«Marc Demers s’approprie la réalisation d’un projet dessiné et approuvé sous l’ère Vaillancourt, déplore-t-il dans un communiqué publié le 31 août. Ces multiples annonces du même projet démontrent bien que M. Demers cherche à combler un vide, puisque ses réalisations concrètes à titre de maire sont peu nombreuses au cours des trois dernières années et demie».
Contre au départ
Même qu’en janvier 2013, «Marc Demers et David De Cotis s’y opposaient au point de mettre en demeure la Ville de Laval» de renoncer à la convention de partenariat qu’elle venait de conclure avec evenko, d’en remettre le chef d’Action Laval.
«À l’époque, il n’y avait aucune transparence, personne ne fournissait de l’information», s’était justifié le maire Demers, la semaine dernière, alors que le chef du Parti Laval, Michel Trottier, avait ramené cette histoire de mise en demeure sur le tapis.
Heures de glace
Par ailleurs, l’amphithéâtre culturel et sportif construit au coût de 200 M$ témoigne de la «vision centralisatrice» du premier citoyen de Laval, poursuit Jean-Claude Gobé.
Bien qu’il reconnaisse les avantages qui découlent d’un tel équipement, M. Gobé estime que la Place Bell s’est faite au détriment des infrastructures de proximité dans les quartiers où «les arénas tombent en ruine».
«On les rénove les uns après les autres, de réagir le porte-parole du cabinet du maire Demers, François Brochu, au sujet des arénas municipaux. Saint-François, Yvon-Chartrand et Martin Saint-Louis [anciennement Samson] ont été rénovés et celui de Laval-Ouest est en cours de rénovation».
Enfin, Jean-Claude Gobé termine ainsi: «À toutes les fois que l’on m’y invitera, je me poserai la même question avec amertume: pour en arriver à cette citerne à 121 M$ [la part assumée par la Ville] dans notre paysage urbain, combien de jeunes aura-t-il fallu priver de temps de glace ou combien de parents Lavallois devront, à cause de ce projet pharaonique, aller voir leurs enfants jouer à l’extérieur de la ville?»
Selon Hélène Lamarre Simard, conseillère en communication à l’hôtel de ville, les deux glaces communautaires qu’abrite la Place Bell ajouteront 3000 heures de glace supplémentaires par année sur le territoire, ce qui réduira à 200 heures les contrats de location de glace à l’extérieur de la Ville en 2017-2018.
«Marc Demers s’approprie la réalisation d’un projet dessiné et approuvé sous l’ère Vaillancourt, déplore-t-il dans un communiqué publié le 31 août. Ces multiples annonces du même projet démontrent bien que M. Demers cherche à combler un vide, puisque ses réalisations concrètes à titre de maire sont peu nombreuses au cours des trois dernières années et demie».
Contre au départ
Même qu’en janvier 2013, «Marc Demers et David De Cotis s’y opposaient au point de mettre en demeure la Ville de Laval» de renoncer à la convention de partenariat qu’elle venait de conclure avec evenko, d’en remettre le chef d’Action Laval.
«À l’époque, il n’y avait aucune transparence, personne ne fournissait de l’information», s’était justifié le maire Demers, la semaine dernière, alors que le chef du Parti Laval, Michel Trottier, avait ramené cette histoire de mise en demeure sur le tapis.
Heures de glace
Par ailleurs, l’amphithéâtre culturel et sportif construit au coût de 200 M$ témoigne de la «vision centralisatrice» du premier citoyen de Laval, poursuit Jean-Claude Gobé.
Bien qu’il reconnaisse les avantages qui découlent d’un tel équipement, M. Gobé estime que la Place Bell s’est faite au détriment des infrastructures de proximité dans les quartiers où «les arénas tombent en ruine».
«On les rénove les uns après les autres, de réagir le porte-parole du cabinet du maire Demers, François Brochu, au sujet des arénas municipaux. Saint-François, Yvon-Chartrand et Martin Saint-Louis [anciennement Samson] ont été rénovés et celui de Laval-Ouest est en cours de rénovation».
Enfin, Jean-Claude Gobé termine ainsi: «À toutes les fois que l’on m’y invitera, je me poserai la même question avec amertume: pour en arriver à cette citerne à 121 M$ [la part assumée par la Ville] dans notre paysage urbain, combien de jeunes aura-t-il fallu priver de temps de glace ou combien de parents Lavallois devront, à cause de ce projet pharaonique, aller voir leurs enfants jouer à l’extérieur de la ville?»
Selon Hélène Lamarre Simard, conseillère en communication à l’hôtel de ville, les deux glaces communautaires qu’abrite la Place Bell ajouteront 3000 heures de glace supplémentaires par année sur le territoire, ce qui réduira à 200 heures les contrats de location de glace à l’extérieur de la Ville en 2017-2018.