Depuis jeudi, cet événement festif anime le vaste terrain vacant situé tout juste au quadrant nord-ouest du viaduc du Souvenir et de l’autoroute des Laurentides.
Sur le coup de 19h, le quintette interprétera des extraits de grandes comédies musicales dont l’incontournable Notre-Dame de Paris avant de laisser la place au Lebanese Band et son chanteur Raphael Jabour vers 20h30.
Mettant également en vedette une troupe folklorique libanaise en fin d’après-midi, cette programmation reflète bien l’esprit de ce festival créé, à Montréal, en 2003, explique l’un des fondateurs et coordonnateur du festival, Albert Sleiman.
«Cette fête est destinée aux gens et familles de toutes origines, insistait-il lors d’un entretien sur le site, samedi. L’idée est de montrer le visage culturel du Liban en partageant nos traditions folkloriques, musicales et culinaires.»
Au plus fort de la soirée, samedi, le site était bondé, affirmait le lendemain matin Marie-Lyne Sleiman, estimant la foule à quelque 10 000 visiteurs pour le spectacle de la mégastar libanaise Abdo Yaghi
Choix naturel
Laval, où le Festival a pris racine il y a trois ans, était un choix tout naturel pour les 17 membres du comité organisateur, eux qui y étaient déjà tous établis.
«On voyait le futur de notre festival à Laval», explique M. Sleiman.
Incidemment, le plus important groupe de personnes immigrantes vivant en sol lavallois origine du Liban.
Le maire Marc Demers s’était montré «très accueillant» dès la première rencontre qui s’est tenue en présence notamment des conseillers municipaux d’origine libanaise, Aline Dib et Ray Khalil, rappelle l’organisateur.
Ce festival dont l’accès est gratuit mobilise pendant toute une semaine pas moins de 125 personnes bénévoles et nécessite un budget de 200 000 $, financé par des contributions gouvernementales, des commandites et les kiosques de nourriture.
Depuis jeudi, cet événement festif anime le vaste terrain vacant situé tout juste au quadrant nord-ouest du viaduc du Souvenir et de l’autoroute des Laurentides.
Quelques membres du comité organisateur à la tête du traditionnel Festival libanais qui bon an, mal an attire près de 40 000 visiteurs sur quatre jours. ©Photo – Photo TC Media – Mario Beauregard
Sur le coup de 19h, le quintette interprétera des extraits de grandes comédies musicales dont l’incontournable Notre-Dame de Paris avant de laisser la place au Lebanese Band et son chanteur Raphael Jabour vers 20h30.
Mettant également en vedette une troupe folklorique libanaise en fin d’après-midi, cette programmation reflète bien l’esprit de ce festival créé, à Montréal, en 2003, explique l’un des fondateurs et coordonnateur du festival, Albert Sleiman.
«Cette fête est destinée aux gens et familles de toutes origines, insistait-il lors d’un entretien sur le site, samedi. L’idée est de montrer le visage culturel du Liban en partageant nos traditions folkloriques, musicales et culinaires.»
Au plus fort de la soirée, samedi, le site était bondé, affirmait le lendemain matin Marie-Lyne Sleiman, estimant la foule à quelque 10 000 visiteurs pour le spectacle de la mégastar libanaise Abdo Yaghi
Choix naturel
Laval, où le Festival a pris racine il y a trois ans, était un choix tout naturel pour les 17 membres du comité organisateur, eux qui y étaient déjà tous établis.
«On voyait le futur de notre festival à Laval», explique M. Sleiman.
Incidemment, le plus important groupe de personnes immigrantes vivant en sol lavallois origine du Liban.
Le maire Marc Demers s’était montré «très accueillant» dès la première rencontre qui s’est tenue en présence notamment des conseillers municipaux d’origine libanaise, Aline Dib et Ray Khalil, rappelle l’organisateur.
Ce festival dont l’accès est gratuit mobilise pendant toute une semaine pas moins de 125 personnes bénévoles et nécessite un budget de 200 000 $, financé par des contributions gouvernementales, des commandites et les kiosques de nourriture.