«C’est un grand pas dans la bonne direction», a-t-il commenté dans les minutes suivant le point de presse en dévoilant les faits saillants.
«On est parti d’à peu près rien et voilà que 13,5 % du territoire est protégé ou conservé. Je suis très satisfait», poursuit-il, ajoutant qu’on s’approche de la cible de 17 % fixée dans le Plan métropolitain d’aménagement et de développement (PMAD) pour 2031.
Le grand environnementaliste a aussi salué la densification du territoire en bordure des grands axes, ce qui contribuera à favoriser le transport collectif et actif et, du coup, à luttera contre les émissions de gaz à effet de serre, a-t-il glissé au passage.
Souhaits
Maintenant, M. Garand souhaite que la Ville accorde un statut de conservation à tous les boisés d’intérêt dont elle est propriétaire comme elle l’a fait pour le bois du Souvenir et le Sentier du Totem, lesquels bénéficient désormais d’une affectation de «conservation».
En terminant, l’âme dirigeante du CRE a invité la Ville «à faire comme toutes les grandes villes du Québec et du Canada et à se doter d’un Service des grands parcs et des milieux naturels pour en assurer la gestion».
Opposition
Du côté de l’opposition officielle, le chef d’Action Laval, Jean-Claude Gobé, se réjouit de l’imposition d’une limite de hauteur des immeubles tout en reprochant à l’administration Demers d’avoir attendu au printemps de la dernière année de son mandat pour adopter le Règlement de contrôle intérimaire limitant les hauteurs.
«On s’est fermé les yeux et on a laissé passer des projets. C’est irresponsable», a-t-il fait valoir, évoquant la récente mise en chantier d’une tour d’habitation de 26 étages en bordure de la rivière des Prairies, à Chomedey, là où la limite plafonne aujourd’hui à 15 étages.
Quant au chef de Parti Laval, Michel Trottier, il a souligné d’entrée de jeu «la très grande qualité» du document.
«Il y a des éléments super intéressants à l’intérieur du schéma, mais je suis particulièrement préoccupé du fait que l’on n’atteigne pas la cible du 30 % de protection de notre canopée, fait-il part. Il faut aller plus loin.»
Par ailleurs, il soutient que «les 10 pôles de quartier [identifiés dans le schéma] sont nettement insuffisants. Par exemple, Champfleury, où vivent 10 000 personnes, n’en fait pas partie. Plusieurs autres pôles auraient intérêt à être développés.»
«C’est un grand pas dans la bonne direction», a-t-il commenté dans les minutes suivant le point de presse en dévoilant les faits saillants.
«On est parti d’à peu près rien et voilà que 13,5 % du territoire est protégé ou conservé. Je suis très satisfait», poursuit-il, ajoutant qu’on s’approche de la cible de 17 % fixée dans le Plan métropolitain d’aménagement et de développement (PMAD) pour 2031.
Le grand environnementaliste a aussi salué la densification du territoire en bordure des grands axes, ce qui contribuera à favoriser le transport collectif et actif et, du coup, à luttera contre les émissions de gaz à effet de serre, a-t-il glissé au passage.
Souhaits
Maintenant, M. Garand souhaite que la Ville accorde un statut de conservation à tous les boisés d’intérêt dont elle est propriétaire comme elle l’a fait pour le bois du Souvenir et le Sentier du Totem, lesquels bénéficient désormais d’une affectation de «conservation».
En terminant, l’âme dirigeante du CRE a invité la Ville «à faire comme toutes les grandes villes du Québec et du Canada et à se doter d’un Service des grands parcs et des milieux naturels pour en assurer la gestion».
Opposition
Du côté de l’opposition officielle, le chef d’Action Laval, Jean-Claude Gobé, se réjouit de l’imposition d’une limite de hauteur des immeubles tout en reprochant à l’administration Demers d’avoir attendu au printemps de la dernière année de son mandat pour adopter le Règlement de contrôle intérimaire limitant les hauteurs.
«On s’est fermé les yeux et on a laissé passer des projets. C’est irresponsable», a-t-il fait valoir, évoquant la récente mise en chantier d’une tour d’habitation de 26 étages en bordure de la rivière des Prairies, à Chomedey, là où la limite plafonne aujourd’hui à 15 étages.
Quant au chef de Parti Laval, Michel Trottier, il a souligné d’entrée de jeu «la très grande qualité» du document.
«Il y a des éléments super intéressants à l’intérieur du schéma, mais je suis particulièrement préoccupé du fait que l’on n’atteigne pas la cible du 30 % de protection de notre canopée, fait-il part. Il faut aller plus loin.»
Par ailleurs, il soutient que «les 10 pôles de quartier [identifiés dans le schéma] sont nettement insuffisants. Par exemple, Champfleury, où vivent 10 000 personnes, n’en fait pas partie. Plusieurs autres pôles auraient intérêt à être développés.»