Auteur : Benoit LeBlanc
POLITIQUE. L’attribution d’un contrat de 430 000 $ à la firme AECOM Consultants INC pour élaborer une Politique de stationnement a soulevé l’ire du Parti Laval et son chef, Michel Trottier, qui remet en cause la sous-utilisation des employés de la ville de Laval.
DISCIPLINE. Albert Fritz Gardiner devra payer une amende de 6000 $ et suspendre sa pratique durant une période de 6 semaines après avoir plaidé coupable à une entrave dans le travail d’une collègue en refusant ou négligeant de lui fournir le dossier médical d’une patiente et d’autres renseignements.
Le 21 décembre, le gouvernement du Québec a adopté par décret la remise à la Ville de Laval des impôts, intérêts et pénalités payables par Gilles Vaillancourt à Revenu Québec.
LAVAL-OUEST. Deux hommes ont risqué imprudemment leur vie dans la matinée du 21 décembre en partant installer leur cabane à pêche à 100 pieds de la rive, à la hauteur de la 2e Avenue, pour voir leur véhicule crouler sous la glace de la rivière des Mille-Îles.
INTIMIDATION. Après avoir mis la polyvalente de Deux-Montagnes en état de siège le 20 décembre, les quatre Lavallois dans la jeune vingtaine arrêtés dans la cour d’école s’en sortiront sans accusations après que l’étudiant qu’un d’eux avait menacé n’eut pas porté plainte.
INUSITÉ. Un écureuil aspirant à s’établir pour l’hiver dans l’entretoit d’une luxueuse demeure de la Place du Brigadier aura finalement causé plus d’un souci aux propriétaires de l’endroit en provoquant un incendie dans l’après-midi du 20 décembre.
SAINTE-ROSE. Un citoyen est décédé dans son lit après avoir inhalé une trop grande quantité de fumée à la suite d’un incendie dans sa chambre à coucher.
DUVERNAY. Le Service de police de Laval a procédé à une opération pour contrer le trafic de cocaïne sur son territoire dans la journée du mercredi 21 décembre.
CHOMEDEY. Le WYTE Resto-Lounge a été visé par une attaque à la bombe artisanale dans la nuit du 21 décembre.
Si les honneurs exceptionnels reçus du gouverneur général du Canada et de l’Université de Montréal ces dernières semaines l’ont émue, Francine Laplante s’affaire actuellement surtout à vendre des cônes de bonbons au profit de Néz pour vivre, l’une de ses deux fondations.