«La Ville de Laval salue d’emblée les différentes mesures favorisant l’égalité homme-femme, déclarait-il dans un communiqué diffusé le lendemain matin. Le gouvernement du Canada réagit ainsi aux réalités qui touchent plus particulièrement les femmes et les actions proposées sont autant de moyens concrets permettant d’améliorer la qualité de vie de tous les citoyens.»
Drogue
Dans la foulée de la légalisation du cannabis, la Ville applaudit aussi les 150 M$ qu’Ottawa allongera sur six ans pour financer, entre autres, la formation d’agents et l’achat d’équipements pour détecter la conduite avec facultés affaiblies par la drogue.
Idem pour l’enveloppe quinquennale de 100 M$ pour contrer la crise des opioïdes dont les victimes au pays se comptent annuellement par milliers.
«Il est capital d’investir dans la prévention et les interventions destinées à contrer cette crise. Il en va de la sécurité de nos familles et de tous nos citoyens», a commenté M. Demers.
PME
Le maire se dit également satisfait de la réduction de 10 % du taux d’imposition des PME qui s’appliquera rétroactivement au 1er janvier 2018. «Toutes les mesures favorisant la croissance de nos entreprises sont les bienvenues.»
Logement et transport
Là où le maire déchante, toutefois, c’est au rayon du logement social.
«Malheureusement, les demandes formulées par les Municipalités n’ont pas trouvé écho dans le budget déposé aujourd’hui», a-t-il constaté en évoquant les revendications de la Fédération canadienne des municipalités (FCM) en matière de financement.
La Ville établit à plus de 1300 le nombre de nouveaux logements abordables nécessaires pour seulement pallier les besoins à venir d’ici les 5 prochaines années. La situation est d’autant plus préoccupante qu’au dernier décompte, ils étaient déjà plus de 1100 ménages lavallois en attente d’un de ces logements.
«Au-delà des nouvelles unités, poursuit Marc Demers, l’importance de rénover le parc de logements existant demeure criante.»
Quant aux nouvelles sommes destinées à raccourcir les temps de déplacement en transport en commun, le maire préfère attendre «de connaître plus en profondeur la nature de ces investissements» avant de les commenter.
«La Ville de Laval salue d’emblée les différentes mesures favorisant l’égalité homme-femme, déclarait-il dans un communiqué diffusé le lendemain matin. Le gouvernement du Canada réagit ainsi aux réalités qui touchent plus particulièrement les femmes et les actions proposées sont autant de moyens concrets permettant d’améliorer la qualité de vie de tous les citoyens.»
Drogue
Dans la foulée de la légalisation du cannabis, la Ville applaudit aussi les 150 M$ qu’Ottawa allongera sur six ans pour financer, entre autres, la formation d’agents et l’achat d’équipements pour détecter la conduite avec facultés affaiblies par la drogue.
Idem pour l’enveloppe quinquennale de 100 M$ pour contrer la crise des opioïdes dont les victimes au pays se comptent annuellement par milliers.
«Il est capital d’investir dans la prévention et les interventions destinées à contrer cette crise. Il en va de la sécurité de nos familles et de tous nos citoyens», a commenté M. Demers.
PME
Le maire se dit également satisfait de la réduction de 10 % du taux d’imposition des PME qui s’appliquera rétroactivement au 1er janvier 2018. «Toutes les mesures favorisant la croissance de nos entreprises sont les bienvenues.»
Logement et transport
Là où le maire déchante, toutefois, c’est au rayon du logement social.
«Malheureusement, les demandes formulées par les Municipalités n’ont pas trouvé écho dans le budget déposé aujourd’hui», a-t-il constaté en évoquant les revendications de la Fédération canadienne des municipalités (FCM) en matière de financement.
La Ville établit à plus de 1300 le nombre de nouveaux logements abordables nécessaires pour seulement pallier les besoins à venir d’ici les 5 prochaines années. La situation est d’autant plus préoccupante qu’au dernier décompte, ils étaient déjà plus de 1100 ménages lavallois en attente d’un de ces logements.
«Au-delà des nouvelles unités, poursuit Marc Demers, l’importance de rénover le parc de logements existant demeure criante.»
Quant aux nouvelles sommes destinées à raccourcir les temps de déplacement en transport en commun, le maire préfère attendre «de connaître plus en profondeur la nature de ces investissements» avant de les commenter.