Marie-Ève Gosselin, qui accompagnait sa mère hospitalisée, dénonçait les à-côtés entourant la présence du ministre de la Santé et des Services sociaux.
«M. Barrette est en visite ici… avec les cameras», écrit-elle en déplorant une mise en scène en vertu de laquelle des ambulances auraient été détournées vers d’autres centres hospitaliers «pour montrer a quel point nos urgences vont bien!»
Elle ajoute: «Il y a une équipe qui passe juste en avant de lui pour libérer les corridors […] Le personnel est en colère ici… Mais tellement pas surpris! Ca dl’air que c’est la même histoire a chaque fois qui se pointe la face ici…»
Puis, en réponse à un commentaire, Mme Gosselin en remet, évoquant «la tonne de message» reçus «d’infirmière et de préposé» selon lesquels cette façon de faire serait coutume à l’occasion d’une visite ministérielle.
À midi le 18 janvier, moins de 48 heures plus tard, son statut approchait les 18 000 partages.
Démentis
Reprise ce matin par la chroniqueuse du 98,5 FM, Catherine Brisson, à l’émission de Paul Arcand, cette affaire a rapidement donné lieu à la publication de communiqués émanant du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval et d’Urgences-santé qui nient tout en bloc.
«Le CISSS de Laval assure qu’aucun détournement ou refus d’ambulance n’a eu lieu lors de cet événement […] aucun usager n’a été déplacé ou incommodé. Aucun changement n’a été apporté aux services réguliers de l’urgence ou à tout autre service de l’hôpital», pouvait-on lire dans un communiqué publié à 8h49 le 18 janvier.
Même son de cloche du côté de la plus grande organisation ambulancière au Québec qui, dans sa mise au point, affirme que la visite du ministre n’a occasionné aucune modification à la répartition des ambulances d’Urgences-santé destinées au CISSS de Laval. «La répartition s’est faite comme à l’habitude.»
Marie-Ève Gosselin, qui accompagnait sa mère hospitalisée, dénonçait les à-côtés entourant la présence du ministre de la Santé et des Services sociaux.
«M. Barrette est en visite ici… avec les cameras», écrit-elle en déplorant une mise en scène en vertu de laquelle des ambulances auraient été détournées vers d’autres centres hospitaliers «pour montrer a quel point nos urgences vont bien!»
Elle ajoute: «Il y a une équipe qui passe juste en avant de lui pour libérer les corridors […] Le personnel est en colère ici… Mais tellement pas surpris! Ca dl’air que c’est la même histoire a chaque fois qui se pointe la face ici…»
Puis, en réponse à un commentaire, Mme Gosselin en remet, évoquant «la tonne de message» reçus «d’infirmière et de préposé» selon lesquels cette façon de faire serait coutume à l’occasion d’une visite ministérielle.
À midi le 18 janvier, moins de 48 heures plus tard, son statut approchait les 18 000 partages.
Démentis
Reprise ce matin par la chroniqueuse du 98,5 FM, Catherine Brisson, à l’émission de Paul Arcand, cette affaire a rapidement donné lieu à la publication de communiqués émanant du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval et d’Urgences-santé qui nient tout en bloc.
«Le CISSS de Laval assure qu’aucun détournement ou refus d’ambulance n’a eu lieu lors de cet événement […] aucun usager n’a été déplacé ou incommodé. Aucun changement n’a été apporté aux services réguliers de l’urgence ou à tout autre service de l’hôpital», pouvait-on lire dans un communiqué publié à 8h49 le 18 janvier.
Même son de cloche du côté de la plus grande organisation ambulancière au Québec qui, dans sa mise au point, affirme que la visite du ministre n’a occasionné aucune modification à la répartition des ambulances d’Urgences-santé destinées au CISSS de Laval. «La répartition s’est faite comme à l’habitude.»