L’héroïne Olivia Boisbriand a maintenant 15 ans. Elle est de retour à l’école après un été enivrant de mannequinat intense pour l’agence l’ayant recruté l’année précédente.
Un séminaire lui donne l’occasion d’échanger avec des gens d’expérience pendant qu’elle jongle dans son horaire entre les études et petits contrats à gauche à droite.
«Son amie Sarah se découvre ne passion pour la photo et les réseaux sociaux, s’impliquant au sein de l’agence, et une de ses collègues adopte des comportements d’intimidation dont on découvre vite le secret par le biais de blessures intérieures», relate Dïana Bélice qui aborde aussi l’aspect des troubles alimentaires.
Le nouvel emploi de la mère d’Olivia servira également à parler de l’importance de choisir une carrière bien adaptée à sa personnalité et ses valeurs.
Bonne expérience
Rappelons que dans ces romans publiés chez Hurtubise, Dïana Bélice met à profit ses six années passées à défiler sur les passerelles de Montréal et Toronto. Mince et grande (cinq pieds onze et demi), la jeune femme avait attiré l’attention d’une mannequin professionnelle en participant au Gala Révélations 2005. Celle-ci avait repris le discours de plusieurs membres de son entourage: elle avait tout ce qu’il fallait, notamment des jambes vertigineuses, pour devenir modèle.
«J’ai fait du ballet classique durant 16 ans et je m’entraînais en gym, raconte la criminologue et écrivaine qui avait 18 ans à l’époque. Toutefois, je suis une personne réservée dans la vie de tous les jours et encore aujourd’hui, je ne suis guère douée pour le maquillage. Des gens s’en chargeaient pour moi!»
Diana Bélice participera à de nombreux événements, dont plusieurs éditions de la Semaine de Mode de Montréal.
«J’ai trouvé un moyen de m’exprimer, d’être féminine et sexy, sans avoir à parler, racontait-elle au Courrier Laval lors du lancement de la série. Toutefois, mon poids est passé de 120 à 150 livres après m’être inscrite en psychologie à l’Université de Montréal. On parlait d’Europe et les agences me trouvaient trop grosse. J’ai arrêté, préférant poursuivre mes études. Je trouvais ça ridicule. J’avais enfin des formes et j’aimais ça!»
Ces dernières expériences ont poussé l’auteure à proposer des standards physiques différents L’École du style, question de remettre les pendules à l’heure et prendre sa revanche en sortant des stéréotypes d’aujourd’hui.
L’héroïne Olivia Boisbriand a maintenant 15 ans. Elle est de retour à l’école après un été enivrant de mannequinat intense pour l’agence l’ayant recruté l’année précédente.
Un séminaire lui donne l’occasion d’échanger avec des gens d’expérience pendant qu’elle jongle dans son horaire entre les études et petits contrats à gauche à droite.
«Son amie Sarah se découvre ne passion pour la photo et les réseaux sociaux, s’impliquant au sein de l’agence, et une de ses collègues adopte des comportements d’intimidation dont on découvre vite le secret par le biais de blessures intérieures», relate Dïana Bélice qui aborde aussi l’aspect des troubles alimentaires.
Le nouvel emploi de la mère d’Olivia servira également à parler de l’importance de choisir une carrière bien adaptée à sa personnalité et ses valeurs.
Bonne expérience
Rappelons que dans ces romans publiés chez Hurtubise, Dïana Bélice met à profit ses six années passées à défiler sur les passerelles de Montréal et Toronto. Mince et grande (cinq pieds onze et demi), la jeune femme avait attiré l’attention d’une mannequin professionnelle en participant au Gala Révélations 2005. Celle-ci avait repris le discours de plusieurs membres de son entourage: elle avait tout ce qu’il fallait, notamment des jambes vertigineuses, pour devenir modèle.
«J’ai fait du ballet classique durant 16 ans et je m’entraînais en gym, raconte la criminologue et écrivaine qui avait 18 ans à l’époque. Toutefois, je suis une personne réservée dans la vie de tous les jours et encore aujourd’hui, je ne suis guère douée pour le maquillage. Des gens s’en chargeaient pour moi!»
Diana Bélice participera à de nombreux événements, dont plusieurs éditions de la Semaine de Mode de Montréal.
«J’ai trouvé un moyen de m’exprimer, d’être féminine et sexy, sans avoir à parler, racontait-elle au Courrier Laval lors du lancement de la série. Toutefois, mon poids est passé de 120 à 150 livres après m’être inscrite en psychologie à l’Université de Montréal. On parlait d’Europe et les agences me trouvaient trop grosse. J’ai arrêté, préférant poursuivre mes études. Je trouvais ça ridicule. J’avais enfin des formes et j’aimais ça!»
Ces dernières expériences ont poussé l’auteure à proposer des standards physiques différents L’École du style, question de remettre les pendules à l’heure et prendre sa revanche en sortant des stéréotypes d’aujourd’hui.