Chez Dawco, les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance sont très importants. L’entreprise impliquée dans la Vision Zéro Déchet de la CCILaval a ainsi mis en place diverses initiatives au fil des années.
Parmi celles-ci, notons la collecte de certains résidus sur les chantiers afin de les revaloriser ou de les donner à des organismes.
«À titre d’exemple, on collecte les cannettes et les bouteilles que nous trouvons sur les chantiers, détaille Pierre-Luc Lachapelle. On les donne par la suite au Centre de bénévolat et moisson Laval pour leur permettre de faire du financement de leurs activités.»
Des batteries et cartouches d’encre retrouvées sur les chantiers sont aussi récoltées et ramenées à l’entrepôt de Laval afin de s’en départir de manière responsable. Cela permet d’éviter que ces objets se retrouvent dans les sites d’enfouissement.
Plus récemment, l’entreprise qui œuvre dans la réalisation de projets de construction et d’entretien électriques et mécaniques est parvenue à éviter le dépotoir à 140 palettes de matériaux qu’elle n’utilisait plus en trouvant un revendeur intéressé par le lot.
«C’était en quelque sorte des déchets de luxe, car ce sont des matériaux que nous essayions toujours de repasser, mais qui sont très spécifiques à des contrats que nous avons faits, précise M. Lachapelle. Nous les avons déménagés, chauffés et manutentionnés au fil des années, sans parvenir à les utiliser de façon officielle.»
Notons que Dawco, qui fête ses 75 ans en 2025, tente aussi de faire sa part en soutenant le Marigot Café – aussi connu sous le nom du Café de la Concorde – lors d’activités corporatives et de réunions.
«Nous y achetons les lunchs lors de nos activités. Au lieu d’utiliser un traiteur ou un restaurant régulier, on fait affaire avec une entreprise d’économie sociale, ce qui permet de retourner l’argent dans la communauté», complète Pierre-Luc Lachapelle.