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LAVAL-DES-RAPIDES. Après la publication d’une photo d’un individu en possession d’une arme de poing dans des toilettes du Collège Montmorency, des étudiants ont contacté la sécurité et le 911, ce qui a mené à une opération policière massive et l’arrestation d’un Lavallois de 17 ans dans la soirée du 27 février.

LAVAL-DES-RAPIDES. Le Service de police de la Ville de Laval déploie actuellement des effectifs au Collège Montmorency, situé sur le boulevard de l’Avenir, en face de la station de métro du même nom.

AUTEUIL. Deux individus dans la vingtaine auraient effectué un vol qualifié dans une station-service en se servant d’une bonbonne de poivre de Cayenne.

CHOMEDEY. Une querelle verbale a dégénéré dans la soirée du 22 février alors qu’un individu de 30 ans aurait fait feu sur un autre, en présence de plusieurs clients rassemblés au bar Le Soouund, situé au 602, boulevard Curé-Labelle.

CHOMEDEY. Bien que l’on dispose de peu d’information encore, la Police de Laval confirme qu’une fusillade a eu lieu sur le territoire lavallois devant un ensemble de deux commerces qui avaient déjà connu pareille violence il y a neuf mois.

CHOMEDEY. Dans la nuit du 22 février, des patrouilleurs ont fini par intercepter un jeune conducteur de 17 ans après qu’il soit entré en collision avec un autre véhicule en tentant de brûler un feu rouge à l’angle des boulevards Notre-Dame et Curé-Labelle.

GRAND MONTRÉAL. Dans la journée du 15 février, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a déployé une opération d’envergure visant le trafic de marijuana relié au crime organisé asiatique.

PRÉVENTION.Depuis la soirée de Saint-Valentin enneigée du 14 février, les artères lavalloises ont connu 11 événements reliés à des véhicules alors qu’uen nouvelle tempête devrait tomber en cours de journée.

FABREVILLE. Réveillée tôt le 15 février, vers 5h10, une citoyenne de la rue Frontenac a eu la surprise d’apercevoir deux jeunes, une fille et un garçon, s’affairer autour de la voiture de son voisin d’en face stationné sous un abri tempo, avant de prévenir rapidement le 911 qu’ils semblaient siphonner de l’essence.

JUSTICE. Accusé de négligence criminelle et d’entreposage de son arme de chasse sans prendre de précautions suffisantes, ce qui a causé la mort par suicide de son fils dépressif, Réjean Bergevin s’est résolu à plaider coupable au second chef d’accusation, évitant ainsi le procès.