Auteur : Stéphane St-Amour | Initiative de journalisme local
GOUVERNANCE.Selon toute vraisemblance, l’ex-PDG de Laval Technopole, Pierre Desroches, devra faire le deuil d’une indemnité de départ estimée à près de 400 000 $.
Le fabricant de maisons en acier Bone Structure et Éco-Nature/Parc de la Rivière-des-Mille-Îles ont été récompensés à 2 reprises lors du grand gala annuel de la Chambre de commerce et d’industrie de Laval, le 26 mars, en présence de plus de 500 personnes.
Les libéraux s’engagent à améliorer l’accessibilité aux soins de santé et à désengorger les urgences des centres hospitaliers par la création de 50 super-cliniques à travers le Québec, dont quelques-unes à Laval.
D’ici la fin 2016, la STL disposera d’une voie réservée en direction nord sur le boulevard Le Corbusier, entre Dagenais et l’autoroute 440.
Directrice générale de Centropolis, Hélène Veilleux sera honorée ce mercredi, 26 mars, lors de la Grande soirée de l’Immobilier commercial au Hyatt Regency de Montréal.
À compter du 1er mai, les aînés lavallois prendront gratuitement l’autobus sur le territoire lavallois.
Trop à l’étroit dans son usine de Place Martenot, Enseignes Montréal Néon investit 10 M$ dans la construction d’un nouveau bâtiment, dont la mise en chantier est prévue le mois prochain, en bordure de l’autoroute 440 ouest. Selon l’échéancier, l’entreprise devrait en prendre possession à l’automne 2014. Cet investissement inclut l’acquisition d’équipements de fabrication et de systèmes logistiques, qui permettra d’accroître la capacité de production et de réduire les délais de livraison et d’installation. Le fabricant lavallois d’enseignes commerciales, dont les effectifs se chiffrent à 65 employés, prévoit créer une trentaine de postes sur un horizon de cinq ans. (S.ST-A.)
L’élimination graduelle de la taxe santé sur une période de quatre ans et l’annulation immédiate de la hausse des tarifs en CPE, annoncée pour le 1er janvier 2015, voilà ce que promettent les libéraux, s’ils prennent le pouvoir le 7 avril prochain.
L’Association péquiste de Vimont s’est rangé derrière le candidat Jean Poirier, l’ex-leader syndical que poussait le bureau national du Parti québécois.
Une ancienne carrière en milieu agricole, convertie dans les années 1990 en dépotoir, pourrait retourner un jour à l’agriculture.