Une grande délégation de femmes s’est présentée pour appuyer la demande officielle formulée depuis 2016 par la TCLCF. Celle-ci vise à instaurer une telle instance consultative au sein même de la Ville, dans une volonté de conseiller l’administration municipale.
Ces militantes auront été entendues par des élues ayant déposé conjointement ladite proposition. Cette dernière jettera les bases d’un comité chargé d’étudier et de proposer les meilleures avenues pour parvenir à l’égalité entre les femmes et les hommes dans la société lavalloise.
«Après plus d’un an de mobilisation pour qu’une démarche de mise sur pied d’un Conseil des Lavalloises soit entamée, nous nous réjouissons que la Ville ait décidé d’aller de l’avant, a affirmé Lucille Francoeur, présidente de la TCLCF. C’est un pas de franchi, qui nous permettra de sensibiliser davantage les élues aux bénéfices d’un Conseil des Lavalloises.»
En plus de favoriser la participation citoyenne, cet outil démocratique fournirait un espace d’expression pour les Lavalloises voulant soutenir les travaux au niveau de la condition féminine et créer une courroie de transmission entre les groupes et regroupements qui sont au fait des réalités vécues par les femmes et l’administration municipale.
Représentation paritaire
Le comité créé le 4 juillet sera composé paritairement d’élues municipales et de représentantes de groupes de femmes, dont la TCLCF. Il devra déposer ses recommandations au plus tard le 8 mars 2018.
«À chacune de nos mobilisations depuis un an, nous constations l’engouement et l’intérêt pour un tel Conseil, a déclaré Marie-Eve Surprenant, coordonnatrice de la TCLCF.
C’est ce que nous continuerons de porter au sein de ce comité.»
L’idée de cet organisme paramunicipal avait émergé après la tenue d’une première simulation du conseil de ville à l’intention des Lavalloises en avril 2016.
Administration et opposition se réjouissent
La conseillère municipale de Chomedey Aglaia Revelaki a exprimé son enthousiasme envers le projet, elle qui avait déposé une première proposition au conseil municipal de juin, avant de récidiver durant la séance de juillet, cette fois en collaboration avec une autre élue, Virginie Dufour.
«J’aurais évidemment préféré que le Conseil des Lavalloises, tel qu’énoncé par la TCLCF, soit mis en place comme je l’avais prévu, a indiqué la représentante de l’opposition officielle Action Laval – Équipe Jean-Claude Gobé. Je vais évidemment y militer à l’intérieur du comité. La TCLCF a démontré son expertise depuis longtemps sur de nombreux enjeux féminins et dans la lutte pour l’égalité.»
«Le modèle de Conseil que l’on connaît à Montréal est coûteux, de confier Virginie Dufour. Il n’est peut-être pas le plus approprié pour Laval. Nous avons un très fort taux d’immigration. Nous sommes une île, une ville, il n’y a pas d’arrondissement. Nous n’avons pas autant d’organismes, en plus d’avoir une réalité différente quant à l’emploi. Je suis contente d’avoir atteint presque l’unanimité et de la collaboration avec l’opposition officielle.»
Une grande délégation de femmes s’est présentée pour appuyer la demande officielle formulée depuis 2016 par la TCLCF. Celle-ci vise à instaurer une telle instance consultative au sein même de la Ville, dans une volonté de conseiller l’administration municipale.
Ces militantes auront été entendues par des élues ayant déposé conjointement ladite proposition. Cette dernière jettera les bases d’un comité chargé d’étudier et de proposer les meilleures avenues pour parvenir à l’égalité entre les femmes et les hommes dans la société lavalloise.
«Après plus d’un an de mobilisation pour qu’une démarche de mise sur pied d’un Conseil des Lavalloises soit entamée, nous nous réjouissons que la Ville ait décidé d’aller de l’avant, a affirmé Lucille Francoeur, présidente de la TCLCF. C’est un pas de franchi, qui nous permettra de sensibiliser davantage les élues aux bénéfices d’un Conseil des Lavalloises.»
En plus de favoriser la participation citoyenne, cet outil démocratique fournirait un espace d’expression pour les Lavalloises voulant soutenir les travaux au niveau de la condition féminine et créer une courroie de transmission entre les groupes et regroupements qui sont au fait des réalités vécues par les femmes et l’administration municipale.
Représentation paritaire
Le comité créé le 4 juillet sera composé paritairement d’élues municipales et de représentantes de groupes de femmes, dont la TCLCF. Il devra déposer ses recommandations au plus tard le 8 mars 2018.
«À chacune de nos mobilisations depuis un an, nous constations l’engouement et l’intérêt pour un tel Conseil, a déclaré Marie-Eve Surprenant, coordonnatrice de la TCLCF.
C’est ce que nous continuerons de porter au sein de ce comité.»
L’idée de cet organisme paramunicipal avait émergé après la tenue d’une première simulation du conseil de ville à l’intention des Lavalloises en avril 2016.
Administration et opposition se réjouissent
La conseillère municipale de Chomedey Aglaia Revelaki a exprimé son enthousiasme envers le projet, elle qui avait déposé une première proposition au conseil municipal de juin, avant de récidiver durant la séance de juillet, cette fois en collaboration avec une autre élue, Virginie Dufour.
«J’aurais évidemment préféré que le Conseil des Lavalloises, tel qu’énoncé par la TCLCF, soit mis en place comme je l’avais prévu, a indiqué la représentante de l’opposition officielle Action Laval – Équipe Jean-Claude Gobé. Je vais évidemment y militer à l’intérieur du comité. La TCLCF a démontré son expertise depuis longtemps sur de nombreux enjeux féminins et dans la lutte pour l’égalité.»
«Le modèle de Conseil que l’on connaît à Montréal est coûteux, de confier Virginie Dufour. Il n’est peut-être pas le plus approprié pour Laval. Nous avons un très fort taux d’immigration. Nous sommes une île, une ville, il n’y a pas d’arrondissement. Nous n’avons pas autant d’organismes, en plus d’avoir une réalité différente quant à l’emploi. Je suis contente d’avoir atteint presque l’unanimité et de la collaboration avec l’opposition officielle.»