Améliorer la qualité de vie des citoyens en recourant à l’innovation, aux données numériques et technologies connectées, voilà le défi que devront relever la vingtaine de Municipalités canadiennes dont le dossier de candidature aura été retenu par un jury présidé par Mark Romoff, président et chef de la direction du Conseil canadien pour les partenariats public-privé.
Composé d’une douzaine de professionnels oeuvrant dans des secteurs d’activité liés au concept de ville intelligente, ce comité de sélection fera connaître les finalistes au cours de l’été. Les heureux élus se verront alors remettre une subvention de 250 000 $ pour élaborer leur proposition respective.
Centre-ville
Préparé en collégialité avec la Société de transport de Laval (STL), le dossier de candidature de la Ville tourne autour de l’aménagement d’un «centre-ville animé, attrayant et inclusif où il fera bon vivre, s’épanouir, travailler, étudier, échanger et se divertir grâce à des déplacements efficaces, adaptés et conviviaux, facilités par des solutions mobiles intelligentes et durables».
Conseiller municipal responsable du dossier de la ville intelligente, Stéphane Boyer est d’avis que «le jury pourra constater, en parcourant notre proposition, que nos objectifs sont ambitieux, mais réalisables».
«Les résultats visés reflètent les enjeux prioritaires que les citoyens ont identifiés lors de la grande démarche de consultation Repensons Laval, débutée en 2014.»
Parmi les moyens à mettre en place pour y parvenir, une application mobile permettrait «de trouver facilement les offres de divertissement, restaurants et bars au centre-ville et de donner un accès facile aux moyens de s’y déplacer de manière efficace», précise-t-on.
Parallèlement à l’élaboration du dossier de candidature, un coup de sonde a permis de valider auprès des Lavallois les principales fonctions dont ils souhaiteraient voir la mise en oeuvre.
Il faut savoir que le centre-ville de Laval est morcelé par plusieurs barrières physiques, routières et autoroutières, ce qui ajoute au défi.
Pour mettre le tout en perspective, l’aire TOD [transit oriented development] Montmorency n’occupe que 7 % de la superficie délimitant le centre-ville, lequel déborde largement le quadrilatère restreint par l’autoroute des Laurentides et les boulevards de la Concorde, de l’Avenir et du Souvenir.
Si Laval rejoint les finalistes, elle pourrait espérer mettre la main sur l’un des deux prix d’au plus 10 M$ chacun ouverts à toutes les collectivités dont la population est inférieure à 500 000 habitants.
Améliorer la qualité de vie des citoyens en recourant à l’innovation, aux données numériques et technologies connectées, voilà le défi que devront relever la vingtaine de Municipalités canadiennes dont le dossier de candidature aura été retenu par un jury présidé par Mark Romoff, président et chef de la direction du Conseil canadien pour les partenariats public-privé.
Composé d’une douzaine de professionnels oeuvrant dans des secteurs d’activité liés au concept de ville intelligente, ce comité de sélection fera connaître les finalistes au cours de l’été. Les heureux élus se verront alors remettre une subvention de 250 000 $ pour élaborer leur proposition respective.
Centre-ville
Préparé en collégialité avec la Société de transport de Laval (STL), le dossier de candidature de la Ville tourne autour de l’aménagement d’un «centre-ville animé, attrayant et inclusif où il fera bon vivre, s’épanouir, travailler, étudier, échanger et se divertir grâce à des déplacements efficaces, adaptés et conviviaux, facilités par des solutions mobiles intelligentes et durables».
Conseiller municipal responsable du dossier de la ville intelligente, Stéphane Boyer est d’avis que «le jury pourra constater, en parcourant notre proposition, que nos objectifs sont ambitieux, mais réalisables».
«Les résultats visés reflètent les enjeux prioritaires que les citoyens ont identifiés lors de la grande démarche de consultation Repensons Laval, débutée en 2014.»
Parmi les moyens à mettre en place pour y parvenir, une application mobile permettrait «de trouver facilement les offres de divertissement, restaurants et bars au centre-ville et de donner un accès facile aux moyens de s’y déplacer de manière efficace», précise-t-on.
Parallèlement à l’élaboration du dossier de candidature, un coup de sonde a permis de valider auprès des Lavallois les principales fonctions dont ils souhaiteraient voir la mise en oeuvre.
Il faut savoir que le centre-ville de Laval est morcelé par plusieurs barrières physiques, routières et autoroutières, ce qui ajoute au défi.
Pour mettre le tout en perspective, l’aire TOD [transit oriented development] Montmorency n’occupe que 7 % de la superficie délimitant le centre-ville, lequel déborde largement le quadrilatère restreint par l’autoroute des Laurentides et les boulevards de la Concorde, de l’Avenir et du Souvenir.
Si Laval rejoint les finalistes, elle pourrait espérer mettre la main sur l’un des deux prix d’au plus 10 M$ chacun ouverts à toutes les collectivités dont la population est inférieure à 500 000 habitants.