L’annonce a été faite le 20 novembre par la députée de Fabre, Monique Sauvé. Les dollars proviennent de la Stratégie d’action jeunesse 2016-2021.
L’organisme de Chomedey, dédié à l’animation du milieu de vie d’aînés depuis 45 ans, est à plancher sur la première phase, qui consistera à recruter les participants, en plus de former les jeunes afin de les outiller en vue des rencontres et activités futures.
«On vise les aînés qui vivent dans tout type d’hébergement, explique Marie Bouchart d’Orval, directrice générale de Partage Humanitaire. On peut vivre dans une tour d’habitation et être isolés. Il y a aussi des aînés qui n’ont pas de petits-enfants, donc moins de contact avec la jeunesse. C’est aussi vrai pour des jeunes qui n’ont plus de grands-parents ou qui les ont peu connus.»
Transmission de connaissances et du savoir
Durant ces échanges intergénérationnels, on désire aller au-delà de l’information de base et pousser plus la transmission de connaissances et du vécu de part et d’autre.
«On veut qu’il y ait un partage de souvenirs et que les discussions aillent plus loin que juste savoir où la personne est née et si elle a des enfants. Les aînés ont connu l’avènement de la télévision, la deuxième Guerre mondiale, la découverte de l’espace, on a donc la chance d’en apprendre beaucoup et ça peut même mener à des questionnements philosophiques. À Laval, nous avons également de nombreuses communautés culturelles, alors les échanges pourraient porter sur les traditions et valeurs familiales et culturelles.»
Partage Humanitaire approchera notamment les élèves de l’École d’éducation internationale et de la Maison des jeunes de Laval-Ouest pour les intéresser au projet. On désire aussi travailler avec le Carrefour Jeunesse Emploi. La clientèle cible est âgée entre 12 et 17 ans et la participation volontaire. Du côté des aînés, la résidence Les Appartements de la Rive, située sur le boulevard Sainte-Rose, à Fabreville, a notamment déjà démontré de l’intérêt.
«On vise peut-être d’avoir 15-20 jeunes au début. On ne veut pas ratisser trop large pour commencer», confie la directrice, ajoutant qu’il y aurait une possibilité de financement sur trois ans pour ce projet.
L’annonce a été faite le 20 novembre par la députée de Fabre, Monique Sauvé. Les dollars proviennent de la Stratégie d’action jeunesse 2016-2021.
L’organisme de Chomedey, dédié à l’animation du milieu de vie d’aînés depuis 45 ans, est à plancher sur la première phase, qui consistera à recruter les participants, en plus de former les jeunes afin de les outiller en vue des rencontres et activités futures.
«On vise les aînés qui vivent dans tout type d’hébergement, explique Marie Bouchart d’Orval, directrice générale de Partage Humanitaire. On peut vivre dans une tour d’habitation et être isolés. Il y a aussi des aînés qui n’ont pas de petits-enfants, donc moins de contact avec la jeunesse. C’est aussi vrai pour des jeunes qui n’ont plus de grands-parents ou qui les ont peu connus.»
Transmission de connaissances et du savoir
Durant ces échanges intergénérationnels, on désire aller au-delà de l’information de base et pousser plus la transmission de connaissances et du vécu de part et d’autre.
«On veut qu’il y ait un partage de souvenirs et que les discussions aillent plus loin que juste savoir où la personne est née et si elle a des enfants. Les aînés ont connu l’avènement de la télévision, la deuxième Guerre mondiale, la découverte de l’espace, on a donc la chance d’en apprendre beaucoup et ça peut même mener à des questionnements philosophiques. À Laval, nous avons également de nombreuses communautés culturelles, alors les échanges pourraient porter sur les traditions et valeurs familiales et culturelles.»
Partage Humanitaire approchera notamment les élèves de l’École d’éducation internationale et de la Maison des jeunes de Laval-Ouest pour les intéresser au projet. On désire aussi travailler avec le Carrefour Jeunesse Emploi. La clientèle cible est âgée entre 12 et 17 ans et la participation volontaire. Du côté des aînés, la résidence Les Appartements de la Rive, située sur le boulevard Sainte-Rose, à Fabreville, a notamment déjà démontré de l’intérêt.
«On vise peut-être d’avoir 15-20 jeunes au début. On ne veut pas ratisser trop large pour commencer», confie la directrice, ajoutant qu’il y aurait une possibilité de financement sur trois ans pour ce projet.