«La situation est critique», rappelait-elle par voie de communiqué, le 20 juin. Faute de financement, il pourrait fermer ses portes d’ici quelques semaines.»
Ce printemps, une subvention de 35 000 $ puisée à même le budget discrétionnaire du ministre de la santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, avait permis à ce centre de ressources périnatales de poursuivre ses activités jusqu’à la fin juin.
Appel au ministre
«Une seule personne au Québec peut empêcher la fermeture définitive de Mieux-Naître à Laval et c’est le ministre de la Santé. Il est temps de conclure les discussions et non seulement d’accorder un soutien financier temporaire», poursuit la députée de Taillon, qui réclame pour cet organisme issu de l’économie sociale un financement stable et récurrent.
Si rien ne bouge, cette ressource qui a pignon sur le boulevard de la Concorde, à Duvernay, fermera ses portes en juillet, enchaîne Mme Lamarre.
«Ni le ministre ni les députés de Laval ne peuvent rester ainsi les bras croisés, sinon ils porteront la responsabilité de la fermeture de ce centre si précieux pour la santé des tout-petits et si utile aux familles» de la région.
Au cours de la dernière année, le taux de fréquentation a augmenté de 42 %, confirmant la pertinence de l’offre de service dispensée aux femmes enceintes de même qu’aux familles avec de jeunes poupons.
D’autant qu’au Québec, on estime à 4800 le nombre de bébés de moins de 2 ans sans médecins de famille, ne manque pas souligner Diane Lamarre.
«Un organisme comme Mieux-Naître est absolument nécessaire aux familles de Laval», termine-t-elle tout en précisant les quelque 4300 naissances recensées annuellement sur l’île Jésus.
«La situation est critique», rappelait-elle par voie de communiqué, le 20 juin. Faute de financement, il pourrait fermer ses portes d’ici quelques semaines.»
Ce printemps, une subvention de 35 000 $ puisée à même le budget discrétionnaire du ministre de la santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, avait permis à ce centre de ressources périnatales de poursuivre ses activités jusqu’à la fin juin.
Appel au ministre
«Une seule personne au Québec peut empêcher la fermeture définitive de Mieux-Naître à Laval et c’est le ministre de la Santé. Il est temps de conclure les discussions et non seulement d’accorder un soutien financier temporaire», poursuit la députée de Taillon, qui réclame pour cet organisme issu de l’économie sociale un financement stable et récurrent.
Si rien ne bouge, cette ressource qui a pignon sur le boulevard de la Concorde, à Duvernay, fermera ses portes en juillet, enchaîne Mme Lamarre.
«Ni le ministre ni les députés de Laval ne peuvent rester ainsi les bras croisés, sinon ils porteront la responsabilité de la fermeture de ce centre si précieux pour la santé des tout-petits et si utile aux familles» de la région.
Au cours de la dernière année, le taux de fréquentation a augmenté de 42 %, confirmant la pertinence de l’offre de service dispensée aux femmes enceintes de même qu’aux familles avec de jeunes poupons.
D’autant qu’au Québec, on estime à 4800 le nombre de bébés de moins de 2 ans sans médecins de famille, ne manque pas souligner Diane Lamarre.
«Un organisme comme Mieux-Naître est absolument nécessaire aux familles de Laval», termine-t-elle tout en précisant les quelque 4300 naissances recensées annuellement sur l’île Jésus.