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COMMÉMORATION. Le conseil municipal a invité les citoyens, présents à la séance du 5 mai, à observer une minute de silence en hommage aux militaires ayant servi le pays en Afghanistan depuis 2001.

Le 7 mai, les escouades régionales mixtes de Laval, Laurentides-Lanaudière et de Saguenay, ainsi que le Module de lutte aux drogues de synthèse de la Sûreté du Québec, ont procédé au démantèlement de deux réseaux de trafic de stupéfiants au Saguenay, à Montréal et sur sa couronne Nord.

BILAN. L’ombudsman de la Ville de Laval, Me Nadine Mailloux, a rencontré la presse, le 6 mai, pour y dévoiler son rapport annuel 2013, déposé la veille au conseil municipal.

ARTS VISUELS. Du 8 au 11 mai, 26 membres professionnels de l’Atelier d’aquarelle Le Partage exposeront une quarantaine d’oeuvres témoignant de leur travail des dernières années.

Selon le journal La Presse, le procès en inéligibilité de Marc Demers devrait se dérouler les 17 et 18 novembre prochains, un peu plus d’un an après qu’il a été élu maire de Laval.

PRÉVENTION . Pour une deuxième année consécutive, le manufacturier Racan Carrier et l’École Leblanc ont obtenu le Grand Prix régional santé et sécurité du travail dans leur catégorie respective.

COMPÉTITION. Avec près de 400 personnes vivant avec une déficience intellectuelle, une limitation physique ou un trouble envahissant du développement, la délégation lavalloise était bien représentée au Défi sportif AlterGo 2014, au Complexe sportif Claude-Robillard, du 28 avril au 2 mai.

LITTÉRATURE. Chrystine Brouillet, Patrick Senécal, Robert Soulières et 13 autres auteurs ont accepté l’invitation du blogueur et grand amant du polar Richard Migneault d’écrire chacun une nouvelle se déroulant dans une librairie.

MUSIQUE CLASSIQUE. Phénomène mondial du violoncelle, Stéphane Tétreault interprétera pour la première fois le plus célèbre concerto créé pour cet instrument, l’Opus 85 d’Edward Edgar, ce mercredi 7 mai, avec les musiciens de l’Orchestre symphonique de Laval (OSL).

SOCIÉTÉ. À l’âge de cinq ans, Mireille Forget a grandi dans Pont-Viau, du temps où le boulevard Taschereau ne s’appelait pas encore le boulevard des Laurentides et que des champs s’étendaient là où, aujourd’hui, le bitume règne en roi.