«C’est ce temps que nous racontaient nos parents, de confier Bernard Reid, metteur en scène de 57 ans. On ressent la tristesse d’un homme qui n’a pas le choix d’aller se battre de l’autre côté après avoir été appelé.»
Orphelin, Tit-Coq tient son surnom de son genre nerveux, drôle et irrespectueux. Croyant depuis toujours qu’il n’a pas droit à l’amour, le héros de Gratien Gélinas croisera un aumônier militaire qui tentera de lui redonner espoir. Toutefois, au retour du front, la Marie-Ange dont il est tombé amoureux s’est mariée sans l’attendre.
«Tit-Coq vit un amour déchu devant cette promesse non tenue, continue Bernard Reid qui a été assisté par Céline Séguin dans sa direction. Cela va l’entraîner plus bas. On n’est pas dans le vaudeville. J’ai demandé aux comédiens de livrer la marchandise au niveau des émotions et du vécu de ces personnages-là. L’équipe est exceptionnelle.»
Pour l’équipe du Théâtre L’Envol, ce drame historique s’avère très révélateur d’une époque qu’il est important de se rappeler et pouvant parler à toutes les générations.
«Chaque jour, des soldats rentrent de mission en Irak, Afghanistan ou ailleurs, souligne M. Reid. Parfois, ils sont aux prises avec des troubles de stress post-traumatique causés par ce qu’ils ont vu sur le terrain. Quelquefois aussi, c’est à eux-mêmes qu’ils font violence. Parce que des âmes tentent encore de se remettre de leurs blessures de guerre, il y a Tit-Coq qui garde toute sa pertinence.»
Rappelons que la pièce Tit-Coq est présentée en théâtrodescription par Connec-T pour favoriser l’accès des malentendants et non-voyants aux arts de la scène.
Le Théâtre L’Envol présente la pièce «Tit-Coq», texte de Gratien Gélinas, mise en scène de Bernard Reid, le 24 mars, à 15h et 20h, ainsi que le 25 mars, à 15h, à la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Information: 450 667-2040 ou http://www.theatrelenvol.ca.
«C’est ce temps que nous racontaient nos parents, de confier Bernard Reid, metteur en scène de 57 ans. On ressent la tristesse d’un homme qui n’a pas le choix d’aller se battre de l’autre côté après avoir été appelé.»
Orphelin, Tit-Coq tient son surnom de son genre nerveux, drôle et irrespectueux. Croyant depuis toujours qu’il n’a pas droit à l’amour, le héros de Gratien Gélinas croisera un aumônier militaire qui tentera de lui redonner espoir. Toutefois, au retour du front, la Marie-Ange dont il est tombé amoureux s’est mariée sans l’attendre.
«Tit-Coq vit un amour déchu devant cette promesse non tenue, continue Bernard Reid qui a été assisté par Céline Séguin dans sa direction. Cela va l’entraîner plus bas. On n’est pas dans le vaudeville. J’ai demandé aux comédiens de livrer la marchandise au niveau des émotions et du vécu de ces personnages-là. L’équipe est exceptionnelle.»
Pour l’équipe du Théâtre L’Envol, ce drame historique s’avère très révélateur d’une époque qu’il est important de se rappeler et pouvant parler à toutes les générations.
«Chaque jour, des soldats rentrent de mission en Irak, Afghanistan ou ailleurs, souligne M. Reid. Parfois, ils sont aux prises avec des troubles de stress post-traumatique causés par ce qu’ils ont vu sur le terrain. Quelquefois aussi, c’est à eux-mêmes qu’ils font violence. Parce que des âmes tentent encore de se remettre de leurs blessures de guerre, il y a Tit-Coq qui garde toute sa pertinence.»
Rappelons que la pièce Tit-Coq est présentée en théâtrodescription par Connec-T pour favoriser l’accès des malentendants et non-voyants aux arts de la scène.
Le Théâtre L’Envol présente la pièce «Tit-Coq», texte de Gratien Gélinas, mise en scène de Bernard Reid, le 24 mars, à 15h et 20h, ainsi que le 25 mars, à 15h, à la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Information: 450 667-2040 ou http://www.theatrelenvol.ca.