Dans un communiqué publié le 20 septembre, il reprend des données annuelles tirées de l’Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada selon lesquelles Laval aurait perdu 11 200 emplois dans le secteur de la production de biens entre 2015 et 2016.
Une diminution de plus d’un emploi sur quatre (28 %) en un an, souligne-t-il. «Marc Demers a été incapable de stimuler les investissements privés et de faire cesser l’exode des entreprises lavalloises vers la rive-nord.»
Toutefois, faut-il préciser, la même enquête a recensé un gain de 14 300 postes dans le secteur des services, dont le niveau d’emploi a crû de 8,5 % en 2016.
Investissements privés
Puis, évoquant cette fois un rapport du ministère québécois de l’Économie, M. Gobé déplore que l’investissement privé a chuté en moyenne de 9 % par année entre 2012 et 2016 sur l’ensemble du territoire lavallois.
Pour la même période, le recul annuel moyen observé à l’échelle du Québec est deux fois moindre, se chiffrant à 4,3 %.
«Les entrepreneurs avec lesquels nous avons eu des conversations nous le disent sans retenue: la lourdeur administrative à la Ville est devenue insupportable et asphyxiera la croissance économique de Laval si aucun changement n’est opéré», termine Jean-Claude Gobé.
Le rapport publié sur le site du ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation précise cependant «que l’essentiel du recul a eu lieu en 2013», année notamment marquée par l’arrestation et la mise en accusation de l’ex-maire Gilles Vaillancourt, les révélations troublantes à la commission Charbonneau et la mise sous tutelle de la Ville de Laval.
«En 2015, l’investissement privé a fléchi de 1,9 % à Laval pour atteindre 499,1 M$», peut-on également lire, alors que «les perspectives pour 2016 [indiquaient] une poursuite du recul de l’investissement privé».
Dans un communiqué publié le 20 septembre, il reprend des données annuelles tirées de l’Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada selon lesquelles Laval aurait perdu 11 200 emplois dans le secteur de la production de biens entre 2015 et 2016.
Une diminution de plus d’un emploi sur quatre (28 %) en un an, souligne-t-il. «Marc Demers a été incapable de stimuler les investissements privés et de faire cesser l’exode des entreprises lavalloises vers la rive-nord.»
Toutefois, faut-il préciser, la même enquête a recensé un gain de 14 300 postes dans le secteur des services, dont le niveau d’emploi a crû de 8,5 % en 2016.
Investissements privés
Puis, évoquant cette fois un rapport du ministère québécois de l’Économie, M. Gobé déplore que l’investissement privé a chuté en moyenne de 9 % par année entre 2012 et 2016 sur l’ensemble du territoire lavallois.
Pour la même période, le recul annuel moyen observé à l’échelle du Québec est deux fois moindre, se chiffrant à 4,3 %.
«Les entrepreneurs avec lesquels nous avons eu des conversations nous le disent sans retenue: la lourdeur administrative à la Ville est devenue insupportable et asphyxiera la croissance économique de Laval si aucun changement n’est opéré», termine Jean-Claude Gobé.
Le rapport publié sur le site du ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation précise cependant «que l’essentiel du recul a eu lieu en 2013», année notamment marquée par l’arrestation et la mise en accusation de l’ex-maire Gilles Vaillancourt, les révélations troublantes à la commission Charbonneau et la mise sous tutelle de la Ville de Laval.
«En 2015, l’investissement privé a fléchi de 1,9 % à Laval pour atteindre 499,1 M$», peut-on également lire, alors que «les perspectives pour 2016 [indiquaient] une poursuite du recul de l’investissement privé».