«On ne le répétera jamais assez, mais la matière se trouvant dans les pots de fleurs s’assèche rapidement et devient facilement inflammable, de prévenir Michel Saint-Jean, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Laval. On voit souvent de tels événements l’été. Cette fois, c’était une boîte située près de la cage d’escalier.»
Arrivée à 2h32 devant cet ensemble immobilier enclavé entre les boulevards Le Carrefour, Daniel-Johnson et l’autoroute 15, soit 4 minutes après l’appel au 911, la vingtaine de pompiers requise par l’intervention a été guidée par un résident vers le lieu d’origine du feu alors que beaucoup de fumée se dégageait du rez-de-chaussée. Dix minutes plus tard, le contrôle était donné.
Évacués pour des raisons évidentes de sécurité, les 200 résidents n’ont pu retrouver la quiétude de leur foyer qu’une fois la fumée chassée du bâtiment.
Les dommages subis par le revêtement entourant la cage d’escalier sont évalués à une quinzaine de milliers de dollars.
«On ne le répétera jamais assez, mais la matière se trouvant dans les pots de fleurs s’assèche rapidement et devient facilement inflammable, de prévenir Michel Saint-Jean, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Laval. On voit souvent de tels événements l’été. Cette fois, c’était une boîte située près de la cage d’escalier.»
Arrivée à 2h32 devant cet ensemble immobilier enclavé entre les boulevards Le Carrefour, Daniel-Johnson et l’autoroute 15, soit 4 minutes après l’appel au 911, la vingtaine de pompiers requise par l’intervention a été guidée par un résident vers le lieu d’origine du feu alors que beaucoup de fumée se dégageait du rez-de-chaussée. Dix minutes plus tard, le contrôle était donné.
Évacués pour des raisons évidentes de sécurité, les 200 résidents n’ont pu retrouver la quiétude de leur foyer qu’une fois la fumée chassée du bâtiment.
Les dommages subis par le revêtement entourant la cage d’escalier sont évalués à une quinzaine de milliers de dollars.