«Ça fait quatre ans que je vais au conseil [municipal], fait-elle valoir, ajoutant qu’elle a la ferme d’intention d’assurer une présence tout aussi vigilante dans les années à venir. «On est là pour rester!»
Mme Baudelot n’est pas peu fière des résultats obtenus, elle dont le parti a été officiellement reconnu par le Directeur général des élections du Québec il y a à peine six mois, rappelle-t-elle.
«On termine à quelque 500 votes de M. Gobé qui représentait l’opposition officielle, souligne la chef. C’est le fruit de beaucoup de travail de terrain et porte-à-porte.»
En obtenant 15,6 % des suffrages à la mairie, Sonia Baudelot a permis à sa formation de se qualifier pour un remboursement correspondant à 70 % des dépenses électorales engagées durant la campagne.
Selon toute vraisemblance, la chef d’Avenir Laval est plus populaire que son parti. À preuve, les deux tiers de ses candidats (14 sur 21) ont récolté moins de 15,1 % des suffrages exprimés dans leur district respectif.
«Ça fait quatre ans que je vais au conseil [municipal], fait-elle valoir, ajoutant qu’elle a la ferme d’intention d’assurer une présence tout aussi vigilante dans les années à venir. «On est là pour rester!»
Mme Baudelot n’est pas peu fière des résultats obtenus, elle dont le parti a été officiellement reconnu par le Directeur général des élections du Québec il y a à peine six mois, rappelle-t-elle.
«On termine à quelque 500 votes de M. Gobé qui représentait l’opposition officielle, souligne la chef. C’est le fruit de beaucoup de travail de terrain et porte-à-porte.»
En obtenant 15,6 % des suffrages à la mairie, Sonia Baudelot a permis à sa formation de se qualifier pour un remboursement correspondant à 70 % des dépenses électorales engagées durant la campagne.
Selon toute vraisemblance, la chef d’Avenir Laval est plus populaire que son parti. À preuve, les deux tiers de ses candidats (14 sur 21) ont récolté moins de 15,1 % des suffrages exprimés dans leur district respectif.