Il réagissait ainsi à une sortie publique de la conseillère municipale de Chomedey qui, deux jours plus tôt, affirmait que certaines rues ni déneigées ni déglacées depuis plus d’un mois mettaient «la vie des citoyens en danger».
Sécurité non menacée
«La sécurité des citoyens n’est nullement menacée par les pratiques de déneigement de la Ville», insiste M. Demers.
Quant aux allégations de Mme Revelakis selon lesquelles des camions de pompiers avaient été incapables de se rendre sur un appel, le 7 février, tellement l’avenue Parkview était enneigée, elles ont été démenties par le directeur du Service de sécurité incendie, René Daigneault.
«Je vous confirme que les autopompes et les camions-échelle ont toujours été en mesure de circuler dans les rues, permettant aux pompiers d’effectuer leur travail selon les règles de l’art.»
S’il est vrai qu’en hiver l’espace est plus limité dans certains secteurs résidentiels avec des voitures stationnées sur rue, les chauffeurs de véhicules d’urgence ont l’habitude de composer avec ces situations, précise-t-on.
Transvrac pointé du doigt
Réélue sous la bannière du parti Action Laval – Équipe Jean-Claude Gobé, Aglaia Revelakis tient le fournisseur Transvrac Montréal-Laval pour principal responsable des problèmes de déneigement dans les secteurs de St-Martin et Chomedey.
Elle dit être la seule élue à s’être opposée à «ce contrat de 2,2 M$ accordé sans appel d’offres» pour le transport de la neige dans ces deux secteurs.
Citant un rapport interne présenté aux élus le 23 janvier, Mme Revelakis dévoile les récriminations de la Ville à l’endroit de Transvrac à qui on reprocherait un manque de camions et de souffleuses estimé entre 30 et 40 % sur le terrain, un temps de réponse insatisfaisant de même que le non-respect de l’horaire et le fait que plusieurs camions manqueraient à l’appel lors des opérations de déneigement.
«Ces importants manquements de la part de Transvrac ont obligé la Ville de Laval à dépêcher dans les secteurs [voisins] des camions et équipements [affectés] ailleurs: un effet collatéral qui se fait sentir partout à Laval», écrit-elle.
La Ville réplique «qu’elle orchestre de nombreuses opérations en simultané sur l’ensemble du territoire, de concert avec ses fournisseurs afin que le déneigement se déroule efficacement».
Enfin, l’administration Demers signale ne pas être en mesure pour l’instant de commenter les affirmations en lien avec des «informations privilégiées» qui n’auraient pas dû être rendues publiques. Quant à Mme Revelakis, qui aurait manqué à son devoir de réserve, elle n’a pas retourné notre appel.
À lire égalememnt: Manquement à l’éthique? Aglaia Revelakis s’en défend!
Il réagissait ainsi à une sortie publique de la conseillère municipale de Chomedey qui, deux jours plus tôt, affirmait que certaines rues ni déneigées ni déglacées depuis plus d’un mois mettaient «la vie des citoyens en danger».
Sécurité non menacée
«La sécurité des citoyens n’est nullement menacée par les pratiques de déneigement de la Ville», insiste M. Demers.
Quant aux allégations de Mme Revelakis selon lesquelles des camions de pompiers avaient été incapables de se rendre sur un appel, le 7 février, tellement l’avenue Parkview était enneigée, elles ont été démenties par le directeur du Service de sécurité incendie, René Daigneault.
«Je vous confirme que les autopompes et les camions-échelle ont toujours été en mesure de circuler dans les rues, permettant aux pompiers d’effectuer leur travail selon les règles de l’art.»
S’il est vrai qu’en hiver l’espace est plus limité dans certains secteurs résidentiels avec des voitures stationnées sur rue, les chauffeurs de véhicules d’urgence ont l’habitude de composer avec ces situations, précise-t-on.
Transvrac pointé du doigt
Réélue sous la bannière du parti Action Laval – Équipe Jean-Claude Gobé, Aglaia Revelakis tient le fournisseur Transvrac Montréal-Laval pour principal responsable des problèmes de déneigement dans les secteurs de St-Martin et Chomedey.
Elle dit être la seule élue à s’être opposée à «ce contrat de 2,2 M$ accordé sans appel d’offres» pour le transport de la neige dans ces deux secteurs.
Citant un rapport interne présenté aux élus le 23 janvier, Mme Revelakis dévoile les récriminations de la Ville à l’endroit de Transvrac à qui on reprocherait un manque de camions et de souffleuses estimé entre 30 et 40 % sur le terrain, un temps de réponse insatisfaisant de même que le non-respect de l’horaire et le fait que plusieurs camions manqueraient à l’appel lors des opérations de déneigement.
«Ces importants manquements de la part de Transvrac ont obligé la Ville de Laval à dépêcher dans les secteurs [voisins] des camions et équipements [affectés] ailleurs: un effet collatéral qui se fait sentir partout à Laval», écrit-elle.
La Ville réplique «qu’elle orchestre de nombreuses opérations en simultané sur l’ensemble du territoire, de concert avec ses fournisseurs afin que le déneigement se déroule efficacement».
Enfin, l’administration Demers signale ne pas être en mesure pour l’instant de commenter les affirmations en lien avec des «informations privilégiées» qui n’auraient pas dû être rendues publiques. Quant à Mme Revelakis, qui aurait manqué à son devoir de réserve, elle n’a pas retourné notre appel.
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