Au terme du processus, l’objectif est de produire et mettre en œuvre un ambitieux plan d’action inscrivant la culture comme pilier fondamental pour le développement durable du territoire lavallois.
«La culture est une dimension essentielle que nous souhaitons valoriser et soutenir», a mentionné le maire Marc Demers, maire de Laval.
Pour sa part, le chef de l’Opposition officielle Jean-Claude Gobé croit que le maire Demers «s’assurera que les recommandations d’investissements à faire le soient dans des installations de grande taille, dans le centre-ville, plutôt que des équipements culturels de qualité dans les quartiers».
Sommet et consultation
«Notre volonté est de favoriser la concertation et mobiliser l’ensemble des acteurs autour d’une vision et d’une feuille de route communes, avec un plan d’action inspirant et mobilisateur pour tous», d’expliquer plutôt Marianne Coineau, directrice du Conseil régional de la culture de Laval.
Le samedi 10 juin se tiendra d’ailleurs le premier Sommet de la culture de Laval, où tout acteur interpellé par la culture – qu’il soit organisme, entreprise, institution, artiste, partenaire, travailleur culturel ou citoyen – pourra contribuer activement à l’élaboration du plan d’action.
Les réservations sont obligatoires et peuvent se faire via le www.repensons.laval.ca.
Les citoyens sont également invités à contribuer à la réflexion tout au long du mois de mai grâce à une consultation ancrée dans leurs quartiers et milieux de vie. Ils pourront ainsi faire connaître leur opinion par l’entremise de plus d’une trentaine de boîtes de consultation qui seront déposées dans différents lieux publics (bibliothèques, lieux de diffusion culturels, hôtel de ville).
Il leur est aussi possible de contribuer au processus toujours via le site Web repensons Laval.
Jean-Claude Gobé se dit peu surpris de cette nouvelle démarche de consultation. «Le maire Demers est un expert pour appuyer l’industrie de la consultation, du placotage et du recensement de lieux communs, a-t-il affirmé. On ne compte plus les « rapports » commandés par cette administration.»
Au terme du processus, l’objectif est de produire et mettre en œuvre un ambitieux plan d’action inscrivant la culture comme pilier fondamental pour le développement durable du territoire lavallois.
«La culture est une dimension essentielle que nous souhaitons valoriser et soutenir», a mentionné le maire Marc Demers, maire de Laval.
Pour sa part, le chef de l’Opposition officielle Jean-Claude Gobé croit que le maire Demers «s’assurera que les recommandations d’investissements à faire le soient dans des installations de grande taille, dans le centre-ville, plutôt que des équipements culturels de qualité dans les quartiers».
Sommet et consultation
«Notre volonté est de favoriser la concertation et mobiliser l’ensemble des acteurs autour d’une vision et d’une feuille de route communes, avec un plan d’action inspirant et mobilisateur pour tous», d’expliquer plutôt Marianne Coineau, directrice du Conseil régional de la culture de Laval.
Le samedi 10 juin se tiendra d’ailleurs le premier Sommet de la culture de Laval, où tout acteur interpellé par la culture – qu’il soit organisme, entreprise, institution, artiste, partenaire, travailleur culturel ou citoyen – pourra contribuer activement à l’élaboration du plan d’action.
Les réservations sont obligatoires et peuvent se faire via le www.repensons.laval.ca.
Les citoyens sont également invités à contribuer à la réflexion tout au long du mois de mai grâce à une consultation ancrée dans leurs quartiers et milieux de vie. Ils pourront ainsi faire connaître leur opinion par l’entremise de plus d’une trentaine de boîtes de consultation qui seront déposées dans différents lieux publics (bibliothèques, lieux de diffusion culturels, hôtel de ville).
Il leur est aussi possible de contribuer au processus toujours via le site Web repensons Laval.
Jean-Claude Gobé se dit peu surpris de cette nouvelle démarche de consultation. «Le maire Demers est un expert pour appuyer l’industrie de la consultation, du placotage et du recensement de lieux communs, a-t-il affirmé. On ne compte plus les « rapports » commandés par cette administration.»