Sara, Eve, Kenia, Kiana et Taysha, des stagiaires en travail social au cégep Marie-Victorin ont profité de l’occasion pour présenter divers outils qui seront utilisés cette prochaine année pour faire la promotion de cette nouvelle ressource espérée en sol lavallois., soit des marguerites blanches, symboles d’entraide, 10 cartes postales différentes comprenant des faits et statistiques, ainsi que des macarons faits à la main.
Un comité de travail a été mis sur pied par la TCLCF pour paver la voie à la Maison Marie-Marguerite. Ses membres s’efforceront de bien documenter les besoins sur le terrain avant d’énoncer une vision et la forme finale du projet escompté, ont indiqué Nicole Séguin et Marie-Hélène Boucher, qui font partie de cette équipe.
«Nous tenons à élaborer cette ressource non mixte d’hébergement qui manque à Laval en cohérence et communication avec les autres projets de développement de maisons d’hébergement sur le territoire», de préciser Marie-Eve Surprenant, coordonnatrice de la TCLCF.
Suite logique
Avant cette annonce, les quelque 50 personnes rassemblées au Centre communautaire St-Joseph avaient eu droit à un résumé des étapes ayant mené à cette campagne de mobilisation.
Ancienne présidente de la TCLCF et intervenante au CPIVAS (Centre de prévention et d’intervention pour victimes d’agression sexuelle), Julie Dagenais a démontré la complexification de ce que vivent ces femmes (précarité financière, violence conjugale, troubles de santé mentale, insécurité alimentaire) et l’augmentation de celles-ci.
Ces réalités avaient été discutées et analysées lors d’un colloque tenu en janvier 2017, en présence de 150 participantes, et qui faisait suite au «Portrait des femmes en situation de vulnérabilité à Laval» déposé en septembre 2015.
Sara, Eve, Kenia, Kiana et Taysha, des stagiaires en travail social au cégep Marie-Victorin ont profité de l’occasion pour présenter divers outils qui seront utilisés cette prochaine année pour faire la promotion de cette nouvelle ressource espérée en sol lavallois., soit des marguerites blanches, symboles d’entraide, 10 cartes postales différentes comprenant des faits et statistiques, ainsi que des macarons faits à la main.
Un comité de travail a été mis sur pied par la TCLCF pour paver la voie à la Maison Marie-Marguerite. Ses membres s’efforceront de bien documenter les besoins sur le terrain avant d’énoncer une vision et la forme finale du projet escompté, ont indiqué Nicole Séguin et Marie-Hélène Boucher, qui font partie de cette équipe.
«Nous tenons à élaborer cette ressource non mixte d’hébergement qui manque à Laval en cohérence et communication avec les autres projets de développement de maisons d’hébergement sur le territoire», de préciser Marie-Eve Surprenant, coordonnatrice de la TCLCF.
Suite logique
Avant cette annonce, les quelque 50 personnes rassemblées au Centre communautaire St-Joseph avaient eu droit à un résumé des étapes ayant mené à cette campagne de mobilisation.
Ancienne présidente de la TCLCF et intervenante au CPIVAS (Centre de prévention et d’intervention pour victimes d’agression sexuelle), Julie Dagenais a démontré la complexification de ce que vivent ces femmes (précarité financière, violence conjugale, troubles de santé mentale, insécurité alimentaire) et l’augmentation de celles-ci.
Ces réalités avaient été discutées et analysées lors d’un colloque tenu en janvier 2017, en présence de 150 participantes, et qui faisait suite au «Portrait des femmes en situation de vulnérabilité à Laval» déposé en septembre 2015.