Un an plus tard, l’auteur-compositeur-interprète sherbrookois lançait les 10 titres de son quatrième album, Les temps sauvages, réalisé en compagnie de Guido Del Fabbro (Pierre Lapointe, Groenland) qui a amené son sens théâtral, lui qui a signé plusieurs trames sonores au cinéma.
«Je voulais un son plus planant, se rapprochant de la musique que j’écoute, Leonard Cohen, Nick Cave, Ray Lamontagne, de confier Alexandre Poulin qui a aussi gardé son bon complice Mathieu Perreault à ses côtés. Ça demeure très organique, une suite logique de mes albums précédents, sans fracture.»
Des cordes et cuivres soutiennent la facture folk et texturée propre à l’artiste.
Urgence de parler
Ayant toujours été perplexe face au thème amoureux, Alexandre Poulin lui a aménagé plus de place sur son dernier opus, notamment sur Nos cœurs qui battent et Les amours satellites, entre des pièces imprégnées de son inquiétude face à la montée du terrorisme, notamment sur Le temps qu’on tremble.
«Dans les chansons d’amour, on entend trop souvent les débuts ou la rupture, sans jamais parler de la vie de couple, de la volonté de se battre pour ce qu’on construit à deux, souligne le chanteur. J’y vais aussi de ma vision du monde qui va trop vite, des réseaux sociaux qui nous bouffent trop de temps, de l’envie de liberté et de ralentir, pendant que le monde explose autour de nous et me bouleverse. Il y a une prise de conscience: faut que ça arrête un moment donné!»
Comme à son habitude, le musicien se fait très personnel à travers des histoires et sa poésie du quotidien.
Sur scène
Depuis 10 ans, Alexandre Poulin a développé son style à lui en spectacle. En bon conteur, il parle presqu’autant qu’il chante, enchaînant les monologues, que ce soit pour expliquer la genèse d’un morceau ou le simple plaisir de l’anecdote.
Pour cette tournée, il s’est entouré de deux multi-instrumentistes afin d’amener son public dans l’univers où il est rendu.
Alexandre Poulin sera en spectacle le mardi 18 avril, à 20h, à la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Information: 450 667-2040.
Un an plus tard, l’auteur-compositeur-interprète sherbrookois lançait les 10 titres de son quatrième album, Les temps sauvages, réalisé en compagnie de Guido Del Fabbro (Pierre Lapointe, Groenland) qui a amené son sens théâtral, lui qui a signé plusieurs trames sonores au cinéma.
«Je voulais un son plus planant, se rapprochant de la musique que j’écoute, Leonard Cohen, Nick Cave, Ray Lamontagne, de confier Alexandre Poulin qui a aussi gardé son bon complice Mathieu Perreault à ses côtés. Ça demeure très organique, une suite logique de mes albums précédents, sans fracture.»
Des cordes et cuivres soutiennent la facture folk et texturée propre à l’artiste.
Urgence de parler
Ayant toujours été perplexe face au thème amoureux, Alexandre Poulin lui a aménagé plus de place sur son dernier opus, notamment sur Nos cœurs qui battent et Les amours satellites, entre des pièces imprégnées de son inquiétude face à la montée du terrorisme, notamment sur Le temps qu’on tremble.
«Dans les chansons d’amour, on entend trop souvent les débuts ou la rupture, sans jamais parler de la vie de couple, de la volonté de se battre pour ce qu’on construit à deux, souligne le chanteur. J’y vais aussi de ma vision du monde qui va trop vite, des réseaux sociaux qui nous bouffent trop de temps, de l’envie de liberté et de ralentir, pendant que le monde explose autour de nous et me bouleverse. Il y a une prise de conscience: faut que ça arrête un moment donné!»
Comme à son habitude, le musicien se fait très personnel à travers des histoires et sa poésie du quotidien.
Sur scène
Depuis 10 ans, Alexandre Poulin a développé son style à lui en spectacle. En bon conteur, il parle presqu’autant qu’il chante, enchaînant les monologues, que ce soit pour expliquer la genèse d’un morceau ou le simple plaisir de l’anecdote.
Pour cette tournée, il s’est entouré de deux multi-instrumentistes afin d’amener son public dans l’univers où il est rendu.
Alexandre Poulin sera en spectacle le mardi 18 avril, à 20h, à la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Information: 450 667-2040.