Close Menu
Courrier LavalCourrier Laval

    Recevoir notre infolettre

    Recevez des informations sur l'actualité, événement et concours

    À la une

    Deux Lavalloises remportent l’or avec le Canada en handball

    6 Décembre 2025

    Wilfried Nancy nouvel entraîneur-chef du Celtic de Glasgow

    6 Décembre 2025

    Laval se rappelle la tuerie de Polytechnique

    6 Décembre 2025
    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube LinkedIn
    • Nous joindre
    • Service aux annonceurs
    • Courrier Laval EN
    • Faire un don
    La météo à Laval
    Samedi 6 Décembre
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Courrier LavalCourrier Laval
    • Actualités
      1. Économie
      2. Politique
      3. Politique municipale
      4. Société
      5. Voir tout

      Bientôt démoli, l’ancien Brault & Martineau fera place à un développement de 600 M$

      5 Décembre 2025

      Trouver de l’aide en cas de difficultés financières

      4 Décembre 2025

      101 logements sociaux et abordables inaugurés dans Chomedey

      3 Décembre 2025

      En 10 ans, le prix des maisons unifamiliales a plus que doublé à Laval

      2 Décembre 2025

      Visée par une enquête, Sona Lakhoyan Olivier exclue du caucus libéral

      5 Décembre 2025

      Vague de 53 nominations chez les élus municipaux

      4 Décembre 2025

      46 M$ pour 13,5 kilomètres de conduites d’eau à Laval

      3 Décembre 2025

      101 logements sociaux et abordables inaugurés dans Chomedey

      3 Décembre 2025

      Vague de 53 nominations chez les élus municipaux

      4 Décembre 2025

      46 M$ pour 13,5 kilomètres de conduites d’eau à Laval

      3 Décembre 2025

      101 logements sociaux et abordables inaugurés dans Chomedey

      3 Décembre 2025

      Pierre Brabant à la présidence de la STL; Sylvain Yelle nommé au C.A.

      3 Décembre 2025

      Laval se rappelle la tuerie de Polytechnique

      6 Décembre 2025

      Campagne lavalloise pour enrayer la violence conjugale

      5 Décembre 2025

      Trouver de l’aide en cas de difficultés financières

      4 Décembre 2025

      La Ville de Laval remet un montant record à Centraide

      3 Décembre 2025

      Deux Lavalloises remportent l’or avec le Canada en handball

      6 Décembre 2025

      Wilfried Nancy nouvel entraîneur-chef du Celtic de Glasgow

      6 Décembre 2025

      Laval se rappelle la tuerie de Polytechnique

      6 Décembre 2025

      Bientôt démoli, l’ancien Brault & Martineau fera place à un développement de 600 M$

      5 Décembre 2025
    • Faits divers
    • Culture
    • Sports

      Deux Lavalloises remportent l’or avec le Canada en handball

      6 Décembre 2025

      Wilfried Nancy nouvel entraîneur-chef du Celtic de Glasgow

      6 Décembre 2025

      Le basketball de la NCAA attire les foules à la Place Bell

      5 Décembre 2025

      Samuel Blais prêt pour ses débuts avec le Rocket

      28 novembre 2025

      L’exposition itinérante «Sportivement Laval» débarque au complexe aquatique

      28 novembre 2025
    • Édition virtuelle
      • Édition de la semaine
      • Archives
    • Inspiration
    • MAG Laval
    • Plus +
      • Jeux
      • Concours
      • Emploi
      • Points de dépôt
      • Zone Aubaines
    Courrier LavalCourrier Laval
    Home - Culture - Guylaine Tanguay referait tout de la même façon

    Guylaine Tanguay referait tout de la même façon

    Benoit LeBlancPar Benoit LeBlanc9 mai 2018
    Facebook Twitter LinkedIn
    Pour Guylaine Tanguay, la maternité a toujours été synonyme de bonheur, elle qui vit désormais la fierté qu'ont ses filles à son endroit.
    Pour Guylaine Tanguay, la maternité a toujours été synonyme de bonheur, elle qui vit désormais la fierté qu'ont ses filles à son endroit. ©Photo - Photo 2M.Media - Mario Beauregard
    Partager
    Facebook Twitter LinkedIn

    Mis à jour le 09 mai 2018 à 20h30

    «La priorité a toujours été mes filles, la famille, affirme Guylaine Tanguay, attablée à l’un de ses restaurants préférés de Sainte-Dorothée, quartier qu’elle habite depuis 20 ans. Toutefois, je ne suis pas une mère poule. Je prends plutôt fierté à combler leurs besoins au quotidien, les lunchs, la lessive. Je suis vieux jeu en matière de valeurs et maternité.»

    Mère de deux filles, et vivant avec une troisième, celle de son conjoint, la chanteuse de 46 ans n’a d’ailleurs pas oublié les préjugés auxquels elle a fait face en choisissant de rester à la maison. Pour elle, il était primordial que ses enfants évitent la garderie et dînent chez eux. N’empêche, elle n’a jamais arrêté pour autant d’endisquer et monter sur scène.

    «Pendant les années à l’école Saint-Raymond, mon chum Carl Bazinet s’impliquait dans les comités de parents et ça ne nous empêchait pas de s’asseoir en famille autour de la table, se souvient la chanteuse originaire de Girardville, près de Dolbeau, au Lac-Saint-Jean. On montait les CD qu’on recevait en pièces détachées (boîtiers, pochettes) à la chaîne. Les deux plus vieilles les vendaient durant l’entracte. Je me souviendrai toujours de Marie-Pier, ma petite dernière, assise à l’arrière du char et qui nous lance pendant qu’on compte l’argent: « Pis, on a-tu fait du cash? »»

    Aujourd’hui, l’aînée Marilyn (24 ans), qui vit à Whistler, Mélissa (22 ans) et la cadette Marie-Pier (18 ans), qui vient d’aménager un studio dans le sous-sol familial, partageant la chambre de costumes de spectacle de sa mère, expriment leur fierté à qui veut bien l’entendre. Les trois réalisent profondément la détermination et les années de travail acharné se cachant derrière la réussite de leur mère.

    «Je suis là pour leur donner tous les outils possibles et utiles dans cette vie, ajoute-t-elle. J’ai montré aux filles la valeur du travail et de l’argent dans le plaisir. Je ne suis pas Dieu, juste leur mère. J’ai aussi fait ma part de gaffes. Je veux que nos filles à Carl et moi, qui sont tellement énergiques, en santé, équilibrées, puissent faire de belles affaires sans être nécessairement riches.»

    Une mère chanteuse

    La mère de Guylaine Tanguay a arrêté de chanter il y a 30 ans. «Elle a la même voix que Chantal Pary.» Quand la petite championne de nombreux concours, dont ses célèbres performances de yodeling, voudra absolument performer devant public, sa mère tentera en vain de la protéger, mais la passion de la musique l’emportera.

    Il y a quelques années, invitée à jouer en Floride, Guylaine Tanguay s’est offerte une virée américaine en compagnie des quatre principales femmes de sa vie: sa mère et ses filles. «Ç’aura été une aventure mémorable.»

    Maintenant, quand l’artiste termine une série intensive de spectacles, elle contacte sa tribu par texto et demande simplement: «Qui est dispo pour une bouffe ce soir?»

    «J’ai alors juste le goût d’écouter mon monde, savoir ce qui se passe dans leur vie.»

    Guylaine et Elvis

    L’adresse de Graceland, 3764, Elvis Presley Boulevard, sera le titre du sixième opus de Guylaine Tanguay qui sortira début juin. L’artiste a visité à trois reprises ce site hautement touristique de Memphis.

    «Contrairement à mon conjoint et bien des Québécois, je n’ai jamais capoté sur Elvis, spécifie la chanteuse. Il demeure qu’en 1998, la première fois que je suis allée dans sa maison, c’est comme s’il était toujours là et je suis très loin d’être une personne ésotérique.»

    Dans une suite de reprises à la sauce country, l’album alignera les succès du King du rock’n’roll, dont Blue Suede Shoes, Teddy Bear, Don’t Be Cruel, Heartbreak Hotel, la préférée de Guylaine Tanguay, et That’s Alright Mama, la première pièce d’Elvis que l’interprète québécoise a enregistrée sur le X du Sun Studio d’origine et qui pourrait bien être le premier extrait de l’album à être entendu à la radio.

    «Nous avons de nouveau travaillé avec le producteur Steve Mandile en allant aux racines blues et country d’Elvis, confie Guylaine Tanguay. C’est le premier géant qui a conquis le monde avec une attitude et un look attachés à sa voix et ses chansons uniques. Elvis a amené la musique dans le show-business.»

    «La priorité a toujours été mes filles, la famille, affirme Guylaine Tanguay, attablée à l’un de ses restaurants préférés de Sainte-Dorothée, quartier qu’elle habite depuis 20 ans. Toutefois, je ne suis pas une mère poule. Je prends plutôt fierté à combler leurs besoins au quotidien, les lunchs, la lessive. Je suis vieux jeu en matière de valeurs et maternité.»

    Mère de deux filles, et vivant avec une troisième, celle de son conjoint, la chanteuse de 46 ans n’a d’ailleurs pas oublié les préjugés auxquels elle a fait face en choisissant de rester à la maison. Pour elle, il était primordial que ses enfants évitent la garderie et dînent chez eux. N’empêche, elle n’a jamais arrêté pour autant d’endisquer et monter sur scène.

    «Pendant les années à l’école Saint-Raymond, mon chum Carl Bazinet s’impliquait dans les comités de parents et ça ne nous empêchait pas de s’asseoir en famille autour de la table, se souvient la chanteuse originaire de Girardville, près de Dolbeau, au Lac-Saint-Jean. On montait les CD qu’on recevait en pièces détachées (boîtiers, pochettes) à la chaîne. Les deux plus vieilles les vendaient durant l’entracte. Je me souviendrai toujours de Marie-Pier, ma petite dernière, assise à l’arrière du char et qui nous lance pendant qu’on compte l’argent: « Pis, on a-tu fait du cash? »»

    Aujourd’hui, l’aînée Marilyn (24 ans), qui vit à Whistler, Mélissa (22 ans) et la cadette Marie-Pier (18 ans), qui vient d’aménager un studio dans le sous-sol familial, partageant la chambre de costumes de spectacle de sa mère, expriment leur fierté à qui veut bien l’entendre. Les trois réalisent profondément la détermination et les années de travail acharné se cachant derrière la réussite de leur mère.

    «Je suis là pour leur donner tous les outils possibles et utiles dans cette vie, ajoute-t-elle. J’ai montré aux filles la valeur du travail et de l’argent dans le plaisir. Je ne suis pas Dieu, juste leur mère. J’ai aussi fait ma part de gaffes. Je veux que nos filles à Carl et moi, qui sont tellement énergiques, en santé, équilibrées, puissent faire de belles affaires sans être nécessairement riches.»

    Une mère chanteuse

    La mère de Guylaine Tanguay a arrêté de chanter il y a 30 ans. «Elle a la même voix que Chantal Pary.» Quand la petite championne de nombreux concours, dont ses célèbres performances de yodeling, voudra absolument performer devant public, sa mère tentera en vain de la protéger, mais la passion de la musique l’emportera.

    Il y a quelques années, invitée à jouer en Floride, Guylaine Tanguay s’est offerte une virée américaine en compagnie des quatre principales femmes de sa vie: sa mère et ses filles. «Ç’aura été une aventure mémorable.»

    Maintenant, quand l’artiste termine une série intensive de spectacles, elle contacte sa tribu par texto et demande simplement: «Qui est dispo pour une bouffe ce soir?»

    «J’ai alors juste le goût d’écouter mon monde, savoir ce qui se passe dans leur vie.»

    Guylaine et Elvis

    L’adresse de Graceland, 3764, Elvis Presley Boulevard, sera le titre du sixième opus de Guylaine Tanguay qui sortira début juin. L’artiste a visité à trois reprises ce site hautement touristique de Memphis.

    «Contrairement à mon conjoint et bien des Québécois, je n’ai jamais capoté sur Elvis, spécifie la chanteuse. Il demeure qu’en 1998, la première fois que je suis allée dans sa maison, c’est comme s’il était toujours là et je suis très loin d’être une personne ésotérique.»

    Dans une suite de reprises à la sauce country, l’album alignera les succès du King du rock’n’roll, dont Blue Suede Shoes, Teddy Bear, Don’t Be Cruel, Heartbreak Hotel, la préférée de Guylaine Tanguay, et That’s Alright Mama, la première pièce d’Elvis que l’interprète québécoise a enregistrée sur le X du Sun Studio d’origine et qui pourrait bien être le premier extrait de l’album à être entendu à la radio.

    «Nous avons de nouveau travaillé avec le producteur Steve Mandile en allant aux racines blues et country d’Elvis, confie Guylaine Tanguay. C’est le premier géant qui a conquis le monde avec une attitude et un look attachés à sa voix et ses chansons uniques. Elvis a amené la musique dans le show-business.»

    Print Friendly, PDF & EmailImprimer le texte
    Partager Facebook Twitter LinkedIn
    Benoit LeBlanc

    Articles Similaires

    Parcours gratuit de structures illuminées avec le père Noël à Laval

    4 Décembre 2025

    16 000$ pour la santé mentale des jeunes de Laval-des-Rapides

    29 novembre 2025

    L’exposition itinérante «Sportivement Laval» débarque au complexe aquatique

    28 novembre 2025
    Tour d’actualité

    Deux Lavalloises remportent l’or avec le Canada en handball

    Sports 6 Décembre 2025

    Les Lavalloises Sofia Rioux et Alexia Gousy ont aidé la sélection canadienne à remporter la…

    Print Friendly, PDF & EmailImprimer le texte

    Wilfried Nancy nouvel entraîneur-chef du Celtic de Glasgow

    6 Décembre 2025

    Laval se rappelle la tuerie de Polytechnique

    6 Décembre 2025
    Suivez-nous
    • Facebook
    • Twitter
    • Instagram
    • YouTube
    Notre Mission
    Notre Mission

    Rejoindre l’ensemble des citoyens de Laval, et ce, par notre réseau de diffusion unique constitué de publications imprimées, de sites web, de blogues, et par une présence importante dans la communauté et dans les réseaux sociaux.

    Financé par le gouvernement du Canada

    Facebook X (Twitter) Instagram YouTube LinkedIn
    Sur le vif

    Deux Lavalloises remportent l’or avec le Canada en handball

    6 Décembre 2025

    Wilfried Nancy nouvel entraîneur-chef du Celtic de Glasgow

    6 Décembre 2025

    Laval se rappelle la tuerie de Polytechnique

    6 Décembre 2025

    Recevoir notre infolettre

    Recevez des informations sur l'actualité, événement et concours

    © 2025 Tous droits réservés - Création 2M MEDIA
    • Contactez-nous
    • Conditions d’utilisation et politique de confidentialité
    • Service aux annonceurs
    • Qui sommes-nous ?

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Échap pour annuler.