Des traces d’accélérant et bidons d’essence ont été trouvés à l’intérieur d’un salon de coiffure situé au 1263, des Laurentides, à Vimont, informe le chef aux opérations Louis Boucher, dont le Service avait déployé 6 unités de combat et 21 pompiers suivant l’appel reçu à 23h27 le 29 septembre.
«À l’arrivée des pompiers, les flammes étaient à la grandeur de la façade du bâtiment, explique-t-il. Sous l’intensité de la chaleur, les fenêtres avant avaient déjà éclaté».
M. Boucher, qui évalue les dommages à 250 000 $, mentionne que le Salon de coiffure Vanity venait à peine d’ouvrir. «Les nouveaux occupants s’étaient portés acquéreurs d’une ancienne imprimerie il y a trois mois.»
Au moment d’écrire ces lignes, les policiers enquêteurs s’apprêtaient à mettre la main sur un enregistrement numérique capté par la caméra d’un commerce voisin.
Chantier incendié
Puis, vers 1h cette nuit, un second incendie causé par une main criminelle, selon les premières observations, a littéralement soufflé une maison en chantier sur la 15e Avenue, angle 74e Rue, à Laval-Ouest, en plus d’endommager lourdement un bungalow tout à côté.
«L’ampleur de l’incendie a fait en sorte que les flammes se propagent à la toiture de la maison voisine, relate M. Boucher. Ses trois occupants, qui heureusement ne dormaient pas, ont eu le temps de non seulement évacuer les lieux, mais également d’éloigner leurs véhicules du foyer d’incendie.»
Leur maison a toutefois subi des dommages estimés à 400 000 $, dont 250 000 $ au bâtiment. Quant à la maison en chantier qui s’est consumée dans le temps de le dire, la perte est évaluée à 150 000 $. Sous l’effet de la chaleur, le revêtement extérieur en vinyle d’une troisième maison, celle-là située à l’arrière, a fondu, causant 40 000 $ en dommages.
Pyromane arrêté?
Selon nos informations, le Service de police de Laval aurait arrêté un suspect dans l’heure suivant le début de l’incendie. L’individu, un pyromane connu des milieux policiers, aurait été interpellé tout près du lieu de l’incendie. Rapidement, cette information a été formellement niée par le lieutenant de la gendarmerie de la police, Michel Lamarre, samedi matin.
Des traces d’accélérant et bidons d’essence ont été trouvés à l’intérieur d’un salon de coiffure situé au 1263, des Laurentides, à Vimont, informe le chef aux opérations Louis Boucher, dont le Service avait déployé 6 unités de combat et 21 pompiers suivant l’appel reçu à 23h27 le 29 septembre.
«À l’arrivée des pompiers, les flammes étaient à la grandeur de la façade du bâtiment, explique-t-il. Sous l’intensité de la chaleur, les fenêtres avant avaient déjà éclaté».
M. Boucher, qui évalue les dommages à 250 000 $, mentionne que le Salon de coiffure Vanity venait à peine d’ouvrir. «Les nouveaux occupants s’étaient portés acquéreurs d’une ancienne imprimerie il y a trois mois.»
Au moment d’écrire ces lignes, les policiers enquêteurs s’apprêtaient à mettre la main sur un enregistrement numérique capté par la caméra d’un commerce voisin.
Chantier incendié
Puis, vers 1h cette nuit, un second incendie causé par une main criminelle, selon les premières observations, a littéralement soufflé une maison en chantier sur la 15e Avenue, angle 74e Rue, à Laval-Ouest, en plus d’endommager lourdement un bungalow tout à côté.
«L’ampleur de l’incendie a fait en sorte que les flammes se propagent à la toiture de la maison voisine, relate M. Boucher. Ses trois occupants, qui heureusement ne dormaient pas, ont eu le temps de non seulement évacuer les lieux, mais également d’éloigner leurs véhicules du foyer d’incendie.»
Leur maison a toutefois subi des dommages estimés à 400 000 $, dont 250 000 $ au bâtiment. Quant à la maison en chantier qui s’est consumée dans le temps de le dire, la perte est évaluée à 150 000 $. Sous l’effet de la chaleur, le revêtement extérieur en vinyle d’une troisième maison, celle-là située à l’arrière, a fondu, causant 40 000 $ en dommages.
Pyromane arrêté?
Selon nos informations, le Service de police de Laval aurait arrêté un suspect dans l’heure suivant le début de l’incendie. L’individu, un pyromane connu des milieux policiers, aurait été interpellé tout près du lieu de l’incendie. Rapidement, cette information a été formellement niée par le lieutenant de la gendarmerie de la police, Michel Lamarre, samedi matin.