La firme TLA Architectes planche présentement sur les plans et par la suite, le regroupement demandera les permis à la Ville pour les travaux. On espère le grand déménagement cet été, mais La Parentèle se donne jusqu’en septembre pour finaliser le tout.
Des changements majeurs en lien avec du développement commercial et résidentiel sur l’avenue Léo-Lacombe, où l’organisme loge actuellement, ont poussé la direction à évaluer la possibilité de s’installer à une nouvelle adresse.
«Lorsque nous avons appris en mai 2017 que la caisse serait à vendre, nous avons tout de suite communiqué avec le directeur, d’expliquer Maxime Savard, directeur général de La Parentèle. Nous avons ensuite regardé avec nos prêteurs, nos bailleurs de fonds, pris en compte les surplus accumulés et négocié pour l’achat. La vente s’est concrétisée le 28 décembre.»
Décision à venir
Une décision sera prise dans les prochaines semaines quant à l’avenir du bâtiment actuel de La Parentèle, propriétaire des lieux. «Est-ce que nous allons le vendre, le moderniser, aménager un deuxième point de service? On ne sait pas encore», mentionne Maxime Savard.
Chose certaine, le déménagement donnera probablement un nouveau souffle à l’organisme, en débutant par un environnement plus propice aux activités et services proposés. «Nous sommes juste à côté de l’école de l’Arc-en-ciel et en face du parc St-Claude. Du haut de l’escalier, on voit la piscine! C’est un endroit plus paisible.»
La superficie du nouveau bâtiment ne sera pas plus grande que celle occupée sur l’avenue Léo-Lacombe, mais elle répondra mieux aux besoins actuels et futurs de La Parentèle.
«Nous serons sur deux étages et il y aura plus de salles de rencontre, précise Maxime Savard, ajoutant que ce projet de déménagement représente un investissement majeur. Nous devrons aussi nous pencher sur notre offre de service. Nous existons depuis bientôt 30 ans et on doit se questionner: est-ce que nos activités sont encore bonnes? Est-ce qu’on les modifie? L’essentiel va revenir, mais nous sommes toujours en mode développement de nouveaux projets.»
Parmi les idées privilégiées, le directeur général parle notamment de l’aménagement d’un local ado et de l’ouverture d’une maison des jeunes.
La firme TLA Architectes planche présentement sur les plans et par la suite, le regroupement demandera les permis à la Ville pour les travaux. On espère le grand déménagement cet été, mais La Parentèle se donne jusqu’en septembre pour finaliser le tout.
Des changements majeurs en lien avec du développement commercial et résidentiel sur l’avenue Léo-Lacombe, où l’organisme loge actuellement, ont poussé la direction à évaluer la possibilité de s’installer à une nouvelle adresse.
«Lorsque nous avons appris en mai 2017 que la caisse serait à vendre, nous avons tout de suite communiqué avec le directeur, d’expliquer Maxime Savard, directeur général de La Parentèle. Nous avons ensuite regardé avec nos prêteurs, nos bailleurs de fonds, pris en compte les surplus accumulés et négocié pour l’achat. La vente s’est concrétisée le 28 décembre.»
Décision à venir
Une décision sera prise dans les prochaines semaines quant à l’avenir du bâtiment actuel de La Parentèle, propriétaire des lieux. «Est-ce que nous allons le vendre, le moderniser, aménager un deuxième point de service? On ne sait pas encore», mentionne Maxime Savard.
Chose certaine, le déménagement donnera probablement un nouveau souffle à l’organisme, en débutant par un environnement plus propice aux activités et services proposés. «Nous sommes juste à côté de l’école de l’Arc-en-ciel et en face du parc St-Claude. Du haut de l’escalier, on voit la piscine! C’est un endroit plus paisible.»
La superficie du nouveau bâtiment ne sera pas plus grande que celle occupée sur l’avenue Léo-Lacombe, mais elle répondra mieux aux besoins actuels et futurs de La Parentèle.
«Nous serons sur deux étages et il y aura plus de salles de rencontre, précise Maxime Savard, ajoutant que ce projet de déménagement représente un investissement majeur. Nous devrons aussi nous pencher sur notre offre de service. Nous existons depuis bientôt 30 ans et on doit se questionner: est-ce que nos activités sont encore bonnes? Est-ce qu’on les modifie? L’essentiel va revenir, mais nous sommes toujours en mode développement de nouveaux projets.»
Parmi les idées privilégiées, le directeur général parle notamment de l’aménagement d’un local ado et de l’ouverture d’une maison des jeunes.