Environ 130 personnes se sont réunies au Centre de la nature pour participer à la 2e édition de ce défi organisé de façon bénévole par le Service de police de Laval, en partenariat avec les policiers et policières de la Course au flambeau des agents de la paix. L’événement a permis d’amasser 24 000 $ au bénéfice des Olympiques spéciaux Québec (OSQ), un mouvement sportif destiné aux gens vivant avec une déficience intellectuelle.
«C’est la cause la plus supportée par les policiers partout dans le monde, se réjouit Pierre Brochet, directeur du Service de police de Laval, qui est l’initiateur du projet. Je trouve ça important qu’on puisse s’associer à ça, comme agents de la paix. Ça encourage l’inclusion sociale, car souvent, les gens ont des préjugés face à eux. On apprend à mieux connaître les athlètes [avec ce défi].»
«Les épreuves sont difficiles, mais je suis prête à tout!» lance d’entrée de jeu Valérie Gagnon-Paradis, une nageuse de 32 ans qui a récolté pas moins de quatre médailles (une d’or et trois d’argent) aux Jeux olympiques spéciaux d’été, à Québec. «Ça me fait chaud au cœur, car il y a beaucoup de policiers qui sont là pour nous accueillir et ils ramassent de l’argent pour nous», témoigne celle qui est aussi ambassadrice pour les OSQ.
Regroupés en équipe de cinq ou six, les participants jumelés à un athlète des Olympiques spéciaux devaient réussir un parcours d’obstacles d’inspiration militaire, une épreuve qui a duré entre 45 minutes et 1h30 selon la performance des équipes. Plusieurs disciplines étaient représentées, tels la natation, le basketball, l’athlétisme, le soccer, le hockey et le hockey-balle.
Motivateur hors-pair
Alban Ndongbou, un jeune basketballeur des OSQ, était définitivement le participant le plus en forme de l’équipe média, composée de la lieutenante aux Affaires publiques Geneviève Villemure, du député libéral Jean Rousselle, de son attachée politique Julie Landreville, l’entrepreneur et ancien acteur de Watatatow Michel Goyette ainsi que la journaliste et auteure de ces lignes, Josianne Desjardins.
L’auteure de ces lignes a d’ailleurs conseillé à ses compagnons de course d’être «sur le gun», jeu de mot qui lui est venu à l’esprit en prenant place sur le siège conducteur du véhicule de police, lieu de départ de la course. Une fois la course entamée, Alban était tout feu tout flamme. Un vrai meneur toujours prêt à encourager les autres à reprendre leur souffle. Pas étonnant pour celui qui a fait de l’athlétisme pendant 12 ans. «J’étais un peu stressé les jours avant la course, avoue-t-il, mais finalement, ça s’est bien passé!» Cela ne fait aucun doute, car Alban a réussi à convaincre toute l’équipe des bienfaits de l’activité physique.
Environ 130 personnes se sont réunies au Centre de la nature pour participer à la 2e édition de ce défi organisé de façon bénévole par le Service de police de Laval, en partenariat avec les policiers et policières de la Course au flambeau des agents de la paix. L’événement a permis d’amasser 24 000 $ au bénéfice des Olympiques spéciaux Québec (OSQ), un mouvement sportif destiné aux gens vivant avec une déficience intellectuelle.
«C’est la cause la plus supportée par les policiers partout dans le monde, se réjouit Pierre Brochet, directeur du Service de police de Laval, qui est l’initiateur du projet. Je trouve ça important qu’on puisse s’associer à ça, comme agents de la paix. Ça encourage l’inclusion sociale, car souvent, les gens ont des préjugés face à eux. On apprend à mieux connaître les athlètes [avec ce défi].»
«Les épreuves sont difficiles, mais je suis prête à tout!» lance d’entrée de jeu Valérie Gagnon-Paradis, une nageuse de 32 ans qui a récolté pas moins de quatre médailles (une d’or et trois d’argent) aux Jeux olympiques spéciaux d’été, à Québec. «Ça me fait chaud au cœur, car il y a beaucoup de policiers qui sont là pour nous accueillir et ils ramassent de l’argent pour nous», témoigne celle qui est aussi ambassadrice pour les OSQ.
Regroupés en équipe de cinq ou six, les participants jumelés à un athlète des Olympiques spéciaux devaient réussir un parcours d’obstacles d’inspiration militaire, une épreuve qui a duré entre 45 minutes et 1h30 selon la performance des équipes. Plusieurs disciplines étaient représentées, tels la natation, le basketball, l’athlétisme, le soccer, le hockey et le hockey-balle.
Motivateur hors-pair
Alban Ndongbou, un jeune basketballeur des OSQ, était définitivement le participant le plus en forme de l’équipe média, composée de la lieutenante aux Affaires publiques Geneviève Villemure, du député libéral Jean Rousselle, de son attachée politique Julie Landreville, l’entrepreneur et ancien acteur de Watatatow Michel Goyette ainsi que la journaliste et auteure de ces lignes, Josianne Desjardins.
L’auteure de ces lignes a d’ailleurs conseillé à ses compagnons de course d’être «sur le gun», jeu de mot qui lui est venu à l’esprit en prenant place sur le siège conducteur du véhicule de police, lieu de départ de la course. Une fois la course entamée, Alban était tout feu tout flamme. Un vrai meneur toujours prêt à encourager les autres à reprendre leur souffle. Pas étonnant pour celui qui a fait de l’athlétisme pendant 12 ans. «J’étais un peu stressé les jours avant la course, avoue-t-il, mais finalement, ça s’est bien passé!» Cela ne fait aucun doute, car Alban a réussi à convaincre toute l’équipe des bienfaits de l’activité physique.