Laval fait ainsi partie des 24 villes élues du Québec par le Festival du film de montagne de Banff, le plus important et prestigieux en son genre, pour la tournée mondiale de sa 22e édition.
Cette année, les spectateurs verront sur grand écran des images spectaculaires de vélo, ski, kayak, d’escalade, alpinisme et plus encore.
Ayant notamment pour objectif de donner le goût de l’aventure et du plein air au public, ces films ne racontent pas que des exploits, mais des récits humains dépassant souvent le sport extrême pratiqué par les protagonistes.
Les Lavallois pourront notamment assister au court métrage My Irnik réalisé par une équipe montréalaise, une occasion rare mettant en vedette la culture inuite du Grand Nord québécois. Ce court-métrage a fait partie des plus appréciés du Festival, en 2017.
Également au menu: une expédition en kiteski au Groenland en quête de la rivière la plus au nord à n’avoir jamais été pagayée; une aventure solo en fatbike au cœur de l’arctique canadien; une ode aux aventurières, souvent sous-représentées dans la cinématographie d’aventure; et un film d’escalade qui redéfinit la notion de persévérance.
Chaque court et moyen métrage, d’une durée de 3 à 50 minutes, est présenté dans sa version originale avec sous-titres français. En moyenne, plus de 20 000 spectateurs accourent chaque année à cette projection unique.
Le Festival du film de montagne de Banff s’arrêtera à la salle André-Mathieu (475, boulevard de l’Avenir), le mercredi 31 janvier, à 19h. Information: www.banffquebec.ca
Après 5 mois de travail et près de 50 essais, arrivera-t-elle à atteindre son objectif? Privée de sa main gauche, Maureen Beck démontre avec style et humour ses talents de grimpeuse sur la voie Days of Future Passed (5.12) au Boulder Canyon, Colorado. ©Photo – Photo gracieuseté – Cedar Wright
À la mémoire du skieur québécois JP Auclair décédé en 2014 dans une avalanche au Chili, un athlète accomplit diverses acrobaties en milieu urbain, glissant sur les rails et sautant sur les toits. Pour tout enfant rêveur assis sur le siège arrière de la voiture familiale qui a déjà rêvé être ailleurs. ©Photo – Photo gracieuseté – Jake Dyson
En Colombie-Britannique, la cycliste de montagne Micayla Gatto transporte le public dans son monde de peintre et d’athlète à travers des œuvres mariant adresse sportive et picturale durant cinq minutes. ©Photo – Photo gracieuseté – Garret Van Swearingen
Laval fait ainsi partie des 24 villes élues du Québec par le Festival du film de montagne de Banff, le plus important et prestigieux en son genre, pour la tournée mondiale de sa 22e édition.
Cette année, les spectateurs verront sur grand écran des images spectaculaires de vélo, ski, kayak, d’escalade, alpinisme et plus encore.
Ayant notamment pour objectif de donner le goût de l’aventure et du plein air au public, ces films ne racontent pas que des exploits, mais des récits humains dépassant souvent le sport extrême pratiqué par les protagonistes.
Les Lavallois pourront notamment assister au court métrage My Irnik réalisé par une équipe montréalaise, une occasion rare mettant en vedette la culture inuite du Grand Nord québécois. Ce court-métrage a fait partie des plus appréciés du Festival, en 2017.
Également au menu: une expédition en kiteski au Groenland en quête de la rivière la plus au nord à n’avoir jamais été pagayée; une aventure solo en fatbike au cœur de l’arctique canadien; une ode aux aventurières, souvent sous-représentées dans la cinématographie d’aventure; et un film d’escalade qui redéfinit la notion de persévérance.
Chaque court et moyen métrage, d’une durée de 3 à 50 minutes, est présenté dans sa version originale avec sous-titres français. En moyenne, plus de 20 000 spectateurs accourent chaque année à cette projection unique.
Le Festival du film de montagne de Banff s’arrêtera à la salle André-Mathieu (475, boulevard de l’Avenir), le mercredi 31 janvier, à 19h. Information: www.banffquebec.ca