«On nous dit vouloir travailler davantage en prévention, ce qui est un bon signe, bien qu’il reste à voir si ces bonnes intentions se traduiront en actions concrètes, d’affirmer Caroline L. Simoneau, la responsable politique APTS pour la région. Réorganisations, fusions et compressions ont fait beaucoup de tort dans les rangs de notre personnel au cours des dernières années. Aujourd’hui, nous avons en main une analyse qui nous permet de réparer un peu les dégâts.»
Nouvelles données
Les nouveaux résultats de l’enquête menée en novembre 2016 révèlent, entre autres, que 67,1 % des travailleurs lavallois en santé disposent d’une faible marge de manoeuvre par rapport à leur travail, perçu par 76,3 % d’entre eux comme psychologiquement exigeant. Or, la combinaison des résultats pour ces deux facteurs engendre un état de stress, que confirment d’ailleurs près de 52 % des répondants, associés à des risques de tension psychologique et de maladie.
«Nous avons notamment remarqué une forte hausse de la prise de médication reliée à la santé mentale chez nos gens», de préciser Mme L. Simoneau.
Autres données éclairantes: 26 % des membres du personnel professionnel et technique estiment obtenir peu de soutien de la part de leur supérieur et 33,8% ne reçoivent qu’une faible reconnaissance. On observe donc un déséquilibre chez 90 % d’entre eux entre la reconnaissance exprimée et le niveau d’effort déployé.
Rappelons que cette étude a été réalisée avec le soutien méthodologique de chercheurs membres du groupe de Recherches sur les interrelations personnelles, organisationnelles et sociales du travail de l’Université Laval. Près de 7000 membres de l’APTS y ont répondu, dont plus de 300 de la région.
«Donner plus de latitude décisionnelle à nos membres, dont beaucoup sont régis par des obligations déontologiques, respecter leur autonomie professionnelle, leur offrir du soutien et reconnaître pleinement la valeur de leur travail auprès de la population constituent des orientations porteuses de grandes améliorations», de conclure Caroline L. Simoneau.
«On nous dit vouloir travailler davantage en prévention, ce qui est un bon signe, bien qu’il reste à voir si ces bonnes intentions se traduiront en actions concrètes, d’affirmer Caroline L. Simoneau, la responsable politique APTS pour la région. Réorganisations, fusions et compressions ont fait beaucoup de tort dans les rangs de notre personnel au cours des dernières années. Aujourd’hui, nous avons en main une analyse qui nous permet de réparer un peu les dégâts.»
Nouvelles données
Les nouveaux résultats de l’enquête menée en novembre 2016 révèlent, entre autres, que 67,1 % des travailleurs lavallois en santé disposent d’une faible marge de manoeuvre par rapport à leur travail, perçu par 76,3 % d’entre eux comme psychologiquement exigeant. Or, la combinaison des résultats pour ces deux facteurs engendre un état de stress, que confirment d’ailleurs près de 52 % des répondants, associés à des risques de tension psychologique et de maladie.
«Nous avons notamment remarqué une forte hausse de la prise de médication reliée à la santé mentale chez nos gens», de préciser Mme L. Simoneau.
Autres données éclairantes: 26 % des membres du personnel professionnel et technique estiment obtenir peu de soutien de la part de leur supérieur et 33,8% ne reçoivent qu’une faible reconnaissance. On observe donc un déséquilibre chez 90 % d’entre eux entre la reconnaissance exprimée et le niveau d’effort déployé.
Rappelons que cette étude a été réalisée avec le soutien méthodologique de chercheurs membres du groupe de Recherches sur les interrelations personnelles, organisationnelles et sociales du travail de l’Université Laval. Près de 7000 membres de l’APTS y ont répondu, dont plus de 300 de la région.
«Donner plus de latitude décisionnelle à nos membres, dont beaucoup sont régis par des obligations déontologiques, respecter leur autonomie professionnelle, leur offrir du soutien et reconnaître pleinement la valeur de leur travail auprès de la population constituent des orientations porteuses de grandes améliorations», de conclure Caroline L. Simoneau.