L’organisme lavallois était le seul conseil régional de la culture à ne recevoir aucun financement de la part du ministère de la Culture et des Communications (MCC) dans la province.
«Nous allons mettre fin à cette injustice, a marqué le ministre Luc Fortin, reconnaissant le sous-financement historique de la région, le 9 juin, devant une trentaine d’intervenants du milieu rassemblés dans le foyer de la salle André-Mathieu. Les Lavallois ne sont pas des citoyens de seconde classe et ont droit à des services culturels de qualité.»
«Nous savons que vos demandes remontent à 2014, de continuer Francine Charbonneau, ministre responsable de la région de Laval. Vous avez, aujourd’hui, un début d’espoir. Pour faire émerger la créativité, ça prend aussi cette essence qu’est l’argent.»
Souhait réalisé
Le 29 mai, une quarantaine de professionnels du secteur culturel lavallois s’étaient donné rendez-vous au Centre arménien pour l’assemblée générale annuelle du CRCL venant de fêter ses deux ans d’existence.
Inquiets, ceux-ci avaient notamment voté une motion demandant l’appui, défaillant jusqu’à aujourd’hui, du MCC.
«Ça fait longtemps qu’on voulait un Conseil régional à Laval, a lancé la présidente du CRCL, Sylvie Lessard, encore sous le choc de la somme obtenue. C’est un véhicule essentiel pour doter Laval d’une signature identitaire en Culture. Cette aide financière pose des assises solides pour notre organisation et permettra une vision à long terme.»
Mme Lessard n’a pas manqué de saluer le travail de l’équipe du CRCL menée par Marianne Coineau, sa directrice générale.
L’annonce tombait à point, étant faite la veille du Sommet de la culture où sera dévoilé le diagnostic culturel dressé par le Conseil.
«Pour dessiner ensemble l’avenir culturel de Laval, pour identifier les actions à entreprendre ces prochaines années et, finalement, nous donner une feuille de route commune, il était primordial de recenser au préalable les ressources du territoire et, surtout, de documenter l’état de situation, avait d’ailleurs tenu à mentionner Marianne Coineau, lors de l’assemblée du 29 mai. Jusqu’à présent, le secteur culturel ne disposait pas d’un tel diagnostic.»
L’organisme lavallois était le seul conseil régional de la culture à ne recevoir aucun financement de la part du ministère de la Culture et des Communications (MCC) dans la province.
«Nous allons mettre fin à cette injustice, a marqué le ministre Luc Fortin, reconnaissant le sous-financement historique de la région, le 9 juin, devant une trentaine d’intervenants du milieu rassemblés dans le foyer de la salle André-Mathieu. Les Lavallois ne sont pas des citoyens de seconde classe et ont droit à des services culturels de qualité.»
«Nous savons que vos demandes remontent à 2014, de continuer Francine Charbonneau, ministre responsable de la région de Laval. Vous avez, aujourd’hui, un début d’espoir. Pour faire émerger la créativité, ça prend aussi cette essence qu’est l’argent.»
Souhait réalisé
Le 29 mai, une quarantaine de professionnels du secteur culturel lavallois s’étaient donné rendez-vous au Centre arménien pour l’assemblée générale annuelle du CRCL venant de fêter ses deux ans d’existence.
Inquiets, ceux-ci avaient notamment voté une motion demandant l’appui, défaillant jusqu’à aujourd’hui, du MCC.
«Ça fait longtemps qu’on voulait un Conseil régional à Laval, a lancé la présidente du CRCL, Sylvie Lessard, encore sous le choc de la somme obtenue. C’est un véhicule essentiel pour doter Laval d’une signature identitaire en Culture. Cette aide financière pose des assises solides pour notre organisation et permettra une vision à long terme.»
Mme Lessard n’a pas manqué de saluer le travail de l’équipe du CRCL menée par Marianne Coineau, sa directrice générale.
L’annonce tombait à point, étant faite la veille du Sommet de la culture où sera dévoilé le diagnostic culturel dressé par le Conseil.
«Pour dessiner ensemble l’avenir culturel de Laval, pour identifier les actions à entreprendre ces prochaines années et, finalement, nous donner une feuille de route commune, il était primordial de recenser au préalable les ressources du territoire et, surtout, de documenter l’état de situation, avait d’ailleurs tenu à mentionner Marianne Coineau, lors de l’assemblée du 29 mai. Jusqu’à présent, le secteur culturel ne disposait pas d’un tel diagnostic.»