Cette manifestation visait à souligner le jour un d’une grève générale des heures supplémentaires, laquelle coïncide avec la dernière semaine de la présente campagne électorale.
Une façon d’embêter le maire sortant Marc Demers, reconnaît le vice-président syndical Stéphane Lavoie. Reste qu’aucun mot d’ordre n’a été lancé aux 750 membres syndiqués en appui à un candidat ou l’autre en lice pour la mairie.
Parallèlement à ce débrayage, qui se poursuivra jusqu’à 23h59 dimanche prochain, jour des élections, les manifestants dénoncent notamment le recours à la sous-traitance et les millions de dollars qu’il en coûte au privé, alors que le travail pourrait être confié à l’interne, plaident-ils.
Les cols bleus, sans contrat de travail depuis bientôt deux ans, et la Ville n’ont pu parvenir à une entente négociée lors de la première période de 60 jours de médiation, qui a pris fin le 14 octobre. Bien que le mandat du médiateur ait été aussitôt prolongé pour une seconde et dernière période de 60 jours, c’est depuis silence radio, déplore M. Lavoie.
Fermeture
Rappelons que ce week-end, les arénas Cartier (Laval-des-Rapides), Yvon-Chartrand (Saint-Vincent-de-Paul), Richard-Trottier (Fabreville) et Lucerne (Vimont) sont fermés et qu’il en sera de même les 4 et 5 novembre pour les arénas Saint-François, Martin-St-Louis (Sainte-Dorothée), Mike-Bossy (Auteuil) et Chomedey.
Quant au Centre de la nature, toutes les activités sont maintenues, à l’exception de la ferme qui ne sera pas accessible au public.
«Il est déplorable que l’accès aux infrastructures, auxquelles les citoyens ont droit, soit restreint», avait réagi le maire Marc Demers le 26 octobre.
Il avait également rappelé que le processus de médiation se poursuivait jusqu’au 15 décembre, invitant la partie syndicale à privilégier la voie de la négociation. «Nous sommes convaincus qu’il représente la meilleure option pour parvenir à une entente respectant à la fois les considérations d’équité entre les employés et la capacité de payer des contribuables lavallois.»
Cette manifestation visait à souligner le jour un d’une grève générale des heures supplémentaires, laquelle coïncide avec la dernière semaine de la présente campagne électorale.
Une façon d’embêter le maire sortant Marc Demers, reconnaît le vice-président syndical Stéphane Lavoie. Reste qu’aucun mot d’ordre n’a été lancé aux 750 membres syndiqués en appui à un candidat ou l’autre en lice pour la mairie.
Parallèlement à ce débrayage, qui se poursuivra jusqu’à 23h59 dimanche prochain, jour des élections, les manifestants dénoncent notamment le recours à la sous-traitance et les millions de dollars qu’il en coûte au privé, alors que le travail pourrait être confié à l’interne, plaident-ils.
Les cols bleus, sans contrat de travail depuis bientôt deux ans, et la Ville n’ont pu parvenir à une entente négociée lors de la première période de 60 jours de médiation, qui a pris fin le 14 octobre. Bien que le mandat du médiateur ait été aussitôt prolongé pour une seconde et dernière période de 60 jours, c’est depuis silence radio, déplore M. Lavoie.
Fermeture
Rappelons que ce week-end, les arénas Cartier (Laval-des-Rapides), Yvon-Chartrand (Saint-Vincent-de-Paul), Richard-Trottier (Fabreville) et Lucerne (Vimont) sont fermés et qu’il en sera de même les 4 et 5 novembre pour les arénas Saint-François, Martin-St-Louis (Sainte-Dorothée), Mike-Bossy (Auteuil) et Chomedey.
Quant au Centre de la nature, toutes les activités sont maintenues, à l’exception de la ferme qui ne sera pas accessible au public.
«Il est déplorable que l’accès aux infrastructures, auxquelles les citoyens ont droit, soit restreint», avait réagi le maire Marc Demers le 26 octobre.
Il avait également rappelé que le processus de médiation se poursuivait jusqu’au 15 décembre, invitant la partie syndicale à privilégier la voie de la négociation. «Nous sommes convaincus qu’il représente la meilleure option pour parvenir à une entente respectant à la fois les considérations d’équité entre les employés et la capacité de payer des contribuables lavallois.»