Voilà ce qu’a laissé entendre l’ex-président du conseil d’administration du Centre d’interprétation de l’eau (C.I.EAU), Denis Fyfe, au terme du Rallye du 3 juin qu’il animait avec trois autres bénévoles.
«On parle d’un ajout possible de six à sept bornes», note-t-il, notamment au confluent des rivières qui ceinturent l’île Jésus à chacune de ses extrémités, soit Laval-sur-le-Lac et Saint-François.
Les quartiers de Saint-Vincent-de-Paul, Pont-Viau et Chomedey présenteraient également des points d’intérêt non négligeables, poursuit M. Fyfe.
Parcours
Actuellement, le Rallye des rivières s’étend sur 65 kilomètres et 6 municipalités riveraines à la faveur de 13 sites retenus autant pour leur beauté, leur histoire que pour le rôle qu’ils ont joué dans le développement du milieu.
Pour cette activité récréotouristique, le C.I.EAU propose un nouveau Carnet du randonneur simplifié qu’on peut se procurer au coût de 5 $ au quartier général du Centre d’interprétation de l’eau situé au 12, rue Hotte, à deux pas de la berge des Baigneurs dans le Vieux-Sainte-Rose.
Bien qu’une petite marche est à prévoir pour découvrir chacun des sites, les 4 circuits offerts sur 30, 40, 45 et 65 kilomètres se font aussi bien à vélo, en auto qu’en moto, alors que le temps nécessaire pour les parcourir varie entre 3h et 8h.
Rallye animé
Soulignons que pour le 5e anniversaire du Rallye des rivières, le C.I.EAU avait organisé le 5 juin un tour animé de six bornes informatives aménagées à Sainte-Rose, Boisbriand, Rosemère, Lorraine et Auteuil sur le thème «Les rivières, c’est plus que des inondations!»
«On a abordé tout ce qu’une rivière peut amener comme activité», relate M. Fyfe, ajoutant que l’animation était soutenue d’une mise en contexte historique évoquant, entre autres, le régime seigneurial datant des années 1600 et la période florissante du début du XXe siècle, où Sainte-Rose et Rosemère vibraient au rythme des activités de villégiature.
«Les gens étaient tellement emballés que plusieurs nous ont demandé de leur transmettre les textes par courriel», termine l’un des quatre animateurs de la journée.
Voilà ce qu’a laissé entendre l’ex-président du conseil d’administration du Centre d’interprétation de l’eau (C.I.EAU), Denis Fyfe, au terme du Rallye du 3 juin qu’il animait avec trois autres bénévoles.
«On parle d’un ajout possible de six à sept bornes», note-t-il, notamment au confluent des rivières qui ceinturent l’île Jésus à chacune de ses extrémités, soit Laval-sur-le-Lac et Saint-François.
Les quartiers de Saint-Vincent-de-Paul, Pont-Viau et Chomedey présenteraient également des points d’intérêt non négligeables, poursuit M. Fyfe.
Parcours
Actuellement, le Rallye des rivières s’étend sur 65 kilomètres et 6 municipalités riveraines à la faveur de 13 sites retenus autant pour leur beauté, leur histoire que pour le rôle qu’ils ont joué dans le développement du milieu.
Pour cette activité récréotouristique, le C.I.EAU propose un nouveau Carnet du randonneur simplifié qu’on peut se procurer au coût de 5 $ au quartier général du Centre d’interprétation de l’eau situé au 12, rue Hotte, à deux pas de la berge des Baigneurs dans le Vieux-Sainte-Rose.
Bien qu’une petite marche est à prévoir pour découvrir chacun des sites, les 4 circuits offerts sur 30, 40, 45 et 65 kilomètres se font aussi bien à vélo, en auto qu’en moto, alors que le temps nécessaire pour les parcourir varie entre 3h et 8h.
Rallye animé
Soulignons que pour le 5e anniversaire du Rallye des rivières, le C.I.EAU avait organisé le 5 juin un tour animé de six bornes informatives aménagées à Sainte-Rose, Boisbriand, Rosemère, Lorraine et Auteuil sur le thème «Les rivières, c’est plus que des inondations!»
«On a abordé tout ce qu’une rivière peut amener comme activité», relate M. Fyfe, ajoutant que l’animation était soutenue d’une mise en contexte historique évoquant, entre autres, le régime seigneurial datant des années 1600 et la période florissante du début du XXe siècle, où Sainte-Rose et Rosemère vibraient au rythme des activités de villégiature.
«Les gens étaient tellement emballés que plusieurs nous ont demandé de leur transmettre les textes par courriel», termine l’un des quatre animateurs de la journée.