«Ces dernières années, Laval a connu d’importants changements avec l’abolition du CLD (Centre local de développement) et de la CRÉ (Conférence régionale des élus), a d’abord rappelé le maire Marc Demers. Nous avions besoin de nous réorganiser et d’élaborer une politique voyant au mieux-être des citoyens en faisant confiance aux experts qui sont sur le terrain. Nous allons agir ensemble à l’échelle humaine.»
«Cette démarche a pour but de mieux répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain dans le développement social, de continuer Caroline Barbir, présidente-directrice générale du Centre intégré de santé et services sociaux (CISSS) de Laval. La Ville fait face à des éléments tels le vieillissement, la mobilité intrarégional et l’accès aux services, la sécurité alimentaire dans des milieux de vie inclusifs et sains.»
Mme Barbir a parlé de premières actions concrètes, que ce soit l’adaptation des services aux nouveaux arrivants et la mise en place d’une clinique jeunesse afin de promouvoir une sexualité saine et responsable.
Six grands objectifs
Manon Rousseau, de la Corporation de développement communautaire de Laval, ainsi que plusieurs des autres membres du comité de pilotage de la PRDS ont énuméré les principales orientations.
En premier, lieu, la Politique compte favoriser le développement de quartiers à échelle humaine en aménageant des parcs, espaces verts et publics favorisant les rencontres, assurer l’offre de services sociaux et de santé à proximité, sans oublier un accès universel à des infrastructures et activités culturelles, de loisir et sportives.
Laval veut reconnaître et développer la capacité d’agir des personnes, notamment en appuyant et partageant l’expertise d’organisations citoyennes et en valorisant l’entraide et l’éducation populaire.
Une attention particulière sera portée aux personnes en situation de vulnérabilité ou à risque de l’être, entre autres, par l’accompagnement de personnes immigrantes et l’intégration ou maintien en emploi de personnes éloignées du marché du travail.
Stimuler la vitalité sociale et le développement économique socialement responsable par une mobilisation autour de la réussite scolaire, la conciliation famille-travail-études, en plus de valoriser l’apport de la culture et des arts, ainsi que l’action communautaire autonome et la défense collective de droits, représente une autre priorité.
La sécurité, un mode de vie physiquement actif, une saine alimentation, pouvant se faire via l’animation d’environnements naturels et le transport actif ont aussi retenu l’attention des intervenants du dossier.
Le document de 40 pages fait également état d’un portrait de la région dont la population atteignait 435 000 habitants, en 2016, ce qui représente plus de 5 % de la population du Québec. Laval a connu une croissance démographique constante depuis sa fondation, en 1965.
«La démarche a permis de se rassembler et de croire à notre pouvoir de façonner notre ville telle que nous la rêvons», d’ajouter Lysane Grégoire, de la Table petite enfance Sainte-Rose.
«Ces dernières années, Laval a connu d’importants changements avec l’abolition du CLD (Centre local de développement) et de la CRÉ (Conférence régionale des élus), a d’abord rappelé le maire Marc Demers. Nous avions besoin de nous réorganiser et d’élaborer une politique voyant au mieux-être des citoyens en faisant confiance aux experts qui sont sur le terrain. Nous allons agir ensemble à l’échelle humaine.»
«Cette démarche a pour but de mieux répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain dans le développement social, de continuer Caroline Barbir, présidente-directrice générale du Centre intégré de santé et services sociaux (CISSS) de Laval. La Ville fait face à des éléments tels le vieillissement, la mobilité intrarégional et l’accès aux services, la sécurité alimentaire dans des milieux de vie inclusifs et sains.»
Mme Barbir a parlé de premières actions concrètes, que ce soit l’adaptation des services aux nouveaux arrivants et la mise en place d’une clinique jeunesse afin de promouvoir une sexualité saine et responsable.
Six grands objectifs
Manon Rousseau, de la Corporation de développement communautaire de Laval, ainsi que plusieurs des autres membres du comité de pilotage de la PRDS ont énuméré les principales orientations.
En premier, lieu, la Politique compte favoriser le développement de quartiers à échelle humaine en aménageant des parcs, espaces verts et publics favorisant les rencontres, assurer l’offre de services sociaux et de santé à proximité, sans oublier un accès universel à des infrastructures et activités culturelles, de loisir et sportives.
Laval veut reconnaître et développer la capacité d’agir des personnes, notamment en appuyant et partageant l’expertise d’organisations citoyennes et en valorisant l’entraide et l’éducation populaire.
Une attention particulière sera portée aux personnes en situation de vulnérabilité ou à risque de l’être, entre autres, par l’accompagnement de personnes immigrantes et l’intégration ou maintien en emploi de personnes éloignées du marché du travail.
Stimuler la vitalité sociale et le développement économique socialement responsable par une mobilisation autour de la réussite scolaire, la conciliation famille-travail-études, en plus de valoriser l’apport de la culture et des arts, ainsi que l’action communautaire autonome et la défense collective de droits, représente une autre priorité.
La sécurité, un mode de vie physiquement actif, une saine alimentation, pouvant se faire via l’animation d’environnements naturels et le transport actif ont aussi retenu l’attention des intervenants du dossier.
Le document de 40 pages fait également état d’un portrait de la région dont la population atteignait 435 000 habitants, en 2016, ce qui représente plus de 5 % de la population du Québec. Laval a connu une croissance démographique constante depuis sa fondation, en 1965.
«La démarche a permis de se rassembler et de croire à notre pouvoir de façonner notre ville telle que nous la rêvons», d’ajouter Lysane Grégoire, de la Table petite enfance Sainte-Rose.