L’auteure de Sainte-Dorothée a désiré s’adresser à tout le monde, tout en ciblant particulièrement un public féminin par cette histoire d’amour et amitié moderne sur fond de campagne électorale et d’engagement envers la communauté.
Son héroïne, Judith Carignan, est une mère divorcée, jonglant avec ses deux adolescents et ses retrouvailles avec un ancien camarade du secondaire, alors qu’elle fait le saut en politique municipale.
«Ce n’est surtout pas un essai, bien que je m’y oppose au cynisme ambiant entourant cet univers dont l’actualité est souvent négative», d’affirmer Josée Desbiens, qui garde en mémoire ses années au sein du Rassemblement des citoyens de Montréal (RCM) qui avait fait élire, pour la première fois, 15 femmes, leur accordant des postes névralgiques dans l’administration de la métropole.
«À force de malmener le métier de politicien et politicienne, on se retrouve avec des gens qu’on ne veut pas là! poursuit la mère de trois enfants. J’ai aussi voulu parler de la conciliation travail-famille, des droits des conjoints de fait et du retour des femmes sur le marché du travail après la maternité.»
Ayant commencé l’écriture en 2010, Josée Desbiens a pris le temps de bien fignoler son histoire avant d’envoyer son manuscrit à une dizaine de maisons d’édition pour finalement choisir le service de publication BouquinBec, où il est possible de commander en ligne le titre de son choix.
«C’est un rêve de retraite que je réalise avec la parution de ce roman!» de conclure l’écrivaine lavalloise.
L’auteure de Sainte-Dorothée a désiré s’adresser à tout le monde, tout en ciblant particulièrement un public féminin par cette histoire d’amour et amitié moderne sur fond de campagne électorale et d’engagement envers la communauté.
Son héroïne, Judith Carignan, est une mère divorcée, jonglant avec ses deux adolescents et ses retrouvailles avec un ancien camarade du secondaire, alors qu’elle fait le saut en politique municipale.
«Ce n’est surtout pas un essai, bien que je m’y oppose au cynisme ambiant entourant cet univers dont l’actualité est souvent négative», d’affirmer Josée Desbiens, qui garde en mémoire ses années au sein du Rassemblement des citoyens de Montréal (RCM) qui avait fait élire, pour la première fois, 15 femmes, leur accordant des postes névralgiques dans l’administration de la métropole.
«À force de malmener le métier de politicien et politicienne, on se retrouve avec des gens qu’on ne veut pas là! poursuit la mère de trois enfants. J’ai aussi voulu parler de la conciliation travail-famille, des droits des conjoints de fait et du retour des femmes sur le marché du travail après la maternité.»
Ayant commencé l’écriture en 2010, Josée Desbiens a pris le temps de bien fignoler son histoire avant d’envoyer son manuscrit à une dizaine de maisons d’édition pour finalement choisir le service de publication BouquinBec, où il est possible de commander en ligne le titre de son choix.
«C’est un rêve de retraite que je réalise avec la parution de ce roman!» de conclure l’écrivaine lavalloise.