de sauce avec parfois des ingrédients inutiles.»

    Ainsi, le roulé de laitue au poulet, les crevettes géantes sel et poivre ainsi que le bœuf de Mongolie font partie de ses préférés, alors que d’autres favoriseront les dumplings faits à la main, le poulet kung pao ou le filet de morue de Norvège au thé oolong.

    Débuts familiaux

    Philip Chiang est né à Shanghai et a grandi à Tokyo, au Japon. Adolescent, il rêvait de toiles, sculptures et photographies exposées dans les plus grandes galeries d’art des cinq continents.

    Aujourd’hui, près de 200 de ses restaurants sont éparpillés à travers les États-Unis et depuis 8 ans, le réseau s’étend outre-frontières, principalement en Amérique du Sud et au Moyen-Orient.

    «Nous avons débuté avec Mexico et la Corée et souhaitons maintenant nous développer en Espagne, Italie et Scandinavie, en plus de vouloir ajouter d’autres franchises ici, au Canada, après celles de Laval et Montréal», indique celui qui avait accepté à contrecœur de s’occuper du restaurant que sa mère venait d’ouvrir à Los Angeles où il étudiait l’art visuel, en 1979.

    Réalisant qu’un généreux chèque de paye hebdomadaire était une bonne chose, d’autant plus pour un jeune marié, le cuisinier artiste plongera dans la cuisine et les affaires en fondant son premier restaurant, The Mandarette, à Hollywood, désirant s’éloigner du chic adopté par sa mère.

    «Je voulais un endroit plus bohème et intime, convivial, avec des artistes à qui on servirait de petits plats sophistiqués, ce qui n’était pas encore la mode», se souvient-il.

    Progression fulgurante

    En 1992, le jeune restaurateur rencontrera un client régulier, lui-même impliqué dans la restauration, Paul Fleming. Ce dernier vient de déménager à Phoenix, en Arizona, et désespère de trouver cette gastronomie asiatique qu’il aime tellement. Le premier PF Chang’s verra alors le jour.

    «Je lui ai dit de se charger des affaires, ce que je déteste, et que j’allais m’occuper de la nourriture, confie Philip Chiang. Dès lors, ça n’a jamais cessé d’être occupé et de grossir rapidement, avec 10 à 12 nouveaux restaurants chaque année.»

    L’entrée en Bourse, en 1998, donnera le dernier coup de pouce à une expansion demeurant encore spectaculaire.

    Print Friendly, PDF & EmailImprimer le texte
    Partager Facebook Twitter LinkedIn
    Benoit LeBlanc

    Articles Similaires

    Homme blessé en sautant du balcon lors d’un feu de cuisine

    12 mai 2025

    Les Produits du Québec: la campagne de promotion prolongée

    12 mai 2025

    Nouveau roman pour Richard Cloutier

    12 mai 2025
    Tour d’actualité

    Homme blessé en sautant du balcon lors d’un feu de cuisine

    Faits divers 12 mai 2025

    Une défaillance ou défectuosité électrique ou mécanique serait la cause d’un incendie ayant forcé l’occupant…

    Print Friendly, PDF & EmailImprimer le texte

    Les Produits du Québec: la campagne de promotion prolongée

    12 mai 2025

    Nouveau roman pour Richard Cloutier

    12 mai 2025
    Suivez-nous
    • Facebook
    • Twitter
    • Instagram
    • YouTube
    Notre Mission
    Notre Mission

    Rejoindre l’ensemble des citoyens de Laval, et ce, par notre réseau de diffusion unique constitué de publications imprimées, de sites web, de blogues, et par une présence importante dans la communauté et dans les réseaux sociaux.

    Financé par le gouvernement du Canada

    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube LinkedIn
    Sur le vif

    Homme blessé en sautant du balcon lors d’un feu de cuisine

    12 mai 2025

    Les Produits du Québec: la campagne de promotion prolongée

    12 mai 2025

    Nouveau roman pour Richard Cloutier

    12 mai 2025

    Recevoir notre infolettre

    Recevez des informations sur l'actualité, événement et concours

    © 2025 Tous droits réservés - Création 2M MEDIA
    • Info citoyen
    • Conditions d’utilisation et politique de confidentialité
    • Service aux annonceurs
    • Qui sommes-nous ?

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Échap pour annuler.