Auteur : Stéphane St-Amour | Initiative de journalisme local
ENTRAIDE. L’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) a décerné, ce mois-ci, un prix méritas au comité d’entraide chez Multi-Marques de Laval.
DÉNONCIATION . La Coalition syndicale pour la libre négociation s’est fait voir et entendre le 17 juin, sur le coup de 14h, où plusieurs employés municipaux ont débarqué devant l’hôtel de ville pour manifester leur colère face au dépôt du projet de loi 3 sur les régimes de retraite.
FORMATION. Une aide financière est consentie aux employeurs désireux d’investir dans la mise à niveau des compétences de travailleurs formés à l’étranger en technologies de l’information et des communications (TIC).
RECHERCHE. Le consortium québécois sur la découverte du médicament (CQDM) compte sur un nouvel allié de taille en Sanofi Canada.
GOUVERNANCE. Tourisme Laval entame l’exercice 2014-2015 avec, à sa direction, une nouvelle présidente-directrice générale et un nouveau président du conseil d’administration.
EXPORTATION. Ils étaient 120 personnes à assister à la conférence de Pierre-Marc Johnson et d’Export Québec sur les occasions d’affaires, les défis et les enjeux que présente l’Accord économique et commercial global à venir entre le Canada et l’Union européenne.
PLANIFICATION. Repenser Laval. Voilà l’exercice que le maire Marc Demers propose aux grands partenaires de la Ville et à la haute fonction publique municipale, qu’il a réunis à l’hôtel de ville, le 10 juin.
ENVIRONNEMENT. Normand Legault quitte le Conseil régional de l’environnement (CRE) de Laval, après avoir servi au cours des 17 dernières années au sein de son conseil d’administration.
ÉCONOMIE. La mise au jour des systèmes collusionnaires, de fausse facturation et de prête-noms liés au financement des partis politiques, de pots-de-vins et d’histoires de corruption, lors des travaux de la Commission d’enquête sur l’octroi et la gestion des contrats publics dans l’industrie de la construction, n’aura pas été sans conséquence.
CORRUPTION. Entre 2001 et 2007, la firme de génie-conseil Cima+ a fait pour 3,1 M$ de fausses factures, essentiellement afin de financer en argent comptant la ristourne de 2 % qu’exigeait l’ex-administration Vaillancourt en retour de contrats publics.