La Commission scolaire de Laval (CSDL) a réagi en retirant l’enseignante de l’école du boulevard Sainte-Rose Est après avoir été informée des incidents, le 27 mars.
«Ce sont des propos inacceptables, souligne le directeur des communications de la CSDL, Jean-Pierre Archambault. Nous avons réagi rapidement en la retirant de l’école. Elle n’a plus de contact avec les élèves.»
M. Archambault a affirmé qu’un processus d’enquête avait été déclenché pour en connaître davantage. Celui-ci devait être complété dans les prochains jours. «Nous allons prendre le temps qu’il faut pour enquêter», ajoute-t-il.
Le porte-parole assure que les élèves ont eu un suivi de la part de l’équipe-école pour minimiser les répercussions.
Cri d’alarme
La professeure a indiqué dans son commentaire que l’inclusion scolaire ne fonctionnait pas. Elle s’en prend aux élèves handicapés et en difficulté d’adaptation et d’apprentissage (EHDAA) qui n’ont pas leur place dans des classes dites régulières, disait-elle.
«Les bons élèves (vous êtes mieux de les envoyer au privé) sont mis de côté au profit des ostis de HDAA, des cancres et des troubles de ci ou ça, écrivait l’enseignante dans un commentaire qui a été envoyé de la part d’une lectrice via message privé d’une capture d’écran des propos dans la boîte courriel de la page Facebook du Courrier Laval. Pour sauver de l’argent on nous « garroche » sans aide ces poqués dans nos classes au nom de l’inclusion, faut qu’ils se sentent inclus dans la société ces pauv ti!»
Elle en rajoute: «Mettez-moi ces inutilités sociales ensemble, qu’ils se nuisent entre eux et laissez l’avenir de la société avancer.»
La professeure mentionne que sa classe ne comptait qu’une dizaine d’élèves «normaux» sur 30. «Les 20 autres problématiques vont faire quoi plus tard? Des B.S. inutiles», termine-t-elle.
Pour sa part, Sylvain Leblanc, responsable des communications du Syndicat de l’enseignement de la région de Laval (SERL), a indiqué qu’il n’émettra aucun commentaire, attendant le résultat de l’enquête. «Nous serons là pour défendre les droits de l’employée.»
La Commission scolaire de Laval (CSDL) a réagi en retirant l’enseignante de l’école du boulevard Sainte-Rose Est après avoir été informée des incidents, le 27 mars.
«Ce sont des propos inacceptables, souligne le directeur des communications de la CSDL, Jean-Pierre Archambault. Nous avons réagi rapidement en la retirant de l’école. Elle n’a plus de contact avec les élèves.»
M. Archambault a affirmé qu’un processus d’enquête avait été déclenché pour en connaître davantage. Celui-ci devait être complété dans les prochains jours. «Nous allons prendre le temps qu’il faut pour enquêter», ajoute-t-il.
Le porte-parole assure que les élèves ont eu un suivi de la part de l’équipe-école pour minimiser les répercussions.
Cri d’alarme
La professeure a indiqué dans son commentaire que l’inclusion scolaire ne fonctionnait pas. Elle s’en prend aux élèves handicapés et en difficulté d’adaptation et d’apprentissage (EHDAA) qui n’ont pas leur place dans des classes dites régulières, disait-elle.
«Les bons élèves (vous êtes mieux de les envoyer au privé) sont mis de côté au profit des ostis de HDAA, des cancres et des troubles de ci ou ça, écrivait l’enseignante dans un commentaire qui a été envoyé de la part d’une lectrice via message privé d’une capture d’écran des propos dans la boîte courriel de la page Facebook du Courrier Laval. Pour sauver de l’argent on nous « garroche » sans aide ces poqués dans nos classes au nom de l’inclusion, faut qu’ils se sentent inclus dans la société ces pauv ti!»
Elle en rajoute: «Mettez-moi ces inutilités sociales ensemble, qu’ils se nuisent entre eux et laissez l’avenir de la société avancer.»
La professeure mentionne que sa classe ne comptait qu’une dizaine d’élèves «normaux» sur 30. «Les 20 autres problématiques vont faire quoi plus tard? Des B.S. inutiles», termine-t-elle.
Pour sa part, Sylvain Leblanc, responsable des communications du Syndicat de l’enseignement de la région de Laval (SERL), a indiqué qu’il n’émettra aucun commentaire, attendant le résultat de l’enquête. «Nous serons là pour défendre les droits de l’employée.»