Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’Initiative des supergrappes d’innovation lancée au printemps par le ministre fédéral de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, Navdeep Bains.
Outre Ville de Laval, TechnoMontréal a reçu 55 autres lettres d’appui et d’engagement dont celles des ministres Dominique Anglade, Gaétan Barrette et Martin Coiteux.
Une telle infrastructure technologique impliquerait des investissements évalués à 340 M$, incluant la contribution fédérale et les intentions exprimées par les différents partenaires commerciaux et industriels.
Position avantageuse
«Les industries du commerce de gros et de détail tiennent une place majeure dans notre économie, fait valoir le maire Marc Demers. Elles comptent pour quelque 37 000 emplois, soit près d’un emploi sur quatre.»
Cette densité commerciale nettement plus élevée que celle de la moyenne des villes du Québec conférerait à Laval une position plutôt avantageuse pour recevoir la supergrappe, estime-t-il.
D’autant plus que le directeur général adjoint au Développement économique de la Ville, Marc Tremblay, planche depuis plus de 18 mois à la mise en place d’un pôle d’innovation lié au commerce de détail à Laval, et ce, en collaboration avec plusieurs partenaires dont TechnoMontréal.
Incidemment, le travail réalisé en amont aurait grandement facilité, voire accéléré, la préparation et le dépôt du dossier de candidature de l’agglomération de Montréal dans le cadre de l’appel de propositions d’Ottawa, poursuit M. Tremblay.
«Depuis le jour un du nouveau Service de développement économique, nous avons priorisé ce secteur, appuie le directeur en parlant de ce pôle suprarégional de compétitivité du commerce de détail. Un peu à l’image de notre Cité de la biotech, ce pôle est en train de voir le jour».
Quant à la supergrappe nationale à laquelle aspire l’administration Demers, elle regrouperait les grands joueurs de l’industrie, des centres d’enseignement universitaire, de recherche et de développement, un incubateur d’entreprises de même qu’un accélérateur de startup.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’Initiative des supergrappes d’innovation lancée au printemps par le ministre fédéral de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, Navdeep Bains.
Outre Ville de Laval, TechnoMontréal a reçu 55 autres lettres d’appui et d’engagement dont celles des ministres Dominique Anglade, Gaétan Barrette et Martin Coiteux.
Une telle infrastructure technologique impliquerait des investissements évalués à 340 M$, incluant la contribution fédérale et les intentions exprimées par les différents partenaires commerciaux et industriels.
Position avantageuse
«Les industries du commerce de gros et de détail tiennent une place majeure dans notre économie, fait valoir le maire Marc Demers. Elles comptent pour quelque 37 000 emplois, soit près d’un emploi sur quatre.»
Cette densité commerciale nettement plus élevée que celle de la moyenne des villes du Québec conférerait à Laval une position plutôt avantageuse pour recevoir la supergrappe, estime-t-il.
D’autant plus que le directeur général adjoint au Développement économique de la Ville, Marc Tremblay, planche depuis plus de 18 mois à la mise en place d’un pôle d’innovation lié au commerce de détail à Laval, et ce, en collaboration avec plusieurs partenaires dont TechnoMontréal.
Incidemment, le travail réalisé en amont aurait grandement facilité, voire accéléré, la préparation et le dépôt du dossier de candidature de l’agglomération de Montréal dans le cadre de l’appel de propositions d’Ottawa, poursuit M. Tremblay.
«Depuis le jour un du nouveau Service de développement économique, nous avons priorisé ce secteur, appuie le directeur en parlant de ce pôle suprarégional de compétitivité du commerce de détail. Un peu à l’image de notre Cité de la biotech, ce pôle est en train de voir le jour».
Quant à la supergrappe nationale à laquelle aspire l’administration Demers, elle regrouperait les grands joueurs de l’industrie, des centres d’enseignement universitaire, de recherche et de développement, un incubateur d’entreprises de même qu’un accélérateur de startup.