Après avoir accueilli un dépanneur bien connu du secteur durant plusieurs années, l’endroit abrite maintenant trois logements dont deux étaient inoccupés pour des travaux de rénovation.
Le 16 février, un premier appel fait au 911, à 17h44, a mené à une intervention du Service de sécurité incendie dont l’annonce du contrôle a pris moins de 2 heures, les pompiers demeurant toutefois sur place plus longtemps pour garder la scène sous observation.
Après avoir évacué rapidement son appartement, une petite famille de quatre personnes doit désormais se reloger. Vendredi soir, elle a d’abord été prise en charge par des bénévoles de la Croix-Rouge qui leur ont offert réconfort, services d’hébergement, alimentation et habillement.
De leur côté, une fois le feu sous contrôle, les enquêteurs incendie ont fait appel aux policiers pour sécuriser la scène. Il sera nécessaire d’investiguer afin de savoir si un court-circuit dû à une surchauffe du courant électrique ou plutôt une main criminelle est en cause dans cet événement.
Second incendie
Toutefois, à 1h41, le 17 février, les policiers en poste ont repéré de la fumée sortant de la toiture et appelé aussitôt les pompiers.
«Cette fois, nous avons dû impliquer 9 unités, soit 34 hommes, dans l’opération, en raison de la complexité de la construction de cette vieille bâtisse et de la lourde couche de neige restée sur les deux toitures superposées de l’endroit», d’expliquer Louis Boucher, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Laval.
Les pompiers ont maîtrisé l’affaire à 3h35. Si le premier incendie n’avait laissé derrière lui que des dommages évalués à 20 000 $, cette fois, les dégâts sont plus lourds. On parle de 200 000 $ pour le bâtiment et 5000 $ pour son contenu.
«Avec des équipes qui se relayent, ç’a demandé un gros travail de pelletage et de scie mécanique, puisque nous avons dû découper complètement la première toiture de l’extérieur et une partie de la deuxième de l’intérieur», précise chef Boucher.
L’incendie est toujours considéré comme suspect et se trouve désormais sous enquête policière. Le propriétaire des lieux aurait notamment reçu des menaces d’un employé.
Après avoir accueilli un dépanneur bien connu du secteur durant plusieurs années, l’endroit abrite maintenant trois logements dont deux étaient inoccupés pour des travaux de rénovation.
Le 16 février, un premier appel fait au 911, à 17h44, a mené à une intervention du Service de sécurité incendie dont l’annonce du contrôle a pris moins de 2 heures, les pompiers demeurant toutefois sur place plus longtemps pour garder la scène sous observation.
Après avoir évacué rapidement son appartement, une petite famille de quatre personnes doit désormais se reloger. Vendredi soir, elle a d’abord été prise en charge par des bénévoles de la Croix-Rouge qui leur ont offert réconfort, services d’hébergement, alimentation et habillement.
De leur côté, une fois le feu sous contrôle, les enquêteurs incendie ont fait appel aux policiers pour sécuriser la scène. Il sera nécessaire d’investiguer afin de savoir si un court-circuit dû à une surchauffe du courant électrique ou plutôt une main criminelle est en cause dans cet événement.
Second incendie
Toutefois, à 1h41, le 17 février, les policiers en poste ont repéré de la fumée sortant de la toiture et appelé aussitôt les pompiers.
«Cette fois, nous avons dû impliquer 9 unités, soit 34 hommes, dans l’opération, en raison de la complexité de la construction de cette vieille bâtisse et de la lourde couche de neige restée sur les deux toitures superposées de l’endroit», d’expliquer Louis Boucher, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Laval.
Les pompiers ont maîtrisé l’affaire à 3h35. Si le premier incendie n’avait laissé derrière lui que des dommages évalués à 20 000 $, cette fois, les dégâts sont plus lourds. On parle de 200 000 $ pour le bâtiment et 5000 $ pour son contenu.
«Avec des équipes qui se relayent, ç’a demandé un gros travail de pelletage et de scie mécanique, puisque nous avons dû découper complètement la première toiture de l’extérieur et une partie de la deuxième de l’intérieur», précise chef Boucher.
L’incendie est toujours considéré comme suspect et se trouve désormais sous enquête policière. Le propriétaire des lieux aurait notamment reçu des menaces d’un employé.