Les scientifiques Bonnie Schmidt, fondatrice et présidente Parlons sciences, Rosemary Seaton, chercheuse des mammifères marins au College of the Atlantic au Maine, Jamie Sevigny, ingénieure en gestion de projet à l’agence spatiale canadienne, et Mona Nemer, conseillère scientifique en chef au Gouvernement du Canada, pour ne nommer que ceux-là, ont raconté leurs expériences aux élèves.
Avenir des STIM
«Canada 2067 est une initiative nationale visant à façonner l’avenir de l’apprentissage des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM) qui se concentre sur les jeunes de la maternelle au secondaire, explique Mona Nemer. Il y a encore tellement de choses à découvrir. Nous avons besoin des sciences pour améliorer notre destin.»
Pour sa part, Vanessa Nelson, vice-présidente relations extérieures Parlons sciences, mentionne que son organisme a élaboré l’ébauche d’un plan d’action sur l’apprentissage des STIM pour faire en sorte que les jeunes soient prêts à se démarquer, s’épanouir et fournir un apport à la communauté.
«La société change tellement rapidement, avoue Mme Nemer. Certains jeunes exerceront un emploi qui n’existe pas encore. Nous voulons des jeunes flexibles qui sauront réfléchir et résoudre des problèmes.»
École sur Mars
Les élèves étaient invités à parler et réfléchir sur une école qui serait installée sur la planète Mars. «Qu’est-ce qu’on pourrait changer dans l’éducation? souligne Vanessa Nelson. Les jeunes ont discuté de l’avenir de l’école. Ils réfléchissent à ce que pourrait être l’éducation de demain sur Mars.»
Physique et chimie
Mona Nemer a insisté sur l’importance des cours de physique et chimie au secondaire. «Les jeunes doivent s’y inscrire pour ne pas se fermer des portes, précise-t-elle. D’ailleurs, ils doivent faire des choix en troisième secondaire. On caricature trop souvent les scientifiques comme des nerds. Oui, les sciences c’est du sérieux, mais c’est aussi très plaisant.»
Vanessa Nelson abonde dans le même sens. «Les cours de physique et chimie vont ouvrir des portes aux jeunes et ce n’est jamais perdu. Plusieurs métiers exigent des sciences.»
Enseignement
La scientifique Mona Nemer aimerait que nos gouvernements apportent des changements dans l’enseignement des sciences et se posent davantage de questions. «Il faut modifier l’approche, insiste-t-elle. Il ne faut pas ignorer les gars qui ont tendance à décrocher. Ils sont plus manuels, adorent les travaux pratiques, mais détestent apprendre par cœur et la théorie.»
Sujet à la fois vaste, méconnu et passionnant, la science est souvent perçue comme étant complexe et difficile à comprendre. «La science fait partie intégrante de nos vies même s’il est parfois impossible de comprendre tous les phénomènes qui nous entourent», explique-t-elle. «Heureusement, il arrive de plus en plus que des gens spécialisés dans certains domaines scientifiques veuillent transmettre leur passion et ainsi apporter un peu d’éclaircissement», termine Mona Nemer.
Les scientifiques Bonnie Schmidt, fondatrice et présidente Parlons sciences, Rosemary Seaton, chercheuse des mammifères marins au College of the Atlantic au Maine, Jamie Sevigny, ingénieure en gestion de projet à l’agence spatiale canadienne, et Mona Nemer, conseillère scientifique en chef au Gouvernement du Canada, pour ne nommer que ceux-là, ont raconté leurs expériences aux élèves.
Avenir des STIM
«Canada 2067 est une initiative nationale visant à façonner l’avenir de l’apprentissage des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM) qui se concentre sur les jeunes de la maternelle au secondaire, explique Mona Nemer. Il y a encore tellement de choses à découvrir. Nous avons besoin des sciences pour améliorer notre destin.»
Pour sa part, Vanessa Nelson, vice-présidente relations extérieures Parlons sciences, mentionne que son organisme a élaboré l’ébauche d’un plan d’action sur l’apprentissage des STIM pour faire en sorte que les jeunes soient prêts à se démarquer, s’épanouir et fournir un apport à la communauté.
«La société change tellement rapidement, avoue Mme Nemer. Certains jeunes exerceront un emploi qui n’existe pas encore. Nous voulons des jeunes flexibles qui sauront réfléchir et résoudre des problèmes.»
École sur Mars
Les élèves étaient invités à parler et réfléchir sur une école qui serait installée sur la planète Mars. «Qu’est-ce qu’on pourrait changer dans l’éducation? souligne Vanessa Nelson. Les jeunes ont discuté de l’avenir de l’école. Ils réfléchissent à ce que pourrait être l’éducation de demain sur Mars.»
Physique et chimie
Mona Nemer a insisté sur l’importance des cours de physique et chimie au secondaire. «Les jeunes doivent s’y inscrire pour ne pas se fermer des portes, précise-t-elle. D’ailleurs, ils doivent faire des choix en troisième secondaire. On caricature trop souvent les scientifiques comme des nerds. Oui, les sciences c’est du sérieux, mais c’est aussi très plaisant.»
Vanessa Nelson abonde dans le même sens. «Les cours de physique et chimie vont ouvrir des portes aux jeunes et ce n’est jamais perdu. Plusieurs métiers exigent des sciences.»
Enseignement
La scientifique Mona Nemer aimerait que nos gouvernements apportent des changements dans l’enseignement des sciences et se posent davantage de questions. «Il faut modifier l’approche, insiste-t-elle. Il ne faut pas ignorer les gars qui ont tendance à décrocher. Ils sont plus manuels, adorent les travaux pratiques, mais détestent apprendre par cœur et la théorie.»
Sujet à la fois vaste, méconnu et passionnant, la science est souvent perçue comme étant complexe et difficile à comprendre. «La science fait partie intégrante de nos vies même s’il est parfois impossible de comprendre tous les phénomènes qui nous entourent», explique-t-elle. «Heureusement, il arrive de plus en plus que des gens spécialisés dans certains domaines scientifiques veuillent transmettre leur passion et ainsi apporter un peu d’éclaircissement», termine Mona Nemer.