L’individu sera de retour en Cour demain, le vendredi 5 mai, pour son enquête sur remise en liberté.
Il serait déjà inscrit au registre national des délinquants sexuels pour des événements remontant à 2013, sur la Rive-Sud de Montréal. Cette fois, les actions reprochées se seraient déroulées entre le 1er novembre 2016 et le 2 mai dernier en présence d’une fillette de 18 mois ou d’un garçon de 9 ans.
Pour l’instant, il fait face à diverses accusations de bris de condition lui interdisant notamment d’avoir des contacts avec une personne âgée de moins de 16 ans, à moins de le faire sous supervision, sinon de se trouver dans un parc public, près d’une école, garderie, un terrain de jeu, ainsi qu’une zone publique où l’on peut se baigner; sans compter l’interdiction d’utiliser Internet ou tout autre réseau numérique, à moins de le faire en conformité avec les conditions lui ayant été imposées par le tribunal.
«Je ressens de la colère et de la peine devant les sentences reçues par les pédophiles, mais au moins, ils ne l’ont pas relâché immédiatement», confiait le père du petit garçon et victime potentielle de l’individu au sortir de la comparution.
«Comment pensez-vous que je me sens aujourd’hui. Ce sont mes petits-enfants et c’est moi qui l’ai fait entrer chez nous. Ces gars-là ne devraient jamais sortir de prison», d’enchaîner la grand-mère en référence aux antécédents de l’accusé.
L’intimé était défendu par un avocat nommé d’office pour l’occasion. Il n’a pas eu un seul regard pour la famille.
Selon le récit du père du petit garçon impliqué, l’homme aurait fait connaissance avec sa belle-sœur via Facebook, où il fréquenterait de nombreuses mères monoparentales.
«Ma belle-mère aurait été témoin d’un geste complètement déplacé quand il a posé son téléphone cellulaire sur le renflement de son pénis pour ensuite demander à ma nièce de venir le chercher, nous avait-il raconté précédemment. Il s’offrait toujours pour garder les enfants!»
Rappelons que l’individu a été arrêté sur les lieux de son travail, un café Tim Hortons en territoire lavallois, dans la matinée du 3 mai.
L’individu sera de retour en Cour demain, le vendredi 5 mai, pour son enquête sur remise en liberté.
Il serait déjà inscrit au registre national des délinquants sexuels pour des événements remontant à 2013, sur la Rive-Sud de Montréal. Cette fois, les actions reprochées se seraient déroulées entre le 1er novembre 2016 et le 2 mai dernier en présence d’une fillette de 18 mois ou d’un garçon de 9 ans.
Pour l’instant, il fait face à diverses accusations de bris de condition lui interdisant notamment d’avoir des contacts avec une personne âgée de moins de 16 ans, à moins de le faire sous supervision, sinon de se trouver dans un parc public, près d’une école, garderie, un terrain de jeu, ainsi qu’une zone publique où l’on peut se baigner; sans compter l’interdiction d’utiliser Internet ou tout autre réseau numérique, à moins de le faire en conformité avec les conditions lui ayant été imposées par le tribunal.
«Je ressens de la colère et de la peine devant les sentences reçues par les pédophiles, mais au moins, ils ne l’ont pas relâché immédiatement», confiait le père du petit garçon et victime potentielle de l’individu au sortir de la comparution.
«Comment pensez-vous que je me sens aujourd’hui. Ce sont mes petits-enfants et c’est moi qui l’ai fait entrer chez nous. Ces gars-là ne devraient jamais sortir de prison», d’enchaîner la grand-mère en référence aux antécédents de l’accusé.
L’intimé était défendu par un avocat nommé d’office pour l’occasion. Il n’a pas eu un seul regard pour la famille.
Selon le récit du père du petit garçon impliqué, l’homme aurait fait connaissance avec sa belle-sœur via Facebook, où il fréquenterait de nombreuses mères monoparentales.
«Ma belle-mère aurait été témoin d’un geste complètement déplacé quand il a posé son téléphone cellulaire sur le renflement de son pénis pour ensuite demander à ma nièce de venir le chercher, nous avait-il raconté précédemment. Il s’offrait toujours pour garder les enfants!»
Rappelons que l’individu a été arrêté sur les lieux de son travail, un café Tim Hortons en territoire lavallois, dans la matinée du 3 mai.