Carrefour«Je ne vous ai jamais vu aussi nombreux! a déclaré Mathieu Cloutier, coordonnateur de l’événement dans le stationnement de l’Aviron, principale ressource d’hébergement communautaire à Laval. Jeune, vieux, femme, homme, personne n’est à l’abri de l’itinérance. Nous en sommes à une 3e marche. Ce sera une soirée hors du commun.»
«Depuis les années 2000, l’itinérance est de plus en plus visible et augmente sans cesse sur le territoire, d’affirmer Carol Pagé, présidente du Réseau des organismes et intervenants en itinérance de Laval qui organise la Nuit des sans-abri. Avec juste 618 $ dans leurs poches chaque mois, les gens doivent désormais faire un choix: se nourrir ou se loger. C’est d’autant plus difficile dans les grands centres urbains où les loyers sont très chers.»
Avant de partir, les personnes itinérantes ont pu se fournir en vêtements chauds récoltés par le Collège Montmorency et distribués par neuf bénévoles du Carrefour Jeunesse Emploi.
«Nous sommes venues redonner de la chaleur et du cœur à ceux qui en ont beaucoup besoin», ont confié Krystelle Therrien-Richard et Jennifer Asselin, cette dernière faisant partie du comité organisateur de cette soirée spéciale.
«C’est important de sensibiliser la population à la dure réalité de ces personnes et donner la chance aux gens de connaître ces itinérants et intervenants, en pouvant échanger avec eux», d’ajouter Carol Pagé et Mathieu Cloutier.
Après s’être rassemblée à L’Aviron, la foule a d’abord déambulé sur le boulevard des Laurentides, la cohorte étant escortée par deux policières et fermée par la fanfare de la Musique des cadets de Laval.
Au premier arrêt, au Centre d’implication libre de Laval (CILL), un membre de cet organisme communautaire en santé mentale a fait bouger le monde en animant une activité physique.
Après des visites du côté du CafGraf et L’En-Droit, des groupes d’entraide et de défense de droit en santé mentale, la marche s’est conclue aux locaux de Travail de Rue Île de Laval, dont les 8 intervenants sillonnent le territoire à la rencontre de jeunes de 12 à 21 ans vivant dans la rue.
Carrefour«Je ne vous ai jamais vu aussi nombreux! a déclaré Mathieu Cloutier, coordonnateur de l’événement dans le stationnement de l’Aviron, principale ressource d’hébergement communautaire à Laval. Jeune, vieux, femme, homme, personne n’est à l’abri de l’itinérance. Nous en sommes à une 3e marche. Ce sera une soirée hors du commun.»
«Depuis les années 2000, l’itinérance est de plus en plus visible et augmente sans cesse sur le territoire, d’affirmer Carol Pagé, présidente du Réseau des organismes et intervenants en itinérance de Laval qui organise la Nuit des sans-abri. Avec juste 618 $ dans leurs poches chaque mois, les gens doivent désormais faire un choix: se nourrir ou se loger. C’est d’autant plus difficile dans les grands centres urbains où les loyers sont très chers.»
Avant de partir, les personnes itinérantes ont pu se fournir en vêtements chauds récoltés par le Collège Montmorency et distribués par neuf bénévoles du Carrefour Jeunesse Emploi.
«Nous sommes venues redonner de la chaleur et du cœur à ceux qui en ont beaucoup besoin», ont confié Krystelle Therrien-Richard et Jennifer Asselin, cette dernière faisant partie du comité organisateur de cette soirée spéciale.
«C’est important de sensibiliser la population à la dure réalité de ces personnes et donner la chance aux gens de connaître ces itinérants et intervenants, en pouvant échanger avec eux», d’ajouter Carol Pagé et Mathieu Cloutier.
Après s’être rassemblée à L’Aviron, la foule a d’abord déambulé sur le boulevard des Laurentides, la cohorte étant escortée par deux policières et fermée par la fanfare de la Musique des cadets de Laval.
Au premier arrêt, au Centre d’implication libre de Laval (CILL), un membre de cet organisme communautaire en santé mentale a fait bouger le monde en animant une activité physique.
Après des visites du côté du CafGraf et L’En-Droit, des groupes d’entraide et de défense de droit en santé mentale, la marche s’est conclue aux locaux de Travail de Rue Île de Laval, dont les 8 intervenants sillonnent le territoire à la rencontre de jeunes de 12 à 21 ans vivant dans la rue.